• Clint Eastwood est une valeur sûre de l'industrie cinématographique. Il réalise, produit et joue lui-même dans son propre film. Si vous pensez que c'est la fin, ce n'est pas le cas, car son aventure de réalisateur est également récompensée aux Oscars. Il est nommé dans différentes catégories : meilleur acteur, meilleur réalisateur et meilleur film. Il est l'une des deux personnes à avoir été nommées dans les catégories meilleur acteur et meilleur réalisateur pour le même film, à savoir Unforgiven et Million Dollar Baby. Il a fait ses débuts dans la réalisation avec Play misty for me (1971) et a ensuite réalisé 36 autres films. Il travaille actuellement sur The Mule (2019) en tant que réalisateur et acteur aux côtés de Bradley Cooper.

    1. Unforgiven

    Personne ne peut nier qu'Eastwood est une légende quand il s'agit de films de western. Il a joué et réalisé de nombreux westerns et Unforgiven est l'un de mes préférés. Le film a remporté quatre oscars : meilleur réalisateur, meilleur film, meilleur second rôle et meilleur montage. Clint Eastwood se met en scène dans le rôle de Munny, un ancien flingueur retourné à sa vie de tueur pour de l'argent. Le film est un parfait exemple d'héroïsme, de courage, de violence, d'amitié et de vengeance. Avec David Webb Peoples, il a créé certains des meilleurs personnages et moments inoubliables, notamment le dernier où Munny menace les gens avant de quitter la ville. Unforgiven est l'un des meilleurs films réalisés par Clint Eastwood.

    2. American Sniper

    Dans quelle mesure une guerre peut-elle affecter les soldats lorsqu'ils retournent à la vie civile ? La réponse juste et visuelle à cette question est American Sniper, basé sur la vie de Chris Kyle, un héros de guerre, le tireur d'élite le plus meurtrier de l'armée américaine qui a tué 255 terroristes en quatre tours. Réalisé par Clint Eastwood, ce film nous plonge au cœur d'un soldat incapable de s'adapter à la vie civile, généralement hanté par toutes les tueries et les souffrances de la guerre. Le film met en vedette Bradley Cooper dans le rôle de Chris Kyle et Sienna Miller dans le rôle de Taya, la femme de Kyle.

    3. Million Dollar Baby

    C'est la deuxième fois qu'Eastwood remporte un autre Oscar dans la même catégorie (meilleur film et meilleur réalisateur), comme il l'avait fait pour Unforgiven. Million Dollar Baby est un autre chef-d'œuvre de C. Eastwood, une histoire pure et touchante d'un entraîneur de boxe vieillissant et d'un boxeur amateur malchanceux qui aspire à devenir professionnel. Le film offre des performances époustouflantes de Clint Eastwood, Hilary Swank et Morgan Freeman, ainsi que la réalisation de Clint Eastwood. Le film a remporté quatre oscars dans quatre catégories : meilleur film et meilleur réalisateur pour C. Eastwood, meilleure actrice pour Hilary Swank et meilleur second rôle pour Morgan Freeman.

    4. Sully

    Basé sur l'autobiographie Highest Duty de Chesley Sullenberger et Jeffery Zaslow, Clint Eastwood a fait son retour avec Sully en 2016. Le film suit l'incident réel où Sullenberger fait atterrir en urgence le vol 1549 de U.S. Airways sur le fleuve Hudson avec 155 passagers et membres d'équipage sans aucune blessure grave. Clint Eastwood construit un drame et un suspense intenses avec une performance de haut niveau de Tom Hank. Réalisé et produit par Clint Eastwood, Sully est l'un des meilleurs films d'Eastwood en tant que réalisateur.

    5. Gran Torino

    Après une longue pause de 4 ans, il a fait son retour dans le rôle de Walt Kowalski dans Gran Torino, son 29e film en tant que réalisateur. Gran Torino est le premier film américain à mettre en scène des Hmongs dans un long métrage. Écrit par Nick Schenk, il a donné vie à ce film grâce à ses talents de réalisateur et d'acteur. Le film suit la vie d'un ouvrier automobile retraité et solitaire, Walt Kowalski, vétéran de la guerre de Corée, qui tient tête aux gangsters qui ont essayé de forcer un adolescent asiatique à voler la voiture de Walt. Je me suis souvenu de son dialogue "Dégage de ma pelouse". Les hommes, à l'âge de 78 ans, il a joué ce personnage comme un héros d'action, l'amenant à éliminer toutes les boules qui tentent de se mettre sur son chemin. Gran Torino a été un succès à la fois critique et commercial pour Clint Eastwood et l'un de ses meilleurs films réalisés.

    6. Mystic River

    Un an avant le succès de Million Dollar Baby, Clint Eastwood a réalisé et produit Mystic River (2003), qui a été nommé à sept reprises aux Oscars mais n'a remporté que deux prix, celui du meilleur acteur pour Sean Penn et celui du meilleur second rôle pour Tim Robbins. Clint Eastwood est nommé pour le prix du meilleur réalisateur mais perd au profit du film Les Seigneurs des anneaux : Le retour du roi. Mystic River a été très bien accueilli par le public et les critiques, principalement pour les performances des acteurs principaux et la réalisation de Clint Eastwood. Mystic River était un thriller dramatique intense avec d'excellentes performances des acteurs principaux et une réalisation de premier ordre de C. Eastwood.

    7. Lettres d'Iwo Jima

    Clint Eastwood a porté ses compétences à un niveau supérieur pour réaliser un film de guerre nippo-américain, Lettres d'Iwo Jima (2006). En fait, il a réalisé deux films, Letters from Iwo Jima et Flags of Our Fathers, respectivement du point de vue des soldats japonais et de celui des soldats américains. Plus apprécié, Lettres d'Iwo Jima est presque entièrement en japonais. Le film a été très bien accueilli par la critique pour ses performances, son écriture, ses personnages et sa réalisation. Il est à nouveau nominé aux Oscars pour B

    Catégorie d'édition.

    8. Les Ponts de Madison County

    The Bridges of Madison County est un film rare de Clint Eastwood car il ne s'agit pas d'un film policier ou d'action. Le film est une comédie romantique, ce qui est très rare pour Clint Eastwood. Le film met en vedette Clint Eastwood et Meryl Streep dans les rôles principaux. Basé sur le roman de Robert James Waller, The Bridges of Madison County, le film réalisé par Clint Eastwood, qui est surtout connu pour ses westerns et ses films d'action et de crime, a quitté sa zone de confort et a fini par réaliser un drame romantique avec des performances puissantes de Clint Eastwood et Meryl Streep. Le film raconte l'histoire d'une épouse de guerre italienne qui vit avec son mari et ses deux enfants dans l'Iowa et qui tombe amoureuse d'un photographe du National Geographic, ce qui change leur vie.

    9. Un monde parfait

    A Perfect World est le film dans lequel Clint Eastwood pense à faire une pause dans sa carrière d'acteur et à travailler derrière la caméra pour se concentrer davantage sur la réalisation. Après le succès critique de Unforgiven, le film est sorti le 24 novembre 1993. A Perfect World est un road movie policier qui raconte l'histoire d'un détenu évadé (Kevin Costner) qui se lie d'amitié avec un jeune garçon (T.J. Lowther) qui a fait un voyage en voiture avec le jeune garçon. Un voyage inhabituel d'un criminel, Clint Eastwood adapte très bien l'histoire qui a été écrite par John Lee Hankcock. Avec ce film, Clint Eastwood a marqué sa réussite en tant que réalisateur reconnu.

    10. Play Misty for Me

    Il a débuté son premier film de réalisateur avec Play Misty for me et il fait partie de mon top 10 des films réalisés par Eastwood. Ce film a permis à C. Eastwood de montrer qu'en dehors de ses talents d'acteur, il pouvait apporter plus que cela et il l'a fait tout au long de sa carrière, puisqu'il continue à réaliser et à jouer dans ses propres films. Play Misty for me est un thriller psychologique de 1971 dans lequel un disc-jockey de la radio KRML, Dave Garner, entre dans une relation fusionnelle avec l'obsessionnelle Evelyn Draper. Le film a été bien réalisé par Clint Eastwood et reste

    l'un de ses meilleurs travaux de mise en scène à ce jour.

     

     

     
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  • Journées d’Annaba du court métrage : Une vingtaine de courts métrages en compétition

    Le coup d’envoi de la quatorzième édition des Journées du court métrage d’Annaba a été donné hier, à la maison de la culture, Mohamed Boudiaf dans une ambiance exceptionnelle, au grand bonheur des cinéphiles. La salle de spectacle de la maison de la culture s’est avérée trop exigue pour contenir les amoureux du septième art. L’ édition de l’année est dédiée au comédien Salah Aougrout, actuellement hospitalisé en France, qui est l’un des fondateurs de l’évènement cinématographique. La cérémonie d’ouverture a été rehaussée par la présence de l’acteur Hassan Kechache, l’invité d’honneur de cette édition. Ce dernier s’est montré très satisfait de se retrouver une nouvelle fois à Annaba et s’est dit impressionné par la le public nombreux composé essentiellement d’étudiants de l’université Badji Mokhtar. Le critique cinématographique Djamel Hazourli ainsi que d’autres invités dont des universitaires étaient présents.La première journée a été consacrée à la présentation des bandes originales des courts métrages en lice. Ce rendez-vous culturel auquel prennent part des professionnels du cinéma , verra, la projection de pas moins d’une vingtaine de courts métrages cinématographiques en compétition venant de différentes régions du pays. Par ailleurs, le jury de cette manifestation est composé du réalisateur et cinéaste, Ali Djebara, le critique cinématographique, Abdelkrim Kadri et le journaliste Fayçal Metaoui. Le film documentaire ‘’Madinat Essalam’’ (La ville de la paix), du réalisateur, Zakaria Aliouat, a été projeté pour la première fois à Annaba, et ce, après sa participation aux journées nationales du cinéma du patrimoine à Oum El Bouaghi. Organisé par la direction de wilaya de la culture en collaboration avec la maison de la culture et l’association ‘’The mediterranean light ’’, cet évènement culturel prendra fin aujourd’hui.
    B. G.

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  • CINÉMATHÈQUE DE Béjaïa

    Projection de “Leur Algérie” de Lina Soualem

     

    © D.R

     

     

     

    Le film documentaire de Lina Soualem Leur Algérie, projeté dimanche soir à la cinémathèque de Béjaïa, a remué plus d’un. Et l’on ne sort pas indemne du visionnage de ce film, intimiste et très émouvant. Le public cinéphile béjaoui a été littéralement bouleversé. Il s’est reconnu dans la vie de ce couple d’Algériens, très touchant et qui a vécu la douleur de l’exil durant des décennies. Le travail a commencé en 2017, raconte Lina Soualem à son auditoire, qu’elle retrouve après plusieurs années.  Elle a eu à filmer trois longues années, poursuit-elle, toute seule, le couple : sa grand-mère, une éternelle optimiste en dépit des épreuves vécues et des vicissitudes de la vie, et son grand-père, un taiseux invétéré, Algérien typique des années 1950.

     

    L’élément déclencheur : le divorce de ce couple, ses grands-parents, après 62 ans de vie commune. À partir de cette séparation, qui n’en est pas une, la grand-mère ayant continué à s’occuper de son mari – “décédé avant la sortie du film”, regrette Lina Soualem –, elle dit : “Je ne comprenais pas pourquoi ils se séparaient, je ne savais pas ce qu’il y avait entre eux et du coup c’était vraiment le moment décisif pour moi : la séparation a été un peu un électrochoc qui m’a fait aller vers eux. J’avais besoin de comprendre leur histoire, d’où ils viennent, quel est leur lien à l’Algérie, leur lien à la France aussi.” La diplômée en master en relations internationales à la Sorbonne a beaucoup travaillé sur “l’histoire des sociétés arabes contemporaines”.

     

    Elle décide alors d’aller à la quête de son histoire, celle de ses grands-parents, de son père, Azedine. “Mon père, comédien, qui se réfugie dans des rôles, a fini par s’impliquer” dans son projet. Mais confesse que “tout s’est fait dans la douceur”. Quand elle a entrepris ce travail, Lina Soualem ne connaissait même pas le nom du village de ses grands-parents, Laaouamer, dans la commune d’Amoucha à Sétif. “Leur silence m’est revenu dans la figure.” Sa problématique : “Comment ce couple a vécu dans la grande histoire ?” Aussi, quand ils se sont séparés, elle les a filmés car il était important pour elle de “visualiser leur mémoire”. C’est la première fois qu’elle prend une caméra entre les mains. 

     

    Et plus est, au quotidien, ce n’était pas évident non plus. Avec le grand-père qui se complaît dans son silence. “Je sais qu’il y a cet humour de ma grand-mère. Mais je sais intimement que leur silence est la traduction de leur souffrance.” Forcément, elle avait mis du temps à questionner ce grand-père. Plus encore, expliquera Lina, “on n’a jamais parlé de cette période”. Sa grand-mère a dit avoir laissé tout derrière elle. Et dit qu’elle a effacé tout de sa mémoire et avoir vécu des débuts difficiles et une fin tout aussi difficile. Elle fait allusion à sa séparation avec son ancien compagnon. 

     

    Heureusement qu’entre les deux périodes “j’ai eu des enfants, des petits-enfants et des arrière-petits-enfants”. Quant au grand-père, il n’a commencé à s’y intéresser qu’après le voyage entrepris en Algérie à Laaouamer (Amoucha) par sa petite-fille. Lina a réussi à le reconnecter, par l’esprit, à cette terre qu’il a dû laisser depuis des décennies.

     

     


    M. OUYOUGOUT

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    Projection de courts-métrages à Saïda

    Les jeunes cinéastes, l’avenir du cinéma algérien

    © D.R
     

    Les films courts projetés en compétition lors du 4e Festival national de la littérature et du cinéma de la femme démontrent que le 7e art algérien a de beaux jours devant lui, si ces jeunes cinéastes sont encouragés et encadrés. Contrairement aux productions à gros budgets, qui n’arrivent pas à s’imposer sur la scène cinématographique.

    Depuis le lancement du Festival national de la littérature et du cinéma de la femme, l’une des premières choses qui nous frappe est la forte présence des Saïdiens. Quatre jours durant, la salle Douniazed a été prise d’assaut par un public âgé  de 7 à 77 ans et par des artistes amateurs, entre comédiens, danseurs, humoristes et musiciens. Les yeux pétillants et au sourire généreux qui se dessine sur leur visage, ces spectateurs semblent heureux de rencontrer leurs idoles, à l’instar de la talentueuse Souha Oulha, la femme de poigne, Yamina Chouikh, ou encore le comédien Hassan Kachach, qui n’hésite nullement à se prendre en photo et offrir ainsi un petit moment de joie à ses admirateurs. Et ces petits moments, qui font la magie du cinéma, se poursuivent dans la salle obscure où sont projetés, depuis le 11 décembre, des longs-métrages de fiction et documentaire. En revanche, l’après-midi de mardi, a été marquée par la diffusion de courts-métrages en compétition officielle-le jury est composé de Tahar Boukella, Yasmine Chouikh et Rania Serrouti- qui ont, sans conteste, bluffé les présents. Pour cette première journée de compétition, nous avons découvert 5 films, dont le dénominateur commun est la nouvelle vision des jeunes cinéastes.

    Ces productions racontent la société, ses travers et sa beauté, dans de petites histoires douces pour certaines, hilarantes et poignantes pour d’autres. Dans Je raconterai tout à Dieu (plusieurs fois primés), de Mohamed Benabdallah, nous sommes embarqués dans le prisme idéologique. Un militaire coincé dans une bâtisse en ruine, qui attend que la mort frappe à sa porte. Ainsi, un terroriste débarque et tente de le tuer, sous le regard d’un homme à terre, qui n’a pour seul sauveur que le seigneur... À l’issue de cette projection, dont le débat a été houleux sur les questions religieuses, la séance s’est poursuivie avec un ovni réalisé par Houssem Eddin Abassi, dans le cadre du projet de fin d’études à l’Ismas. Intitulé “Open”, ce film est une fresque philosophique, qui a laissé bon nombre de l’assistance de la salle perplexe et paradoxalement déboussolée. Dans une pièce sombre, un homme vêtu de blanc semble attendre quelqu’un ou quelque chose, les heures défilent, mais il reste planter là sans bouger. Alors que derrière les murs, des femmes le supplient d’ouvrir la porte. Ces trois personnages font références à trois profils différents, notamment une femme dans le désarroi et un cadre d’entreprise… elles crient, l’implorent d’ouvrir, et ce, sans tenter d’y entrer. Si cet homme donne l’impression d’être un aliéné dans un hôpital psychiatrique, cela n’est nullement le cas.

    Dans sa métaphore, l’étudiant de l’Ismas propose à cette jeunesse, de saisir sa chance et s’il le faut de défoncer cette porte pour saisir les opportunités, pour ne pas tendre la main aux autres…Dans un autre registre, Youcef Mahsas propose dans Il reviendra, un conte contemporain qui a ému le public, grâce au duo Souha Oulha et Slimane Benouari. Dans un salon de coiffure pour homme, le décor suggère que la trame se déroule dans les années 1990, un homme dépose son fils pour aller faire ses courses ; une bombe explose, et le père ne revient plus. Le coiffeur et son épouse, qui espèrent depuis 8 ans avoir un enfant, sont heureux que leurs prières soient enfin entendues… Si le contexte de l’histoire se déroule durant la décennie noire, la narration est poétique, et la seule terreur omniprésente n’est pas celle des crimes barbares commis, mais de voir ce couple séparé de cet enfant, comme des milliers d’enfants arrachés à leurs parents et devenus orphelins lors de la décennie noire.

    Ce conte qui fait rappeler dans son récit des films, tels que Le fabuleux destin d’Amélie Poulain, est d’une grande tendresse, et un hymne à ces couples privés du bonheur d’être père et mère. Outre ces productions, les Saïdiens ont pu découvrir également, Nafaat, de Mostafa Guerandi. Moderne et très suggestif dans sa démarche, le cinéaste a voulu rendre hommage à la femme, son émancipation et son rôle important dans l’évolution de notre société. Tourné à Saïda, par des comédiens amateurs issus d’une formation d’actorat donnée le mois dernier, Mostafa a réussi, en quelques jours seulement de tournage, à apporter un résultat plus que convaincant, dans la technique et la réalisation inspirée de la sérié The Good Doctor. Ces courts-métrages présentés dans la journée de mardi démontrent que le cinéma algérien a de beaux jours devant lui, si ces jeunes réalisateurs sont encouragés et encadrés. 

    Contrairement aux productions à gros budgets, qui n’arrivent à s’imposer sur la scène cinématographique et finissent par rester dans les tiroirs ! À noter que la journée d’hier devait être ponctuée d’autres courts-métrages en compétition. La cérémonie de clôture aura lieu aujourd’hui, pour récompenser le meilleur film et meilleur rôle d’interprétation féminine.

     

     

     Hana Menasria

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  • Journées constantinoises du court métrage: «Layla qabla al moudaharate» ouvre la deuxième édition

     

    Le film «Layla qabla al moudaharate» («Une nuit avant les manifestations») du réalisateur Karim Belfassi a ouvert, samedi à Constantine, la 2e édition des Journées constantinoises du court métrage, organisées par la maison de la culture Malek- Haddad. Le court métrage qui concourt pour l’un des trois prix récompensant cette compétition, relate en six minutes une scène du quotidien des Algériens sous l’occupation française et le ras-le-bol exprimé par le peuple qui a abouti à des manifestations rejetant la politique coloniale et appelant à l’indépendance de l’Algérie. Vingt et un autres courts métrages abordant pour la plupart la Révolution algérienne et les affres du colonialisme seront présentés lors de cette 2e édition qui se poursuivra aujourd’hui. Durant la deuxième séance de ce rendez-vous culturel, les courts métrages «Djamila» du réalisateur Abderrahmane Harrat, «Al Bissat» (Le tapis) de Khaled Lakbiche, «Zahra» de Ahcene Khirat et «Al Moula» de Amira Alouadah, ont été projetés devant un public nombreux. Auparavant, le wali, Messaoud Djari, accompagné des autorités locales et de la famille révolutionnaire, a honoré des moudjahidine à l’occasion du 61e anniversaire des manifestations du 11 décembre 1960, avant d’annoncer l’ouverture de cette 2e édition des Journées constantinoises du court métrage, en présence de plusieurs artistes. L’ouverture de cet événement a eu lieu avec «Cinéma Bladi», une compilation des plus belles musiques de films qui ont marqué le cinéma algérien, comme un hommage à la créativité. Aussi, une exposition d’affiches des films qui ont marqué le cinéma algérien et des portraits d’artistes et de figures emblématiques du 7e art a été organisée dans le hall de la maison de la culture Malek-Haddad pour rappeler le parcours des cinéastes de différentes générations. Un jury composé du réalisateur Mohamed Hazourli, du scénariste et script Samil Soufit, et du metteur en scène Mehdi Abdelhak, se chargera de départager les concurrents.

    D. R.

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  • Histoire de l’Algérie :

    Les amateurs appelés à réaliser de courts documentaires

     

    La créativité et le talent sont les bienvenus, ont confirmé, dimanche, les participants aux 3es Journées nationales du court métrage, qui se tiennent à la Maison de la culture de Tissemsilt. Ils ont appelé, à cette occasion, les metteurs en scène amateurs à réaliser de courts documentaires sur l’histoire de l’Algérie, afin de la faire connaître aux prochaines générations avec tous les moyens médiatiques possibles.

    Par Abla Selles

    Lors de sa communication intitulée «Principes et ABC de la réalisation d’un court métrage documentaire sur l’histoire», l’enseignant Mohamed Dahou Amine, de l’Université de Tlemcen, a souligné «l’importance de la contribution des cinéastes amateurs dans la réalisation de courts documentaires sur l’histoire de l’Algérie».
    Le conférencier a estimé que le court métrage documentaire peut jouer un rôle important dans l’archivage de documents sur l’histoire de notre pays, notamment la glorieuse guerre de Libération nationale, en véhiculant la souffrance des Algériens et en mettant en lumière la lutte et l’héroïsme des moudjahidine.
    Il a, par ailleurs, insisté sur la nécessité de réaliser des courts métrages pour sensibiliser sur les dangers des fléaux sociaux et la prévention de diverses maladies, telles que la pandémie de coronavirus. L’intervenant a également mis en exergue «l’utilité des courts métrages dans l’orientation et la transmission des messages de sensibilisation à la société», affirmant qu’ils sont aussi importants que les longs métrages en termes de qualité.
    Les troisièmes Journées nationales du court métrage se sont achevées dans la soirée à la Maison de la culture «Mouloud- Kacim-Naït-Belkacem» de Tissemsilt, par la tenue d’une cérémonie au cours de laquelle ont été annoncés les trois meilleurs courts métrages.
    L’événement, organisé à l’initiative de la Maison de la culture de Tissemsilt, en coordination avec l’association de wilaya «Culture et Arts» à l’occasion de la commémoration du 61e anniversaire des manifestations du 11 décembre 1960, a vu la participation de 21 courts métrages de cinéastes amateurs issus de 21 wilayas.

    A. S.

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  • Nous prenons tous de nombreuses photos de nos enfants, mais il peut être difficile d'obtenir la photo parfaite lorsque votre petit modèle ne veut pas rester assis, ne sourit pas ou sourit seulement comme un animateur de jeux vidéo ! Lorsque vous essayez de faire poser les enfants, ils ont tendance à adopter des positions bizarres, tordues ou à faire des choses qu'ils ne feraient jamais normalement... On dit de ne jamais travailler avec des enfants ou des animaux, mais nous pensons que tout est dans l'approche et la méthode plutôt que d'essayer de diriger un petit paquet d'énergie pour qu'il fasse ce que vous voulez : "Reste là !" "Ne fais pas la grimace !" "Embrasse ta soeur !" S'il y a une chose sur laquelle vous pouvez compter, donner un ordre direct à un petit enfant risque d'aboutir à tout le contraire !

    Vous devez adopter une approche différente lorsque vous prenez des photos de portraits d'enfants, qu'il s'agisse de nouveau-nés, de bambins turbulents, d'enfants d'âge préscolaire ou d'adolescents ! Qu'ils soient timides, nerveux, provocateurs ou grincheux, vous devez faire de votre mieux pour montrer leur meilleur côté et, surtout, faire en sorte que votre enfant se sente à l'aise et s'amuse pendant les séances de photos.

    Voici ous prenons tous de nombreuses photos de nos enfants, mais il peut être difficile d'obtenir la photo parfaite lorsque votre petit modèle ne veut pas rester assis, ne sourit pas ou sourit seulement comme un animateur de jeux vidéo ! Lorsque vous essayez de faire poser les enfants, ils ont tendance à adopter des positions bizarres, tordues ou à faire des choses qu'ils ne feraient jamais normalement... On dit de ne jamais travailler avec des enfants ou des animaux, mais nous pensons que tout est dans l'approche et la méthode plutôt que d'essayer de diriger un petit paquet d'énergie pour qu'il fasse ce que vous voulez : "Reste là !" "Ne fais pas la grimace !" "Embrasse ta soeur !" S'il y a une chose sur laquelle vous pouvez compter, donner un ordre direct à un petit enfant risque d'aboutir à tout le contraire !

    Vous devez adopter une approche différente lorsque vous prenez des photos de portraits d'enfants, qu'il s'agisse de nouveau-nés, de bambins turbulents, d'enfants d'âge préscolaire ou d'adolescents ! Qu'ils soient timides, nerveux, provocateurs ou grincheux, vous devez faire de votre mieux pour montrer leur meilleur côté et, surtout, faire en sorte que votre enfant se sente à l'aise et s'amuse pendant les séances de photos.

    Voici 10 conseils pour photographier les enfants :

    1. Suivez leur exemple. Placer un enfant là où vous voulez qu'il se tienne et lui demander de sourire gentiment fonctionne rarement. Laissez-le vagabonder, explorer son environnement et tous les objets ou accessoires qui peuvent s'y trouver. Il y aura beaucoup de sourires naturels, de superbes expressions de surprise et de curiosité au cours de son parcours - c'est votre travail d'attraper ces moments, pas de les forcer.

    2. Le sourire n'est pas tout. Tous les nouveaux parents peuvent attester du fait que vous pouvez passer des heures de votre journée à observer toutes les petites expressions subtiles de votre bébé. Bien que la vie devienne plus chargée à mesure qu'ils deviennent plus mobiles, ils possèdent toujours un merveilleux éventail d'excentricités, de froncements de sourcils, de grimaces, de sourires et de visages amusants qui montrent vraiment leur personnalité lorsqu'ils sont filmés. Un bon moyen d'obtenir une bonne expression et une bonne pose de la part d'un enfant pour une photo est de lui demander de penser à quelque chose en particulier - De quoi sont faits les nuages ? A quelle hauteur peuvent-ils sauter ? À quoi ressemble le monde quand on est à l'envers ?

    3. Faites en sorte qu'il se sente chez lui. Il n'est pas nécessaire de se précipiter pour photographier des enfants. Ils ne se produisent pas sur commande, il faut donc parfois être patient et les laisser s'habituer à l'endroit où ils se trouvent et à ce qui se passe. Et il n'y a aucune raison pour que les portraits doivent être pris dans un studio - pourquoi ne pas les prendre sur place, dans un endroit qui est spécial et significatif pour vous, qu'il s'agisse de votre maison, d'un terrain de jeu préféré, de la plage ou de vacances ? La familiarité nous détend tous, et surtout les enfants, de sorte que de magnifiques photos candides peuvent être prises lorsque votre enfant se sent totalement à l'aise.

    4. Ne posez pas l'appareil photo ! Chaque moment avec les enfants est l'occasion d'une belle photo. Et vous avez peut-être remarqué qu'ils n'ont pas tendance à rester au même endroit très longtemps... Continuez à photographier, à observer, à laisser libre cours à votre créativité. Et si votre enfant veut juste faire des grimaces, ce n'est pas grave - si vous continuez à le photographier suffisamment longtemps, sa façade finira par tomber et vous obtiendrez soudain un flash de son vrai visage.

    5. Mettez-vous à leur niveau. Un grand adulte qui se profile avec un appareil photo cachant son visage peut être effrayant et écrasant - mettez-vous à genoux ou accroupissez-vous à leur hauteur et vous serez instantanément plus accessible. Les photos prises de ce point de vue sont également bien plus belles que celles prises d'en haut, qui peuvent fausser les proportions et donner des angles bizarres.

    6. Soyez rapide. Réglez votre appareil photo sur sa vitesse d'obturation la plus rapide et utilisez un ISO élevé pour "geler" les moments de grande vitesse. Si vous utilisez les réglages automatiques de votre appareil photo, il doit y avoir une option pour les photos de sport ou les photos à grande vitesse. Si vous êtes assez rapide, vous pouvez capturer des photos d'enfants en pleine action et créer des images spectaculaires qui reflètent le rythme effréné de la vie d'un enfant.

    7. Variez vos prises de vue. Si vous avez pris de nombreuses photos du corps entier, approchez-vous un peu plus et concentrez-vous sur leurs mains occupées, leurs petits pieds, leurs visages angéliques (la plupart du temps). Même les photos où votre sujet n'est pas face à l'appareil peuvent traduire beaucoup de personnalité et de langage corporel. Déplacez-vous avec eux et obtenez un grand choix de photos.

    8. Soyez sournois. Parfois, vous n'avez même pas besoin de faire savoir à l'enfant que vous prenez des photos. Observez et choisissez un moment où il est complètement impliqué et engagé dans une activité et commencez à prendre des photos. La photographie de portrait spontanée produit souvent les plus belles images (avec les enfants comme avec les adultes), car le sujet est détendu et n'essaie pas de poser ou de paraître d'une certaine façon.

    9. Ne forcez pas. Si un enfant ne s'amuse pas et s'énerve, il est temps de ranger l'appareil photo. Respectez sa vie privée et sa confiance en lui - après tout, vous n'aimeriez pas qu'on vous mette une caméra sous le nez si vous vous sentez timide et vulnérable, n'est-ce pas ?

    10. Rendez la chose amusante. Si vous êtes un photographe en herbe, ou si vous souhaitez simplement obtenir les meilleures photos possibles de vos enfants, vous devez faire en sorte que cela en vaille la peine ! Si vous rendez les séances de photos amusantes et agréables, vos enfants voudront les refaire, encore et encore... Laissez-les s'impliquer et prendre des photos de vous pour changer ! Montrez-leur ensuite toutes les images et laissez-les vous aider à choisir celles qui seront agrandies ou comment les éditer. Les appareils photo numériques spécialement conçus pour les enfants (c'est-à-dire TRÈS robustes !) sont de moins en moins chers, alors pourquoi ne pas leur offrir leur propre appareil et commencer à voir le monde à travers leurs yeux ?

     

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  • Conseils pour la réalisation de courts métrages


    Les courts métrages sont de plus en plus populaires de nos jours. Du point de vue des réalisateurs, ce type de film est idéal car il est plus facile à réaliser et le coût de production est également moins élevé. Cela dit, laissez-moi vous donner quelques conseils pour la réalisation de courts métrages.

    Mais avant d'aborder les conseils pour la réalisation de courts métrages, définissons-les d'abord. Lorsque nous parlons de court métrage, nous faisons référence aux films qui sont relativement plus courts que le film normal de deux heures. Il peut durer 30 minutes ou même une minute. Bien qu'il soit court, il doit néanmoins avoir une histoire complète. Cela signifie qu'il doit toujours avoir une introduction, un corps et une conclusion.

    Mes conseils pour la réalisation de courts métrages

    1. Créez une histoire simple

    Puisque vous allez réaliser un court métrage, créez une histoire simple. Ne faites pas un roman, car le temps ne le permettrait pas. Concentrez-vous sur une seule idée et laissez l'histoire tourner autour d'elle.

    2. Faites des anticipations

    Ne montrez pas tout dès le début. Il est bon de placer un certain suspense pour permettre à votre public d'anticiper sur ce qui va se passer à la fin. Cela permettra de capter l'attention de vos spectateurs jusqu'à ce que l'histoire atteigne son point culminant.

    3. Utilisez peu de personnages

    J'ai vu des courts-métrages qui ne sont pas aussi efficaces parce qu'ils comportent trop de personnages. L'histoire n'est pas aussi bien centrée.

    N'ayez pas peur d'utiliser peu de personnages. Si vous pouvez même créer une histoire avec un seul personnage, ce sera génial. J'ai regardé un court métrage dans lequel ils n'utilisaient que deux personnages, mais c'était très bien. Avoir peu de personnages ne rend pas seulement votre vie plus facile en tant que réalisateur. Cela incitera également le public à se concentrer sur quelques éléments du film.

    4. Complétez l'histoire

    Comme je l'ai dit plus haut, un court métrage doit toujours avoir une histoire complète. Je ne suis pas vraiment un fan de ces courts métrages qui se terminent brusquement sans aucune conclusion.

    Je comprends qu'il existe une autre façon de terminer une histoire, à savoir la fin ouverte. Cependant, vous devez quand même amener votre public quelque part. Ne coupez pas simplement l'histoire et c'est tout. Quel est l'intérêt de terminer l'histoire si vous n'avez montré qu'une introduction ?

    6. Trouvez des inspirations

    C'est un véritable défi de créer une très belle histoire que vous pouvez utiliser pour votre court-métrage. Pour trouver des idées, je vous recommande de regarder beaucoup de courts métrages. Vous serez sûrement capable de trouver votre propre idée en voyant ce que les autres ont fait.



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  • Réalisation de films Vous avez donc décidé de créer un film. Vous avez cette belle

    histoire ou concept pour un film. Vous avez décidé que ce sera dans le style d'une comédie. Vous êtes prêt à saisir l'appareil photo et à commencer la réalisation du film. Attendez une seconde. La technologie avec les caméras et la réalisation de films a mis la réalisation d'un film à la portée de presque tout le monde aujourd'hui. Vous pouvez certainement prendre un appareil photo et commencer à faire un film. Si vous voulez vraiment faire un film de qualité qui pourrait être projeté dans votre cinéma local, vous devez savoir qu'entre l'idée et la sortie et la distribution d'un film, il y a 3 étapes distinctes. La première étape de la réalisation d'un film est l'étape de pré-production ou de planification. C'est là que vous devez vous attendre à passer environ un tiers de votre temps total. C'est là que vous créez les documents de planification. Rassemblez votre équipe de production, tracez votre story-board et trouvez et choisissez des emplacements. C'est également là que vous décidez et embauchez les acteurs et l'équipe, gérez les documents juridiques, créez le budget et faites la comptabilité des locations et des services. L'équipement de réservation et l'engagement des installations de post-production pour le montage sont également mis en place ici. Le succès de la phase de « production » dans la réalisation du film repose sur une planification efficace ici en pré-production. Vient ensuite l'étape de la production ou du tournage du film. Maintenant, nous faisons le vrai tournage, n'est-ce pas ? La plupart des cinéastes en herbe penseraient cela. Les pensées sont que c'est là que la plupart du temps est passé et où la créativité se produit. Après tout, c'est là que vous obtenez les images de votre film. Il y a l'excitation et vous faites un film. La réalité est que si vous avez été minutieux dans votre "pré-planification", vous ne devez vous attendre à passer qu'environ un sixième de votre temps ici. C'est là que vous obtenez les images requises, vérifiez que vous avez les clips prévus et re-filmez si nécessaire. C'est également là que vous enregistrez le son de l'emplacement.

     

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  • Best Matt Damon Movies!

    Credit: Getty Images/Frederick M. Brown

    1. Good Will Hunting (1997)

    The movie script is jointly written by Matt Damon and Ben Affleck. The movie deals with quite a complex theme highlighting the unique characteristics of human relationships and social problems. Matt and Ben both star in the movie. The lead role of Will Hunting is played by Damon while the role of his best friend, Chuckie Sullivan is played by Affleck.

    The movie tells the story of a mathematical genius (Will Hunting) who works as a janitor at MIT. As he is severely abused all his life, he decides to commit a series of hostile acts against those who tortured him during his childhood days. But things take a different course when Will meets professor Gerald Lambeau, a psychological therapist. After discovering Will's potential, the professor tries to put him on the road of success and fame.

    2. Saving Private Ryan (1998)

    Saving Private Ryan is a nonstop, action-packed war movie that will absorb you to the extent that the experience becomes a predominantly visceral one.
    Three elder brothers of Private Ryan have been killed in battles (World War II). To alleviate his mother's pain, it is decided that Ryan will be sent back to home. Captain Miller reluctantly accepts the job and prepares himself to accompany Ryan. But it is a very challenging job as Ryan is in German-dominated-France-area.

    3. The Departed (2006)

    The film has a great storyline that centers around an entire police department's chase of a top boss in Boston. However, the plot may not seem original as it is greatly influenced by a Hong Kong action movie Infernal Affairs.
    Leonardo Dicaprio (Billy) plays the role of a rookie cop in the movie who works undercover gathering intelligence. Matt Damon (Colin Sullivan) is another rookie cop who has an honorable family history and starts his career with a good job. Colin and Billy must maneuver and lie their way out of trouble infiltrating the Irish gang in South Boston.

    4. True Grit (2010)

    A farmer is murdered by his employee Tom Chaney (Josh Brolin). The employee steals his money and flees to the Indian Territory. The farmer's teenager daughter Mattie Ross (Hailee Steinfeld) goes to bring the body of her father back home. While there, Mattie meets Reuben J. "Rooster" Cogburn (Jeff Bridges), an old big fellow with eye pad. Later on they are joined by a Texas Ranger LaBoeuf (Matt Damon) and the trio starts their dangerous journey to seek out Tom Chaney in the Indian Territory.

    5. Interstellar (2014)

    Matthew McConaughey (Cooper) is a NASA pilot while Anne Hathaway (Amelia) is a scientist. Together they travel through a wormhole in space with a mission to prevent the extinction of humanity. Cooper and Amelia meet scientist Dr. Mann (Matt Damon) after landing on a remote planet. Now they all are stranded. Things get interesting when Dr. Mann tries to kill Cooper for some unknown reason. Eventually, Cooper becomes successful to visit his daughter in her childhood. Even though Cooper's age doesn't change, his daughter is now old. He warns her to lead humanity to explore other worlds.

     

     
     
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