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Par hechache2 le 7 Août 2013 à 14:51
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OMAR GATLATO
</header>« Omar Gatlato » est un film algérien réalisé par Merzak Allouache en 1976. Il raconte la vie à Alger d’Omar, un petit employé à la fois timide et hâbleur, oscillant entre l’appartement surpeuplé où il vit, son bureau, sa musique préférée et sa passion pour une voix inconnue.
Durée : 1h30
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Par hechache2 le 7 Août 2013 à 14:32
Othmane Ariouat
Othmane Ariouat, originaire de Barika Ne le 17 OCTOBRE 1932 dans les Aurès en Algérie, est un acteur algérien. Il a joué dans plusieurs films algériens historiques, sociaux, comiques, dramatiques1.
Biographie et préférences
Une entrevue faite par le quotidien La presse révèle un bref parcours de l'acteur
« Véritable monument du rire et de la comédie, Athmane Ariouat est devenu le comique préféré de tous les Algériens.
Il est né à M’Doukal à Barika, dans la wilaya de Batna, âgé aujourd’hui de 81 ans le rire n’est jamais gratuit, on y prend simplement du bon temps. Mais derrière se cache le plus souvent une vérité première, un message.
Passer un moment avec «Si Makhlouf el-Boumbardi», c’est à coup sûr rester plié de rire du début à la fin. Comédien dans l’âme, Athmane Ariouat se donne, malgré les vicissitudes du temps, de tout son être. Pas du tout exubérant dans la vie de tous les jours, étonnant par sa simplicité et sa pudeur, le «héros» de Carnaval fi dechra, sait attendre des heures dans l’obscurité pour mieux éclater à la lumière. Il a présenté (fin décembre 2003) son film (coproduit avec l’Entv) Er-roubla.
Il a fait d’abord le conservatoire d’Alger durant trois années de 1969 à 1972. Il a eu le mérite de décrocher à l’unanimité le 1er prix de diction en langue française. Il a été franchement encouragé par le professeur français Henri Vangret, qui était l’élève du grand Gérard Philippe et qui tous deux, étaient élèves à Paris, de Maurice Chevalier. Il a par la suite étudié le théâtre version arabe chez Mustapha Kasdarli, Taha Laâmiri et Allal Mouhib, trois hommes pleins de cœur et de talent.
Il préfère les acteurs tels que Salah Aougrout, Lakhdar Boukhers, Hamid Achouri, Kouider, Biyouna, Fatiha Berbère, Keltoum, Ouardia, Rouiched, Boubegra, Hadj Abderrahmane,Yahia Benmabrouk, Touri, Mahieddine Bachtarzi, Mustapha Kasdarli, Med Hilmi, Ali Abdoun, Allal El Mouhib, Taha Laâmiri, Djelloul Bachdjarah, Mustapha Kateb, Nouria,Boumediene Sirat, Boumediene Halilou, Kaci Tizi Ouzou, Slimane Kendssi, Djaâfer Beck, Bakhta Ben Ouis, Mohamed Djedid, Abdelkader Addad, Mustapha Himoune, Mohamed Hazim, Hamid, Abess Boudane, Antar Hellal, Allaoua Zermani, etc.
Il préfère les chanteurs El Anka, El Ankis, El Hachemi Guerouabi, Abdelkader Chaou, Ezzahi, Blaoui El Houari, Ahmed Ouahbi, Ahmed Khelfi, Aït Menguellat... L'acteur aime la poésie arabe telle que les poèmes de Cheikh El Khaldi, Mustapha Ben Brahim, Benkeriou, Benguittoun, Smati, Moufdi Zakaria, Mahboub Bati ou El Badji, entre autres2. »
Filmographie
- 2004 : Chronique des années pub
- 2003 : Er-roubla
- 2002 : El Arch
- 1994 : Carnaval fi Dachra : Cheikh El Bombardier
- 1992 : Deux femmes
- 1992 : Famille comme les autres
- 1992 : Le Pain
- 1991 : De Hollywood à Tamanrasset
- 1989 : le choix
- 1989 : el taxi el makhfi
- 1988 : Le Docteur du Village
- 1984 : L'épopée de Cheikh Bouamama : Cheikh Bouamama
- 1978 : Le Chat
- 1976 : Les Déracinés
- 1976 : les fusils de la mère karar
- 1973 : la négligence
- 1973 : chaabia
- 1972 : sketch el bagra
- 1972 : sketch le mort vivant
- 1971 : archam
- 1969 : par vous et pour vous
- 1969 : le sorcier
- 1967 : l'avare de molière
- 1963 : le résultat
Références
- La Presse [archive]
- [référence erronée] La Presse Nour Abed [archive]
Liens externes
L'acteur Athmane ARIOUATE,alias Si El-Makhlouf
L'acteur Athmane ARIOUATE,alias Si El-Makhlouf. Le comédien le plus populaire et le plus aimé en Algerie. Le meilleur acteur à mon avis!
Dommage qu'on n'évalue pas son talent à sa juste valeur?
Personne n'est roi dans son pays! C'est le cas de cette grande figure du 7ème art.
Malgré l'appréciation confirmée par la majorié des algeriens , rares sont les producteurs qui ont voulu engagé ce grand acteur.Nombreux,sont les réalisateurs qui se sont fait un nom,grâce aux prestations de Athmane ARIOUATE.
Ses principaux rôles dans les films,L'épopée du cheikh Bouamama ,Le Clandestin et CARNAVAL FI DECHRA, en sont la preuve. Si on proposait un vote aux Algériens sur le meilleur acteur,je suis persuadé que Athmane ARIOUATE l'emporterait haut la main.
C'est une perte que de ne pas exploiter le talent de ce grand Homme du cinéma Algerien.
<header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 20px;">28
JUIL.
Vidéo de 36 minutes de certaines des meilleures scènes du grand comédien algérien Athmane Ariouet. On le voit à l’oeuvre dans des films comme « Le Pain » (1991), « De Hollywood à Tamanrasset » (1991), etc. Et bien sûr dans « Carnaval fi Dechra » ! Né en 1932 à M’Doukal à Barika (wilaya de Bathna), Othmane Ariouat a joué (…)7
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Par hechache2 le 5 Août 2013 à 22:41.
L'acteur algérien Larbi Zekkal décédé et inhumé à Alger
ALGER- L'acteur algérien Larbi Zekkal, interprète du Caïd dans le tout nouveau film de Rachid Bouchareb "Hors la loi", est décédé vendredi à l'âge de 76 ans et a été inhumé samedi à Alger, a annoncé la presse algérienne. Cet immense acteur, qui joué notamment dans "Chroniques des années de braise" et "La bataille d'Alger", a fait une chute de son balcon au premier étage d'un immeuble de la capitale algérienne. Transporté d'urgence à l'hôpital, il est décédé vendredi des suites de ses blessures, a rapporté le quotidien Al-Watan.Il a été enterré au cimetière de Sidi M'hamed en présence d'une foule nombreuse, dont sa famille, mais aussi des représentants du cinéma et ses amis, a rapporté l'agence algérienne APS.
Pour la ministre de la Culture algérienne Khalida Toumi, qui s'était rendue vendredi au domicile du défunt, "c'est une perte cruelle. Nous perdons un grand homme du cinéma algérien", a-t-elle déclaré à Al-Watan.
Né le 19 mai 1934 à Alger, Zekkal a débuté au théâtre dans les années 1950 avant de tourner dans la majeure partie des films après l'indépendance en 1962.
Il a joué des rôles dans plusieurs films consacrés à la guerre d'Algérie mais aussi d'autres comme "L'honneur de la tribu", "Moissons d'acier", "De Hollywood à Tamanrasset" et "Fatima, l'Algérienne de Dakar".
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Par hechache2 le 5 Août 2013 à 22:37
Décès de la comédienne et actrice Salima Labidi
La défunte Salima Labidi. D. R.La comédienne et actrice algérienne Salima Labidi est décédée jeudi matin à l’âge de 64 ans des suites d’une longue maladie, a-t-on appris auprès de ses proches. Née à Miliana, Salima Labidi a débuté sa carrière de comédienne, en 1966, au théâtre radiophonique à la Chaîne II de la radio nationale, enchaînant les rôles dans différentes pièces tragi-comiques traitant des problèmes de société. Ses performances de comédienne lui vaudront d’être sollicitée pour interpréter des rôles dans des téléfilms. Entre autres films qui ont propulsé la carrière de la défunte, Ahlil, ahlil et Yak ennighak (je te l’ai pourtant dit) réalisés par Rachid Harhar, El-Michouar(Le parcours) de Djamel Fezzaz et Akh’kham ned’da Meziane (La maison de Da Meziane), de Slimane Boubekeur, réalisé par Mahfoud Okkacha en trois séries totalisant 90 épisodes. Salima Labidi sera enterrée vendredi au cimetière d’El-Madania, sur les hauteurs d’Alger.
R. C.
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Par hechache2 le 5 Août 2013 à 22:22
Sa naissance:.
Le grand artiste Hassane BENCHICH connu sous le nom de Hassane El Hassani est né le 21/04/1916 à Boghar Wilaya de Médéa, il a suivi ses études primaires dans sa région natale pour l’obtention de son certificat d’enseignement primaire, son français s’est amélioré grâce à son père qui a enseigné cette langue pendant 30 années et qui est décédé en 1985 à l’âge de 91 ans.Notre artiste s’est marié en 1940 à Berrouaghia et est devenu père de 04 garçons et 03 filles dont l’une est décédée avant lui en 1986.
Il avait l'art et la manière de rester lui-même sur toutes les scènes, aussi bien dans la vie courante, sur les planches ou dans l'hémicycle de l'Assemblée populaire nationale (APN). C'était sa façon d'être. Celle aussi de s'exprimer. Normal pour un artiste né. La preuve est que Hassan El Hassani n'a jamais fréquenté une quelconque école d'art.
Son itinéraire professionnel:
Son itinéraire professionnel était court, au début il était coiffeur à Boghar puis à Berrouaghia il l’est resté jusqu’à la fin de 1947, il a, aussi, géré la salle du cinéma REX avec son frère Belkhir jusqu’en 1940. Et de 1947 à 1950 il a exercé plusieurs professions. De 1951 à 1954 il est devenu artiste au théâtre municipal avec Mahieddine Bachtarzi.Parcours patriotique et artistique:
Comédien, homme de théâtre, de cinéma, Hassan Bencheikh était aussi un militant de la cause nationale qui a participé activement en apportant sa note particulière et son sérieux en qualité de député du peuple algérien au sein de l'APN. Ammi Hassan est surtout connu sous le sobriquet de Boubagra ou encore celui de Si Naïnaâ, un personnage naïf aux humeurs changeantes. Un paysan se perdant dans une capitale dont il découvre toute « l'immensité » et toutes les vicissitudes.L’artiste Hassane était intéressé depuis son enfance par les manifestations culturelles, sportives et sociales, il a assisté en 1936 à la fondation de l’association CHAMS à Berrouaghia, cette ville qui l’a pris dans ses bras lui a permis de se lancer dès son jeune âge dans la vie active en exerçant le métier de coiffeur de campagne. C'est d'ailleurs ce métier qui permet à Hassan de comprendre qu'il est fait pour l'art. Le passage de la troupe théâtrale de Mahieddine Bachtarzi dans la région de Berrouaghia fait entrer le jeune Hassan de plein-pied dans le quatrième art. Il entame sa vie d'artiste professionnel durant les années 40 sous la houlette de Bachtarzi et Errazi. Hassan El Hassani monte quelques sketches avant de réaliser sa première pièce Les Rêves de Hassen, une satire socioreligieuse dénonçant le fait colonial. Ce qui lui a valu la prison de Bossuet et de Barberousse (actuellement Serkadji). Mais cela n'empêcha pas notre artiste de continuer son métier en créant des sketches pour remonter le moral de ses camarades prisonniers. Relâché à l'issue de la Seconde Guerre mondiale, Hassan El Hassani réalise la pièce Kaïd Bouchoumoura. Une pièce référence. Puisqu'elle est reprise en 1948 en changeant de titre, El Houria, avant d'être représentée sous l'autre titre significatif, Le Complot en 1950. C'est dans cette même pièce qu'est créé le fameux personnage de Si Naïnaâ. Cette réalisation référence est encore une fois reprise après l'indépendance avec le titre le plus connu des Algériens : Ti goule ou ti goule pas avec l'ajout d'un troisième acte : celui où on montre le drapeau algérien. Hassan El Hassani fonde, avec son compagnon Tayeb Abou El Hassan, la troupe L'Art algérien, avant de faire son entrée à la télévision en 1953 où il joue dans la pièce de Mustapha Badie, La Poursuite. L'artiste Hassan El Hassani se fait découvrir comme « moudjahid » en exploitant un autre filon : la sensibilisation et la mobilisation de ses compatriotes contre le colonisateur. Après Si Naïnaâ, Hassan El Hassani crée l'autre célèbre personnage, Boubagra, ce fameux paysan découvrant la vie moderne. C'était du temps où Alger connaissait un exode rural sans précédent. Et le naïf Si Boubagra répond au vice par la sagesse et la bonté. Et c'est ce qui reflète bien ce monde comédien qu'il porte : Hassan El Hassani. Notre jeune artiste se lance dans le cinéma en jouant dans Le Vent des Aurès réalisé par Mohamed Lakhdar Hamina.
Depuis, Hassan El Hassani a interprété trente-cinq films dont de longs métrages italiens, français (Les Aveux les plus doux, Z) et égyptien (Souk Karya). Hassan El Hassani a dû quitter le TNA après treize années d'exercice pour créer sa propre troupe, Théâtre des Quatre Saisons, qui a vécu de 1967 à 1978. On ne peut oublier les résonances du timbre de la voix de cet artiste aux fluctuations si limpides et avec laquelle il faisait partager le « rire » entre enfants et adultes. Il avait le don de donner sur scène cette chaleureuse bonté
qui existait en lui.
Durant le déclenchement de la deuxième guerre mondiale, notre artiste a pu profiter l’occasion de la préoccupation du colonisateur par la guerre, à réaliser beaucoup d’œuvres à vocation patriotique.
D'ailleurs notre grand artiste a été un grand formateur des acteurs qu'il a encadrés. On citera, entre autres, Mustapha El Anka, Doudja, Ouarda Amel, Stambouli et Nedjar. Et en reconnaissance de ce qu’il a présenté pour son pays dans différents domaines et comme cadeau d’anniversaire de sa 70ième année, l’ex-président Chadli l’a invité à l’accompagner aux états unis durant les années 80 et où on lui avait organisé une petite fête pour la circonstance, de cet évènement il disait :
«C'est le jour de mon anniversaire à San Francisco. C'est le plus beau jour de ma vie.».
Même en étant élu à l'APN en qualité de député, Hassan Bencheikh ne quitte pas les habits de Hassan El Hassani, le comédien. « Il ne voulait d'ailleurs pas se représenter aux élections législatives de 1982 », avoue un de ses camarades députés qui précise qu' « il voulait se consacrer au développement de la culture autrement ». Il était exemplaire dans son travail continu comme en témoignaient beaucoup de ses amis.
Ses œuvres artistiques:
Théâtrales:
Sa première était la pièce Les rêves de Hassane en 1943 suivie d’autres pièces telles que Le Caïd Bouchoumara 1948, neainae à l’école, neainae et 5 ha, El Fahem, Si Belkacem El Bourgoisi... comme il a participé à d’autres pièces qui ont montré son talent telles que : Si Hamouda, ti goul ti goul pas (1945), l’avare, Docteur malgré lui, Agha Mezaich…Télévision et cinéma
Il a participé dans beaucoup de films dont le nombre dépasse les 40, son premier film était le charlatan en 1959 au dernier film les portes du silence du réalisateur Amar Laskri en 1987, et d’autres films comme : Vent des Aurès 1966, l’opium et le bâton 1969, les vacances de l’inspecteur Tahar 1972, Evènements des années de braises en 1974, Bouamama en 1983.Avant sa mort de quelques jours, on lui a pris des scènes et des photos sur son lit de malade à l’hôpital Ain Naadja dans son dernier filme Les portes du silence où il a pris le rôle du Moudjahid qui présente un témoignage vivant sur l’un des martyrs de notre révolution. Cet évènement a mis en stupéfaction plusieurs artistes, réalisateurs et les amoureux du septième art.
Son décès:
Le vendredi 25 décembre 1987 à 10 h suite d'une longue maladie notre grand artiste nous a quitté à jamais à l’âge de 74 ans Il repose au cimetière de Sidi M'hamed de Bouzaréah. (Saïd Benmadi). Les noms Nainae, Belkacem, Boubagra sont restés gravés dans la mémoire des générations.Ses dires:
« J'ai appris mon métier à l'école de la vie. Du peuple. Je n'ai jamais fréquenté d'école. C'est en me confrontant et me frottant au peuple que j'ai appris à jouer. ».«Jouer, c'est savoir épouser plusieurs caractères, de nombreux personnages. C'est aussi : maîtriser son double».
Filmographie de Hassan El Hassani
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La Dernière Image
1986 (4)Comédie dramatique de Lakhdar Hamina, Mohamed Hamina-Lakhdar avec Jean-François Balmer, Hassan El Hassani, Michel Boujenah, Véronique Jannot, Merwan Lakhdar-Hamina, Véronnique Jannot.
Un village algérien au seuil de la guerre de 1939. Mademoiselle Boyer, institutrice, arrive de métropole. Elle renverse, bouleverse cette société archaïque baignant dans le quotidien. Elle déclenche des passions d'amour et de haine, et finira par… Lire la suite
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Moisson d'acier
1983Film de Ghaouti Benddedouche avec Hassan El Hassani, Larbi Zekkal, Zohra Benyoucef.
Des villageois reconstruisent leurs vies malgré la menace "des moissons d'acier", c'est-à-dire des mines posées pendant la guerre et qui constituent toujours un danger pour leur vie… Lire la suite
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Hassan Terro
1968 (1)Drame de Mohamed Lakhdar Hamina avec Hassan El Hassani.
Hassan, petit-bourgeois couard, est entraîné malgré lui dans le feu de l'action révolutionnaire et pris pour un dangereux terroriste… Lire la suite
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Commentaires
Allah yarhama c etait une grande artiste qui jouait tres bien!! Qu allahl accepte dans son vaste paradis
Que dieu lui réserve une place au paradis notre chere aimée labidi l'algerie a perdu une lumiere du cinema courage l'algerie et courage les kabyles.
lahe irhmha c une vrai artiste la tv algerienne a perdu une grande
elle a donné des moments de bonheur aux télespectateurs
allah yarham maoutaanaa. Elle a su donné du bonheur aux telespecteurs.
Je l'aimais bien, il tenait son rôle à merveille.Elle symbolisait la femme Algérienne, elle est typique.
Ellah yaramha.
Pour le MCAF Omar AIT MOKHTAR
Povres artistes algeriens,pris entre famille revolutionnaire,islamistes et peuple inculte!!!
que dieu,le seul qui juge,leur accorde sa misericorde!!!
allah yarhamha
ALLAH yerhamhoum elle et Bentoumi , ina lilah wa ina ilayhi raji'oun
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