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    Liste des films Algériens, par titre
    67 films.

     

    67 films.
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    Les affiches de films algériens, de 1962 à 2012

     

     

    Une affiche de film, est d'abord une trace. Quand elle est signée par un artiste, elle prend davantage d'importance. A un moment donné l'on a redouté la disparition de nos archives (films et affiches) car mal stockées (effets de l'humidité, vols, détérioration, etc.) Le cinéma algérien a une histoire et il faut tout répertorier. Certaines affiches évoquent les films qui ont eu un retentissement international (La Bataille d'Alger, le Vent des Aurès, Chroniques des années de braises, Omar Gatlato, Mascarades, Hors-la-loi….)

     

    D'où  la numérisation, au début de l'année 2011, de 1 000 affiches de films classés dans ses archives, aussi bien algériens qu'étrangers par le centre cinématographique algérien, lequel  organisme  public  comptabilise à son niveau 6 000 films en bon état (de 16 mm et de 35 mm)

     

    Qui dit affiches de films, pense aussitôt au compositeur Ahmed Malek, né le 6 mars 1931, à Bordj el Kiffan, à Alger, et que d'aucuns ont comparé à l'Italien  Ennio Moriconne. (Voir vidéo ci-dessus, affiches de films avec musique d'Ahmed Malek).

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  • Avoir 20 ans dans les Aurès 

    de René Vautier
     • Algérie, 1972 - 97’
    Avec : Philippe Léotard, Alexandre Arcady, Hamid Djelloul, Jacques Canselier

               
     
     

    Le Charbonnier 

    de Mohamed Bouamari
     • Algérie, 1972 - 100’
    Avec : Fettouma Ousliha, Youcef Hadjam, Ahmed Hamoudi

               
     
     
     

    Tahia ya Didou 

    de Mohamed Zinet
     • Algérie, 1971 - 76’
    Avec : Himoud Brahim, Georges Arnaud, Mohamed Zinet

               
     
     
     
     


    Un couple de touristes français découvre Alger. L’homme dans un bistrot
    reconnait un Algérien qu’il a torturé pendant la guerre… Une commande de la Mairie d’Alger devient un film iconoclaste, mêlant le tragique et le comique, 
    plein de poésie. Film exceptionnel, en voie de disparition.

     

               
     

     

    Le Vent des Aurès

    de Mohamed Lakhdar Hamina 
    • Algérie, 1966 - 90’
    Avec : Keltoum, Mohamed Chouikh, Hassan El Hassani, Mustapha Kateb

               
     
     
     
     
    En pleine guerre, une mère cherche désespérément à retrouver son fils 
    incarcéré par l’armée française... Un film épique à la gloire de la lutte populaire.
               
     

     

    Chronique des années de braise 

    de Mohammed Lakhdar Hamina
     • Algérie -1975 - 177’
    Avec : Lakhdar Hamina, Jorgo Voyagis, Sid Ali Kiret, Larbi Zekkal, Nadia Talbi

             
     
     
     
      Ahmed, paysan pauvre, quitte son village pour la ville à la recherche
    d’une vie plus facile. Il rencontre Milhoud, un fou visionnaire, et surtout
    la misère et l’injustice.
    Chronique de l’histoire algérienne, de la conquête française (même si
    l’histoire commence en 1939) au déclenchement de la guerre de libération
    en 1954. À travers la vie d’une famille et de quelques individus
    symboliques, le peuple algérien tout entier résiste à l’expropriation de ses
    terres et à la déculturation

     

    Le repenti

    de Merzak Allouache
     • Algérie - 2012 - 87’
    Avec : Nabil Asli, Adela Bendimered, Khaled Benaissa

             
     
     
     
      Algérie région des hauts plateaux. Rachid, un jeune djihadiste quitte le maquis et regagne son village. Pour bénéficier de l’amnistie de la loi "pardon et concorde nationale", il se rend à la police et restitue son arme. Il devient "repenti" mais la loi ne peut effacer les crimes et pour Rachid s'engage un voyage sans issue où s'enchevêtrent la violence, le secret, la manipulation.
    Son voyage va croiser le destin meurtri d’un couple, séparé, victime du maquis
    islamiste où Rachid opérait.

     

    Bab El Oued City

    de Merzak Allouache
     • Algérie - 1993 - 91’
    Avec : Nadia Kaci, Mohamed Ourdache, Hassan Abdou, Mourad Khen

               
     
     
    Bab El Oued City de Merzak Allouache  - FCAPA 2012
    Tourné en plein terrorisme islamiste, sous le régime du couvre-feu, le film se situe en 1989, après la révolte d’octobre 88
    qui a obligé le régime à une
    certaine libéralisation, et permis aussi le développement du FIS. Le film oppose Saïd chef de file des islamistes du quartier et Boualem un jeune qui aspire à vivre normalement sans être, à son retour de travail de nuit, empêché de dormir par les hauts parleurs de la mosquée.
    Au delà de la description de
     
      l’esprit totalitaire et des brutalités des islamistes de cette période de transition, la voix off discrète de l’amie de Boualem permet de se projeter en 1993, à l’époque du terrorisme sanglant. Le film est toujours aussi actuel..
     

     

    Guerres secrètes du FLN en France

    Malek Bensmaïl • Algérie/France, 2010, 1h10’

               
     
     
     
           
    Cet automne est aussi le 50è anniversaire d’un évènement tragique,
    le massacre à Paris, le 17 octobre 1961, par la police française
    de dizaines d’Algériens manifestant pacifiquement à l’appel de la
    Fédération de France du FLN.
    Malek Bensmaïl rend hommage à ces victimes et éclaire les circonstances 
    de ce drame. Plus largement, son film est l’histoire méconnue de cette guerre menée par le FLN en France, transportant pour la première fois dans l’Histoire 
    une révolution populaire sur le sol du pays occupant. Une histoire d’agents secrets, de combattants sacrifiés, de conflits entre militants algériens, d’attentats, d’avocats et intellectuels mais aussi de doutes, d’espoirs brisés 
    et, au final, d’un combat qui se gagne ici, en France : la fin d’une guerre 
    de sept années et l’indépendance d’une nation. 
    Ce film passionnant, parfois bouleversant, est composé d’entretiens 
    avec des acteurs et témoins de l’époque ainsi que d’archives inédites.

     


    La Chine est encore loin

    Malek Bensmaïl • Algérie/France, 2008, 120’
     

     
     
      Dans un petit village des Aurès, le 1er novembre 1954, le meurtre d’un couple d’instituteurs français et d’un caïd algérien marqua le déclenchement de la guerre d’indépendance de l’Algérie.
    Cinquante ans plus tard, Malek Bensmaïl revient dans ce village, « berceau de la révolution algérienne » et, durant un an, filme une classe de l’école. Cette chronique, dont le titre est emprunté au Coran «Recherchez le savoir, jusqu’en Chine s’il le faut.» brosse le portrait étonnant et passionnant d’un pays prisonnier de son passé, où l’indépendance des esprits n’est pas acquise.

     

     


    Sektou (Ils se sont tus...)

    Khaled Benaissa • Algérie, 2009, 18’
    Avec Zahir Bouzrar, Hichem Mesbah.

     

     
     


    Smaïn, animateur de radio la nuit travaille dur et le matin venu, il ne rêve que d’ une chose : dormir. 
    Mais l’affaire se complique car malheureusement pour lui, sa chambre, en plein centre d’Alger, donne sur la rue et à cette heure-là Alger s’éveille. 
    Ce court métrage tendre et burlesque a obtenu le Grand Prix au Fespaco 2009 et au Festival de Taghit 2009..

    « J’ai eu l’idée du film en attendant un ami, debout au cœur de mon quartier et alors j’ai aperçu une série de mes personnages qui vantaient à tue-tête leurs commerces... Je me suis dit: heureusement, je me suis réveillé tôt ce matin »
    Khaled Benaissa

     

     


    Douar de femmes
    de Mohamed Chouikh (Algérie, 2005, 103’, VOSTF)
    Avec : S. Nouacer, K. Benaissa, B. Rachdi, A. Guechoud, N. Zaater, A. Chouikh, A. Ouznadji, K. Seghir, S. Hilmi

     

         
    Douar de femmes" de Mohamed Chouikh
     




    Sabrina, recueillie dans un douar, découvre une population pauvre et asphyxiée par le terrorisme. Les hommes se font recruter en usine à la place de leurs femmes et confient à ces dernières leurs armes pour se défendre durant leur absence. Ils chargent les vieux de veiller à leur vertu. En prenant les armes, les femmes découvrent leur pouvoir et prennent conscience de leur statut. Le rapport de force est bouleversé et les tabous transgressés.
     

     

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