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    Mohamed Bouchaïb

     

    Mohamed Bouchaïb est un comédien algérien né le 17 juillet 1984 à Benghazi en Libye et ayant vécu dans plusieurs pays arabes.

    Biographie[modifier | modifier le wikicode]

    Mohamed Bouchaïb est l’aîné d'une famille de six enfants. Pendant son enfance, il voyage à travers le Monde arabe (SyrieLibanJordanieÉgypteTunisie, pays du Golfe) grâce au métier de son père. Il part au Qatar à l'âge de huit ans où il grandit jusqu'à l'âge de dix-sept ans. Il parle couramment l'arabe littéraire, l'anglais et le français. Durant sa jeunesse, il est inspiré par Charlie Chaplin et Adel Imam.

    Il fait par hasard la rencontre de Biyouna et Salah Augroute à l'âge de 19 ans. Cette rencontre a été décisive puisqu'elle lui permettra, la même année, d'être sélectionné pour le sitcom Nass Mleh City en 2004 réalisé par Djafaar Gassem. C'est grâce à ce premier sitcom très regardé, qu'il devient populaire auprès du public algérien. Il mène par la suite une vie d'artiste en multipliant ses projets.

    En 2007, l'Académie des Lumières lui décerne le prix du Meilleur Espoir Masculin pour son rôle de Khelifa dans son premier long-métrage ; Mascarades1.

    Filmographie[modifier | modifier le wikicode]

    Télévision[modifier | modifier le wikicode]

    • 2004 : Nass Mleh City (sitcom) réalisé par Djafaar Gassem.
    • 2005 : Zraa' Yenbet (feuilleton) réalisé par Mohamed Sahraoui.
    • 2005 à 2007 : El Fhama (émission comique) réalisé par Mohamed Sahroui.
    • 2008 : Djemai Family 1 (sitcom) réalisé par Djafaar Gassem2.
    • 2009 : Djemai Family 2 (sitcom) réalisé par Djafaar Gassem.
    • 2009 : Le Dernier Passager (court-métrage) réalisé par Mouness Khamar.
    • 2010 : Saad El Gat 1 (sitcom) réalisé par Yahia Mouzaham2.
    • 2011 : Saad El Gat 2 (sitcom) réalisé par Yahia Mouzaham.
    • 2011 : Djemai Family 3 (sitcom) réalisé par Djafaar Gassem.

    Cinéma[modifier | modifier le wikicode]

    Références[modifier | modifier le wikicode]

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    Hamza Feghouli

    Hamza Feghouli est un acteur comique algérien né en 1938 à Tiaret connu par le

    rôle de Mma Messaouda.[réf. nécessaire]

    Filmographie[modifier | modifier le wikicode]

    En 2006, il a joué le rôle de Hadj Omar dans Beur blanc rouge de Mahmoud Zemmouri1.

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    Mohamed Hilmi

     

    Mohamed Hilmi, de son vrai nom Améziane Brahimi, né en 1931 à Azeffoun, est un cinéasteacteurhumoriste et chansonnier algérien. Il est le frère de Saïd Hilmi.

    Biographie[modifier | modifier la source]

    Né le 15 février 1931 Azzefoun en (Kabylie). Mohamed Hilmi, assiste à dix ans, à son premier spectacle, Diviser pour régner, un sketch dans lequel Hassan El-Hassani jouait le rôle de Naâma. À treize ans, il quitte son villag natal pour Alger où son médecin traitant - il avait une ostéite bacillaire - lui procure un emploi de coursier dans une compagnie d'assurance. Parallèlement, il prenait des cours par correspondance durant trois ans. En 1947, on le sollicita pour un rôle dans la pièce Ould EllilBachetarzi ne lui attribuait que des petits rôles et c'est pour cette raison qu'il rejoint, en 1949, Rédha Falaki à la Radio. Il écrit même une pièce radiophonique pour la chaîne kabyle qu'il interprétera avec Cheikh Nordine et Abder Isker. En 1950, il renoue avec les planches. Après l'indépendance, il est l'auteur de nombreux sketches qui utilisent la chansonnette et se lance dans la réalisation de téléfilms, courts et moyens métrages : Chkoune YassbagEl-Ghoumouk,EchittaMat-FahmineListihlak et surtout l'Après-pétrole (1986). En 1993, il signe son premier long métrage, EI Ouelf Essaib, et publie, à compte d'auteur, une comédie satirique intituléeDémocra-cirque ou le cri du silence. Parcours miraculeux, une autobiographie, et Le présent du passé, paraissent chez Casbah Éditions en 2003.

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    Salah Aougrout

     

    Salah Aougrout 1 (né le 22 mars 1961 à Brives en France) est un humoristeacteur, animateur de télévision et de radio et scénariste algérien. Il œuvre principalement dans le répertoire comique, que certains rapprochent de celui de la série britannique Mr. Bean en raison de ses mimiques et ses gesticulations2.

    Biographie[modifier | modifier le wikicode]

    Fils d'un athlète, il décide très tôt de faire du théâtre de façon amateur au début, les téléspectateurs algériens vont le connaître sur une comédie musicale qui s’appelle Dja L'Maa, pour se professionnaliser par la suite. Il rejoint une troupe de théâtre à Blida en Algérie où il se fait repérer par un réalisateur algérien qui lui offre son tout premier rôle dans un téléfilm qui a pour titreCarnaval fi Dachra, Après il apparait dans le film "Dhaouaher" et "Dhaouaher wa Souloukat". Depuis Salah Aougrout enchaîne sketches télévisés, spectacles3.

    Avant 2004 il a tourné dans plusieurs films comme le Sketch Dhik fel Kloub....

    En 2004 et en 2006 il a joué dans Nass Mlah City 2 et Nass Mlah City 3.

    En 2006 il a tourné dans Binatna

    En 2007 il rejoint le casting du long métrage Mel Watni de sa femme Fatima Belhadj, le film évoque la Guerre civile algérienne durant les années 1990 à travers le prisme d’une famille modeste composée essentiellement de femmes. C'est son premier rôle dramatique au cinéma.

    En 2008 et 2009, il prend le rôle d'un conducteur de taxi dans la sitcom Djemai Family et Djemai Family 2 réalisée par Djaafar Gacem.

    En 2009, Salah Aougrout prépare son premier one-man-show, prévu pour début 2010.

    En 2011 Il prépare pour tourner dans un film "Rahate El-Bal Khir Mel Mal" avec Lakhdar Boukhers réalisé par Nacer Mohamed Taib. Et la troisième saison de la série comédienne Djemei Familly4.

    Récompense[modifier | modifier le wikicode]

    Il reçoit le prix du meilleur acteur de la deuxième édition de la nuit Fennec d’or, récompensant les meilleures créations et productions télévisuelles algériennes.

    Références[modifier | modifier le wikicode]

    1.  parfois orthographié Ougrout
    2.  (fr) Ali Chibani, « Au miroir brouillé du petit écran » [archive]Le Monde diplomatique, février 2009. Consulté le 27 octobre 2009
    3.  (fr) Salah Ougrout à l'expression : "Il faut sortir du bricolage" [archive], L'Expression, 10 janvier 2005. Consulté le 27 octobre 2009
    4.  «Djemaï Family 3» : Le tournage a eu lieu à l'extérieur des studios [archive], Djazairess, 25 avril 2011. Consulté le 18 juillet 2011
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    Mustapha El Anka

    Mustapha El Anka (né le 6 avril 1926 à ]

    Fils de Hadj M'Hamed El Anka, Mustapha El Anka obtient son certificat d'études à l'âge de 13 ans et intègre la troupe musicale dirigée par son père pour être percussionniste de darbouka de l'orchestre.

    En 1947, il se rend à Paris. Il apprend à jouer de la guitare, du banjo et de la mendole. Douze ans plus tard, il est recruté par l'ORTF en tant que conseiller technique et chef de section. À ce titre, il assiste aux enregistrements des disques en arabe et en kabyle le et rencontre de grands artistes dont Mohamed Abdelwahab et Farid El Atrache.

    Il se marie avec une Espagnole. Après la fin de la guerre d'Algérie, il retourne en Algérie et se retrouve au TNA comme chanteur dans l'orchestre de Haddad El-Djilali. Bref passage en 1967 àAnnaba puis retour à Alger en tant que comédien cette fois-ci dans la troupe de Hassan El-Hassani. Puis la tentation du cinéma où il excelle dans les rôles tragiques, plus de 60 films, dont les plus célèbres : Khoud m'atak allahA'ich ba tnach ou On peut toujours rêver aux côtés de Pierre Richard, son dernier film El Ouelf S'aib dans lequel il avait joué et qu'il ne verra pas.

    Il meurt 3 novembre 1993 à Alger et est enterré au cimetière d'EI-Kettar.

    Filmographie[modifier | modifier le wikicode]

     

    Mustapha El Anka, la star discrète 
    Hommage

    Publié dans Le Temps d'Algérie le 10 - 05 - 2009


    Il y a environ 15 ans, Mustapha El Anka, l'acteur, chanteur et humble artiste, se retirait de la vie artistique et la vie tout court. Cet artiste polyvalent a réussi à être sur le devant de la scène malgré sa discrétion et son comportement d'homme très simple.Le plus âgé des enfants de Hadj M'hamed El Anka, de son vrai nom Mustapha Aït Ouarab (Hallo), ne pouvait, comme tous les enfants (garçons) d'El Anka, que suivre la voie du grand maître. Agé de treize ans à peine, Mustapha accompagnera son père au tar en attendant d'entamer une carrière de chanteur.
    L'exil
    En pleine adolescence, Mustapha décide de s'exiler en France au début des années 1940. Après quelque temps de souffrance, il réussira à donner des concerts dont certains aux côtés des grands chanteurs Ahmed Wahbi et Cheikh El Hasnaoui. Contaminé par l'art, l'artiste ne pourra plus se passer de la scène.
    Il se fait admirer par les émigrés algériens en leur chantant, en kabyle et en arabe, des sujets liés à l'exil leur rappelant leur pays d'origine. Avant de rejoindre la troupe du FLN, il enregistrera El Qvayel et passe à la salle Ibn Khaldoun où il chantera merveilleusement Ya Malik El Mlouk Rebbi, autrefois enregistrée par son père sur disque 78 tours.
    Il faut rappeler que, touché par le départ de son fils en France, Hadj M'hammed El Anka lui avait lancé un appel au retour à travers une chanson en kabyle Izrin Yeghlev Lehmali. Mustapha répondra à son père, par la chanson en arabe Ya abi ya abi qui aura un grand succès. En 1963, Mustapha, rejoint le TNA qui venait d'être nationalisé. Mustapha Kateb qui connaissait bien ses qualités artistiques lui donne des rôles dans plusieurs pièces dans lesquelles, il confirmera ses dons de comédien.
    En 1968, il s'essaye au cinéma et c'est une vraie carrière d'acteur qui commencera pour cet artiste très doué. Au début des années 1970, il fait partie de la troupe du théâtre populaire algérien (TTP) dirigée par Hassan El Hassani. Cette troupe, dont faisaient partie de grands comédiens tels que Tayeb Abou El Hassan, Kaci Ksentini et Hamid Nemri, avait joué un grand rôle en rapprochant le théâtre des zones les plus reculées du pays. Ceux qui avaient suivi cette troupe se souviennent du rôle de garde champêtre joué par Mustapha El Anka dans la pièce Ti goule ou ti goule pas.
    Du théâtre au cinéma
    Sachant peut-être qu'il ne pourra jamais remplacer son père, Mustapha a carrément mis fin à sa carrière de chanteur et décida de se consacrer au cinéma et à la télévision. Les plus grands réalisateurs feront appel à lui. Il jouera dans le Charbonnier de Mohamed Bouamari, Prends dix mille balles et casse-toi de Mahmoud Zemmouri et La dernière image de Lakhdar Hamina.
    Sa carrière dans le cinéma aura été l'une des plus riches en Algérie puisqu'il jouera dans une soixantaine de films. Ses passages à la télévision ont tous été couronnés des succès, et il sera connu sous le personnage de Daïm Ellah jusqu'à sa mort qui le guettait à l'âge de 67 ans.
     
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