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    مُساهمة Ù…Ù† طرف Palomba ÙÙŠ 2013-01-08, 13:06

     

    Qui parmi nous ne connaît pas ce talentueux acteur, très connu par Mourad Bensafi de son vrai nom Abdelkader Hamdi. Son grand rôle dans le film « Les enfants de novembre » de Moussa Haddad est inoubliable. A signaler que ce grand acteur Algérien a vécu dans l’anonymat et quitta ce monde dans une situation très critique. Alors aujourd’hui, je dis et je redis : le nom de ce jeune acteur restera aggravé dans toutes les mémoires des funs du cinéma Algérien

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  • L'INSPECTEUR TAHAR 'CONTRE LA SOURIS' | Yahia Ben Mabrouk - L'apprenti | Hadj Abderrahmane - L'inspecteur Tahar >>

    Yahia Ben Mabrouk - L'apprenti | 26 avril 2011

    Yahia Ben Marbouk est né le 30 mars 1928 à Alger. Ses débuts de comédien remontent à 1940, il faisait partie des Scouts Musulmans Algériens. Tout à fait par hasard, il monte sur les planches pour remplacer un jeune comédien tombé malade au sein de la troupe El Masrah El Djazaïri.

    Cette troupe qui s’est faite dans l’anonymat complet, était formée de jeunes acteurs de talents dont les noms n’ont pas mis longtemps à devenir prestigieux : Hadj Omar, Sid-Ali Kouiret, Allel El-Mouhib, Rouiched, Hadj Chérif, Abdelkader Bougaci, M’Guellati et tant d’autres.

    Tous ces acteurs allaient par la suite être regroupés sous une même enseigne pour donner naissance au El Masrah El-Djazairi, dirigé par Mustapha Kateb. C’est notamment sous la houlette de ce dernier que Yahia Ben Mabrouk dit « L’Apprenti » a fait réellement la connaissance de l’art théâtral.

    En 1956, Yahia Ben Mabrouk a dû, la mort dans l’âme, cesser toute activité théâtrale suite à un attentat perpétré contre sa personne par des éléments extrémistes français ce qui lui a valu d’être éloigné des planches durant pratiquement deux années. Quelques temps après avoir recouvré sa santé, vers la fin 1957, il reprit son bâton de pèlerin pour emprunter de nouveau le chemin de l’exil qui devait le mener droit vers la France.

    Dès son arrivée, il se remettait au travail en particulier à plusieurs représentations données dans des villes où existait une forte communauté d’émigrés algériens. Son séjour en France allait cependant être de courte durée car une mission autrement plus importante l’attendait.

    En effet, au début de 1958, les responsables du FLN l’invitaient à rejoindre Mohamed Bouzidi H’ssissen, Boualem Rais, Sid Ali Kouiret, Saâdaoui et d’autres dans le but de former une troupe théâtrale capable grâce à la valeur de chacun, de faire connaître l’Algérie et son théâtre à travers le monde.

    Après l’indépendance, il se retrouva, tout naturellement, parmi les éléments qui vont constituer le Théâtre National Algérien au sein duquel il évoluera jusqu’à sa mise en retraite au début des années 80. L’année 1968 est une année décisive dans sa carrière artistique car elle marque la naissance du duo explosif : Yahia Ben Mabrouk (L’Apprenti) et Hadj Abderrahmane (L’Inspecteur Tahar).

    Le premier film qu’ils tournèrent ensemble a été L’Inspecteur en fuite qui fut suivi de plusieurs autres, en l’occurrence La Poursuite, El Meshoul, Les Vacances de l’Inspecteur Tahar, Le Chat, etc. Dans chacun de ces films, les deux comédiens tentent de se renouveler, de créer de nouveaux gags, de réaliser de nouvelles choses pour ne pas se répéter et lasser le public.

    Ces films :

    Le Chat [1978] 
    L'Inspecteur Marque le But [1977] 
    Les Vacances de l'Inspecteur Tahar [1975] 
    La Souris [1968] 
    L'Inspecteur Mène l'Enquête [1967] 
    La Poursuite

          Le succés : Les Vacances de l'inspecteur Tahar de Moussa Haddad

    Le film a été réalisé en Algérie en 1972. Il dure 1 h 50 mn.

    Réalisation : Moussa Haddad 
    Scénario : Hadj Abderrahmane 
    Image : Rachid Merabtine 
    Montage : Rachid Benallal 
    Musique : Ahmed Malek 
    Interprétation : Hadj Abderrahmane, Yahia Ben Mabrouk, Hassan El Hassani, Attab Benali, Zohra Faiza

    L'inspecteur Tahar et son adjoint que l'on appelle l'Apprenti, sont invités par Oum Traki, héroïne populaire tunisienne, à passer leurs vacances à Tunis. Avant de quitter Alger, ils font halte dans un complexe touristique où un meurtre vient d'être commis. L'enquête pleine de surprises et de rebondissements les mènera jusqu'à Tunis où ils retrouveront Oum Traki et sa famille...

    Publié par AMKalger à 21:05:15 dans Artiste algérien Commentaires (0) 

     

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  • <header class="post-header" style="color: rgb(51, 51, 51); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; overflow: hidden; padding: 15px; line-height: 20px;">

    PREMIER ANNIVERSAIRE DU DÉCÈS DE L’ACTEUR RACHID FARÈS

    Rachid Fares né le 9 mars 1955 et mort le 20 juin 2012, originaire de Hussein Dey située à environ 5 km à l'est du centre-ville d'Alger, en Algérie, est un acteur algérien. Il a joué dans plusieurs films algériens, comiques, dramatiques.

    </header>

    Il était parti le 20 juin 2012, un an déjà que Rachid Farès nous a quittés. Il avait 56 ans, son coeur, trop tendre, l’avait lâché nous privant d’un comédien formidable. Passionné de théâtre et de cinéma, il avait marqué son époque, avant de se retrouver oublié de tous. Il avait joué dans plusieurs films, notamment « Le clandestin », « Morituri », «Le thé d’Ania», « L’envers du miroir ».  Sa dernière apparition a été dans le film sur la grande figure de la révolution algérienne Mustapha Ben Boulaïd réalisé par Ahmed Rachedi. En 2007, il a reçu le Fennec d’or de la meilleure interprétation masculine pour le rôle joué dans le feuilleton « El Aouda » (Le Retour). Nous ne l’oublions pas.

     

     
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    Filmographie[modifier]

    Cinéma[modifier]

    • Ben Boulaid (2007),
    • Télégramme (2006)
    • L'envers de miroire (2006),
    • Gourbi palace (2005),
    • Morituri (2005),
    • Le thé d'ania (2004),
    • Ombre vlanche (2000),
    • França ya frança (1997),
    • Bateau blanc (1996),
    • L'automne (1996),
    • El oueelf s3ib (1993),
    • Ya ouled (1989),
    • Le clandestin (1988),
    • hassane niya (1987),
    • la dernière image (1985),
    • nous irons dans la montagne (1984),
    • Le refus(1983),
    • Une femme pour mon fils (1983),
    • Le mariage de Moussa (1980),
    • Fait divers (1980),
    • les moinceaux d'Algerie(1987)

    Théâtre[modifier]

    • Nuit de divorce avec Sonia,
    • Le saltimbanque avec Sonia

    Télévision[modifier]

    • Le retour
    1er prix d'interprétation masculin fennec d'or 2007
    • douar f doular (2005)
    • Les rues d'Alger (2003
    • Frère et sœur (2002)
    • fils de famille (2002)
    • Ménagère de verre (2002)
    • L'aigle blessé (2002)
    • cœur oppressés (2002)
    • l'olivier (1992)
    • boite a chique (1990)
    • les enfants de soleil⇒1er prix d'interprétation masculin au festival de Tunis 1987
    • le pécheur (1984)
    • la grand tentative (1983)
    • un immense espoir (1982)
    • un aller simple (1980)

    === Réalisation ===: Contes et proverbe (1995) un épisode d'une série de Djamel Boukella

    Direction de production[modifier]

    Théâtre[modifier]

    • Les saltimbanques
    • Nuit de divorce

    Série Télé[modifier]

    • El awda
    • Saad el gat (Saad le chat)

    Références[modifier]

     

    Liens externes

     
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    Filmographie

    Cachez  HideActeur (11 titres)
    2007Morituri 
    Haj Garne
     
    2004Les suspects 
    Mahfoud
     
    1990La famille Ramdam (série TV) 
     
    1983Les sacrifiés 
    Hadj Politique
     
    1978Echebka 
    Maamar
     
    1977Les ambassadeurs 
    Salah
     

    SID ALI KOUIRET

     

    L'évasion de Hassan Terro                                                                      1976

     
    1973Décembre 
    Si Ahmed
     
    1971L'opium et le bâton 
    Ali
     

      


     

     

    Grand comédien de théâtre et de cinéma. Il eut une enfance difficile. Son père, chauffeur de taxi, rentrait souvent saoul et battait sa mère. Un jour, le gamin, excédé, prend un couteau et le plante dans le dos de son père1, il se retrouve ainsi dans la rue vivant de menus larcins. À 17 ans, il est souteneur au port et haït les artistes. Comme il aime nager et pour aller au môle, il fallait traverser la rue de la Marine, un beau jour il rencontre Mustapha Kateb qui dirigeait, dans les années 1950, une troupe de théâtre amateur, au Café de Daniel et se retrouve sans trop le vouloir à la rue Randon où Kateb répétait... Depuis, c'est la grande rencontre avec les planches et la soif des voyages.

    En 1951, il se retrouve à Berlin avec la troupe EI-Mesrah EI-Djazairi, puis à Paris, en 1952, entonnant Min Djibalina dans les cafés algériens. En 1953, il est à Bucarest pour le deuxième festival de la jeunesse et des étudiants pour la paix. La même année, il devient professionnel et signe avec la troupe municipale d'Alger dirigée par Mahieddine Bachetarzi. En 1955, la DST surveille le local de la rue Randon et fiche ses camarades. Il débarque à Marseille et rejoint Paris où il rencontre Mohamed Boudia, Hadj Omar, Missoum, Nourreddine Bouhired. « On faisait les cafés FLN », reconte-t-il.

    En 1958, il fait naturellement partie de la troupe artistique que met sur pied le FLN dans le but de sensibiliser l'opinion internationale. Après l'indépendance, il est au TNA et, à partir de 1963, il entame une brillante carrière cinématographique. Son premier rôle à l'écran, il le tient dans l'adaptation pour la télé par Mustapha Badie de la pièce Les Enfants de la Casbah de Abdelhalim Raïs(1963). Toutefois, ce n'est qu'avec L'Opium et le Bâton (1970) d'Ahmed Rachedi qu'il s'impose vraiment. Puis vient Décembre (1971) de M.L.Hamina, suivi de beaucoup d'autres films algériens et étrangers parmi lesquels on retient Le Retour de l'enfant prodigue (1976) de Youssef Chahine et Destins sanglants (1980) de Kheiri Bichara. Il prend sa retraite - anticipée - du TNA, en 1987. Repris cachet par Fouzia Aït El-Hadj, il rejouera dans Les Concierges de Rouiched, en 1991, et décrochera un premier rôle dans le feuilleton La famille Ramdam diffusé sur la chaîne française M6en 1992.

    Sid Ali Kouiret

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