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  • Culture / Culture

     

    Malek Bensmaïl, réalisateur

    “Je réalise des films dans le sens de la mémoire et de l’archive”

    © D.R
     


    Minutieux dans ses recherches de documentation, Malek Bensmaïl est un fin chirurgien qui passe au scalpel des sujets passionnants sur l’histoire, la politique et la société. Convié dernièrement à rejoindre l’Académie des oscars, le réalisateur de “La Chine est encore loin” revient dans cet entretien sur cette invitation ainsi que sur le cinéma, qu’il “soit documentaire ou fiction, doit nous permettre de poser réellement les soubassements d’une réflexion sur soi, sur son histoire personnelle et collective, sur son rapport au monde”.

    Liberté : Vous êtes invité aux côtés de Salem Brahimi à rejoindre les nouveaux membres de l’Académie des oscars. Comment avez-vous vécu ce moment ? 
    Malek Bensmaïl :
    Profondément honoré par l’invitation de cette prestigieuse institution de Hollywood. C’est important pour l’Algérie d’avoir deux membres au sein de l’Académie. Nous aurons un rôle à jouer et de peser de par nos voix. Qu’elles soient arabes ou africaines, cela peut donner du poids dans l’évolution des récompenses des films moins visibles. Je pense que cette dernière a opéré une évolution en profondeur en s’ouvrant sur la diversité et l’international et aussi en doublant le nombre de femmes. 

    On le sait, la société américaine se porte mal, elle est en plein examen de conscience sur son passé raciste. Pour l’obtention des oscars, il y a un sacré travail de lobby. Les choses doivent bouger, comme partout d’ailleurs. Il y a là certes une reconnaissance internationale et nous ferons le nécessaire tous ensemble, mais nos télévisions doivent aussi changer et diffuser sans censure l’ensemble de nos films. Il est temps que le public algérien découvre son cinéma, qui est plein d’énergie et de propositions. Cela améliorerait certainement la qualité des programmes de nos institutions et les relations avec son public.

    Dans vos films, vous avez abordé diverses thématiques ayant trait à la politique, à l’histoire, au système éducatif ou encore à la maladie dans Aliénations. Est-ce pour bousculer les choses, interpeller la conscience collective ? 
    Notre pays est en perpétuel bouleversement depuis plus de deux siècles. Les films, le cinéma, l’art visuel ont un rôle à jouer, un rôle de questionnement, de conscientisation, un rôle politique dans le sens le plus noble de la politique poétique. Au même titre que le cinéma post-guerre en Italie, au Japon, en France, en Russie.  Le cinéma, qu’il soit documentaire ou fiction, doit nous permettre de poser réellement les soubassements d’une réflexion sur soi, sur son histoire personnelle et collective, sur son rapport au monde. L’idée est de sortir de nos prisons idéologiques. Et ce n’est pas facile. Que le pays réel et non fantasmé soit vu, entendu.

    Filmer le réel est-il le meilleur moyen pour y parvenir ?
    Je pense que le réel permet de mieux appréhender l’autre sans artéfact. Filmer l’autre dans sa complexité, ses doutes, ses joies, ses questionnements. L’autre, c’est moi. Filmer le réel régulièrement permet de constituer son archive, sans tabou. Questionner les institutions, l’histoire, la vie, le malaise social. Un regard algérien doit être posé et affirmé. Le réel, j’en suis convaincu, permet de créer un imaginaire plus fort, plus juste pour l’avenir de la fiction algérienne. Le réel donne à la fiction sa matière. La fiction s’en inspire souvent. Si nous ne filmons pas ce réel, la fiction s’en trouve amoindrie dans sa créativité, dans son approche filmique, dans ses choix des sujets.

    En évoquant les problématiques d’une société au cinéma, cela permet-il de trouver des solutions, des réponses ?
    Non, je ne pense pas, mais les questions restent posées, suspendues. Mon approche est avant tout humaine. Ce n’est pas mon rôle de proposer des solutions, mais celui des politiques. Notre rôle est d’alerter, de tenter de briser des tabous, de filmer avec modestie l’âme algérienne dans son tourbillon de complexité. 

    Dans vos docus, vous questionnez le passé pour comprendre le présent. Peut-on considérer votre démarche comme un travail de mémoire ?
    Je n’aime pas la formulation “docu” qui restreint un peu le genre. Un documentaire est un film à part entière. Parlons plutôt de film documentaire, qui fut d’ailleurs la matrice naissante du cinéma. Les films des frères Lumière sont de réels documents. 
    On peut dire que Nanouk l’esquimau de Robert Flaherty réalise l’une des premières reconstitutions ou une recomposition de la vie des Inuits, après l’incendie des premiers rushes. La fiction advient. Mes films, oui, je les réalise dans le sens de la mémoire et de l’archive. Ce qui me semble le plus important, c’est de recomposer notre iconographie avec notre propre regard et de la proposer au public qu’il soit local ou international, sans “orientalisme” ni “nationalisme”. Filmer d’abord un pays réel et non fantasmé avec “son” regard subjectif, tranchant et neuf. 

    À ce propos, dans votre dernière œuvre La Bataille d’Alger, un film dans l’histoire, nous découvrons l’anecdote sur le coup d’État de Boumediene…
    L’histoire du film de La Bataille d’Alger est en soi une mise en abîme extraordinaire, entre documentaire et fiction, alliant à la fois histoire, cinéma, révolution, coup d’État, propagande, le même film est utilisé comme exemple à la fois par les indépendantistes et les militaires, nous sommes toujours à la lisière du vrai et de la fiction, jusqu’au coup d’État même de Boumediene qui utilise les premiers essais du tournage de Pontecorvo, tel un leurre, pour renverser Ben Bella ! C’est une histoire bien algérienne…

    Pensez-vous qu’aujourd’hui le documentaire ou la fiction devraient avoir une portée plus politique ou engagée, comme cela se faisait au temps des révolutions, notamment algérienne ?
    Chaque cinéaste doit utiliser cet art comme il l’entend, mais en même temps nous avons tout de même une responsabilité. De mon côté, j’aime allier cinéma, réel, histoire, mémoire et récit. Mais il y a d’abord la volonté de filmer l’Autre dans sa plus belle dimension, celle de son humanité, tantôt moqueur, tantôt désabusé. 
    L’Algérien et l’Algérienne se démènent au quotidien avec les paradoxes, ses institutions, ses croyances. L’engagement advient malgré moi. Mon pays n’est-il pas profondément politique ? 

    Vous avez connu la censure, à l’exemple de Contre-pouvoirs qui a été interdit de projection. En Algérie, est-il possible d’oser ce genre de films (thématiques qui dérangent) pour les jeunes réalisateurs ?
    Il y a de la censure certes, mais il y a aussi de l’autocensure. Je pense qu’il faut oser. Oser n’est pas trahir. Le cinéma est un art où il faut oser, transgresser, dire les maux, les joies, les doutes. Certains de mes films furent censurés également en France (déprogrammation du film sur Boudiaf pour ne pas gêner la première élection de Bouteflika, Le Grand Jeu sur la campagne de Benflis, pour ne pas gêner encore Bouteflika…). 
    Vous savez, je ne pense pas à la censure quand j’écris, j’avance, je propose et j’enregistre, car j’estime que nous sommes encore dans un cinéma d’urgence. Le temps passe, et nous avons un devoir de léguer aux générations montantes les tranches de vie d’un espace-temps avec ses vérités et ses mensonges. Peu importe la forme, l’écriture, les jeunes réalisateurs doivent prendre le relais, sans crainte, sans a priori, en se débarrassant du poids sociopolitique ou culturel, sans soumission, que ça soit en fiction ou en documentaire, en filmant des sujets forts, libres, car seuls les films restent.

    Entretien réalisé par : Hana Menasria

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  • Biyouna, pas facile d'être une femme libérée!

    «Pute, bouffonne, hmara (bourrique), kahba (pute), vieille connasse, la honte de l’Algérie, racaille, fille de harki…» sont les qualificatifs qui ont été utilisés sur les réseaux sociaux pour parler de Biyouna, après son passage dans l'émission On n'est pas couché le 14 janvier chaîne de télévision France 2.  

    «Postée sur les réseaux Youtube et Facebook, la vidéo de son intervention chez Laurent Ruquier déclenche une avalanche de réactions. Grande gueule, grande voix et grande picoleuse? Pute pour les uns, grande dame pour les autres, Biyouna ne laisse personne indifférent» rapporte Dernières Nouvelles d'Algérie.

    De son vrai nom Baya Bouzar, Biyouna est l'une des plus grandes comédiennes algériennes installée à Paris. Elle a notamment joué dans le dernier film de Radu Mihaileanu, La Source des femmes, où les femmes du film se battent contre une société machiste. Venue faire la promotion de son dernier spectacle, Biyouna, au théâtre Marigny à Paris du 24 janvier au 31 mars 2012, la comédienne est apparue vraisemblablement ivre sur le plateau d'On n'est pas couché, et tenant des propos quelques peu confus.

    Interrogée sur les personnes qu'elles dérangent en Algérie, Biyouna rétorque à Laurent Ruquier, le présentateur de l'émission:

    «Le peuple algérien m'adore. Je dérange quelques personnes haut placées, mais je suis très respectée par les religieux malgré qu’ils connaissent ma sincérité, ces musulmans là, ils veulent des gens sincères... Alors, ils m’adorent. Ceux que je dérange, et on le sait très bien ceux que je dérange, c’est les gens que je dérange…»

    «Du Biyouna tout craché, avec quelques verres en plus», commente Dernières Nouvelles d'Algérie. Le site Internet explique ensuite que nombre d'artistes avant elle, comme le chanteur français Serge Gainsbourg ou l'écrivain américain Charles Bukoswki, ont déjà fait parler d'eux pour leurs frasques sur les plateaux télé. Sauf que, pour le quotidien algérien, Biyouna ne peut pas se le permettre:  

    «Biyouna, 60 ans, est une femme, une Algérienne, musulmane, mère de 4 enfants… Quand elle est invitée sur un plateau de télé, il faut qu’elle soit sobre, correcte, digne. Il faut qu’elle représente l’Algérie, ses hommes, ses femmes, ses dirigeants, sa religion, ses artistes... Il ne fallait donc pas qu’elle débarque chez Ruquier un verre dans le nez.»

    Un article qui n'a pas plus à Biyouna, qu'elle a repris elle-même sur son compte Twitter et à quoi elle a répondu:

    Sur le réseau social, nombre de messages de soutien lui sont adressés: «Ignore-les, ces imbéciles extrêmistes!», «Continue d'emmerder, de choquer.»

    «Biyouna mérite-t-elle autant d’injures et d’anathèmes?! s'interroge tout de même Dernières Nouvelles d'Algérie. Assurément non! Biyouna est une femme libre, une artiste, une saltimbanque, une gouailleuse qui assume tous ces statuts à la fois. Elle n’a jamais prétendu représenter l’Algérie, les Algériens, pas plus que la femme algérienne.» 

    Cette polémique autour de Biyouna reflète-t-elle les craintes d'une radicalisation de la société dans les pays arabes avec les récentes victoires des partis islamistes en Tunisie et en Egypte?

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  • Cinéma. Depardieu n’est pas le bienvenu à Alger


    Publié le 06/09/2018 - 13:26

    Gérard Depardieu, le 25 juin 2018. PHOTO / BELGA / THIERRY ROGE / AFP.

    Gérard Depardieu est actuellement en tournage pour un film historique en Algérie. Le choix de la star française pour un rôle principal provoque une vive polémique largement relayée sur les réseaux sociaux. 

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    Go !
     
     

    “Cela va dans tous les sens. L’interprétation par Gérard Depardieu du rôle de Hussein Dey [dernier souverain, à la fin du XIXe siècle, de la régence d’Alger intégrée à l’Empire ottoman] dans le film que réalise l’Iranien Jamal Shoorjeh est fortement critiquée”, relèveTSA-Algérie. L’arrivée de la star du cinéma français à Alger pour le tournage du film a été annoncée le 31 août par la productrice Samira Hadj Djilani sur sa page Facebook.

    “Réalisé par l’iranien Jamal Shoorjeh, connu par ses films historiques, Ahmed Bey, qui retrace la vie et le parcours du dernier bey de Constantine [dignitaire qui dirigea la ville sous la régence d’Alger] d’après un scénario de Rabah Drif, est déjà en tournage”précise le site algérien. Au début d’août, le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a donné le coup d’envoi au Centre algérien du développement du cinéma (CADC), qui produit le film. Mais le casting n’est pas du goût des Algériens.

     

    Un acteur français visé par une plainte pour viol

    ‘Depardieu à Alger. Il n’y a pas un Algérien pour jouer Dey Hussein ? Scandale artistique’, écrit Tawfiq Belfadel, jeune écrivain et chroniqueur algérien, sur son compte Facebook.‘N’avez-vous pas dit qu’il fallait encourager la production locale, le comédien local ?’ s’interroge Hocine Cherroud. Le comédien Rachid Bengoudifa se plaint d’avoir été supprimé du casting après avoir été contacté par les producteurs du film Ahmed Bey. ‘Je n’ai pas compris qui a choisi les acteurs’, s’étonne-t-il, disant n’être pas contre l’engagement d’un comédien étranger. ‘Vous avez tourné le dos aux acteurs algériens. Beaucoup d’entre eux ont fait leur preuve dans des films en Europe. Quelles sont vos motivations pour un tel choix ?’ s’interroge, de son côté, Waheb Benarab”, relate TSA-Algérie.

    Ainsi, le fait d’avoir recours à un acteur français n’est pas pour plaire. Qui plus est un acteur français récemment visé par une plainte pour viol, comme le pointe la page Facebook Algérie aujourd’hui suivie par quelque 700 000 abonnés : “Les responsables de la culture en Algérie n’ont pas trouvé mieux que d’offrir le rôle de Dey Hussein à l’acteur français controversé Gérard Depardieu qui est au cœur de beaucoup de scandales en France.” “Parmi ‘les scandales’ évoqués, l’affaire de l’agression sexuelle, portée devant un tribunal à Paris, par une comédienne française contre Depardieu, comme le souligne un internaute indigné que le rôle de Hussein Dey soit confié à ‘un criminel accusé de viol’ en France”, rapporte TSA-Algérie.

    Un comédien qui soutient Israël

    Le site algérien poursuit en relatant des commentaires qui dénoncent les liens d’amitié qu’entretient Gérard Depardieu avec Israël. “‘L’argent du peuple algérien est offert à un ami d’Israël… Il s’agit d’un lobby dangereux en Algérie. Depardieu est un grand partisan d’Israël. Je pense qu’il appartient aux députés et au ministère des Moudjahidine [les combattants pendant la révolution algérienne] de bouger pour arrêter cette dérive’, conseille le journaliste Mohamed AllalOffusqué, Abdelali Mezghiche, journaliste à l’ENTV, qualifie d’inacceptable [le fait] de confier le rôle de Hussein Dey à un comédien ‘qui soutient l’entité sioniste. Les hommes libres de ce pays ne vont pas se taire’, menace-t-il.”

    La productrice Samira Hadj Djilani a tenu pour sa part à assumer son choix, souligne TSA-Algérie, qui cite ses déclarations faites au quotidien Echorouk : “Je n’ai pas besoin de leçon de patriotisme. Je fais partie d’une famille qui a donné 15 martyrs pour ce pays.” “Selon elle, 80 % des techniciens du film Ahmed Bey sont algériens. À TSA, Samira Hadj Djilani a précisé que la présence de Gérard Depardieu a apporté beaucoup de visibilité au tournage du film. Le choix du comédien français a été fait depuis six mois, selon elle. ‘Je suis en train de travailler et j’assume mes choix. Je n’ai de compte à rendre à personne sauf à ceux avec qui j’ai signé le contrat, c’est-à-dire le ministère de la Culture’”. Pour le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, “actuellement, on cherche toujours à donner une audience internationale à un film ‘en choisissant un réalisateur, un scénariste ou un comédien connu’”.

    Fayçal Métaoui
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    « LA MARCHE », DE NABIL BEN YADIR

     

    En 1983, dans une France en proie à l’intolérance et aux actes de violence raciale, trois jeunes adolescents et le curé des Minguettes lancent une grande marche pacifique pour l’égalité et contre le racisme, de plus de 1000 km entre Marseille et Paris. Malgré les difficultés et les résistances rencontrées, leur mouvement va faire naître un véritable élan d’espoir à la manière de Gandhi et Martin Luther King. Ils uniront à leur arrivée plus de 100 000 personnes venues de tous horizons, et donneront à la France son nouveau visage. Teaser du film La Marche qui sera en salles le 27 Novembre.

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