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    Faouzi Saichi

     

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    Hakim Dekkar

    Hakim Dekkar est un acteur algérien né à Constantine en 1967. Il a commencé à imiter 

    les actions de son entourage à moins de cinq ans, puis il s'intègre aux scouts musulmans algériens 

    où il a développé son instinct talentueux. L'aide de son frère aîné lui a permis d'adhérer

    au théâtre amateur puis professionnel. Sa première apparition à la télévision était dans la

    série Ya Chari Dala en 1988.

    Filmographie.

    • Djouha
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  • Kaki Ould Abderrahmane

     

    Abdelkader Ould Abderrahmane, dit Abderrahmane Kaki, (18 février 1934Mostaganem – 14 février 1995Oran) est un acteur et dramaturge algérien, auteur et metteur en scène d'une vingtaine de pièces de théâtre.

    Biographie[modifier | modifier la source]

    Abderrahmane Kaki naît à Mostaganem dans le quartier populaire de Tidjitt. Dès son enfance il se développe au contact de traditions culturelles vivaces. L'une de ses grand-mères connaît de mémoire un grand nombre de « kacimate », l'un de ses oncles est mélomane. Il participe aux fêtes populaires auxquels participent les « meddahs », côtoie le maître du chant bédouin Cheikh Hamada dont les enfants sont ses compagnons de jeu.

    Kaki n'a qu'une dizaine d'année lorsqu'il devient apprenti- « meddah » lors des fêtes scolaires de fin d'année. Il rejoint quelques années plus tard le scoutisme, présentant les sketches qu'il a créés à l'occasion des fêtes musulmanes. Il fait ensuite partie de la troupe de Benabdellah Mustapha. Dans les années 1950 il participe à des stages de formation dramatiques dans le cadre du service de l'Education populaire dirigé par Henri Cordereau.

    Kaki devient professeur d’art dramatique et fonde sa propre troupe en 1958. Il met en scène alors des pièces de PlauteCarlo GozziIonescoBeckett ou ses propres écrits, 132 ans (1962).

    Ses premières réalisations, définies par les termes de « théâtre-laboratoire » ou d' « avant-théâtre », articulent étroitement, sous la contrainte qu'impose la modestie de ses moyens, écriture théâtrale et langage scénique. « Nous n'avions pas les moyens de monter nos spectacles », disait Kaki. C'est pour cela que je me suis trouvé dans la nécessité d'inventer des formes ni pauvres ni misérabilistes, mais des formes épurées où le mouvement des acteurs est un langage (...) Je pensais que c'était le spectacle de la « halqa », des souks qu'il nous fallait, un théâtre de fête et de participation ».

    Dans sa réappropriation de l'héritage des formes de la théâtralité traditionnelle algérienne, Kaki ne s'en réfère pas moins à la démarche de Bertolt Brecht, dont il dit avoir reçu « la plus grande leçon », estimant s'être par la suite « libéré de son influence ».

    « Par la mise au point d'un schéma d'adaptation de la chanson de geste rurale avec ses thèmes puisant dans la mythologie du terroir et le patrimoine araboi-musulman (contes, légendes, récits investis par la chanson de geste rurale), pour raconter sur le mode poético-épique (du malhoun) la présence d'un peuple avec ses valeurs et ses traditions de lutte », écrit en 1981 Sidi Lakhdar Barka, Kaki est ainsi à l'origine de la première expérience d'un théâtre national.

    Durant la première décennie de l'indépendance algérienne il apparaît le créateur le plus actif et le plus en vue dans le domaine du théâtre, jusqu'à ce qu'un accident de voiture brise en 1968 son ascension.

    Familier des peintres algériens, Kaki préface en 1964 une exposition d'Aksouh à la Galerie 54 dirigée par Jean Sénac et Khadda réalise en 1974 les décors et costumes de sa pièce Bni kelbounprésentée au Théâtre national d'Alger.

    Œuvres[modifier | modifier la source]

    • La légende de la rose
    • Dem el hob
    • La Maison de Dieu
    • Avant-théâtre
    • 132 ans (1962)
    • Le Peuple de la nuit
    • Ifrikya qabla I (L'Afrique avant I, 1963)
    • Diwan el garagouz
    • El Guerrâb ouas-Sâlihîn (Le Porteur d’eau et les trois marabouts, 1966)
    • Koul ouahad ou hakmou (À chacun son jugement, 1967
    • Les vieux
    • Bni kelboun
    • Diwan el melah

    Jugements[modifier | modifier la source]

    • La pièce de Kaki El Guerrab oua salibine est en 1999 plébiscitée, « lors d'un sondage organisé (...) auprès d'une quinzaine de spécialistes et praticiens éprouvés du théâtre algérien, comme la production la plus marquante du répertoire national depuis l'indépendance, devant Ledjouad et El khobza (Abdelkader Alloula), El ghoula (Rouiched) et Boualem zid el goudam (Slimane Benaissa). (...) Kaki a été le pionnier du « théâtre ihtifali », que la marocain Tayeb Seddiki investira par la suite (...) en le popularisant à l'échelle maghrébine, arabe et internationale ».
    Kamel Bendimered (2003)
    •  « Kaki est bel et bien le premier qui, par ses sources de création, sa thématique, ses moyens d'expression et sa technique de représentation, a remis en question la conception dominante et pour ainsi dire omnipotente du théâtre à l'européenne – de moule aristotélicien, suivant la formule d'Alloula, en interrogeant son propre patrimoine culturel traditionnel dans ce qu'il pouvait lui offrir de vecteurs, supports et matériaux ».
    Kamel Bendimered (2003)
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    Sid Ahmed Agoumi
    © Eskwad
    • Métier
    • Nationalité
      Algérien
    • Naissance
      1940
    • Âge
      73 ans

     

    Année
    Titre
    Rôle
    Note utilisateurs
    2012 Cheba Louisa Tayeb
      3,5
    2012 Le Noir (Te) Vous Va Si Bien Rachid
      2,5
    2011 Les Cinq Parties du monde (TV) Le Niçois
      3,1
    2010 Beur sur la ville Le vieux Chibani
      2,1
    2010 L'Italien Mohamed
      2,4
    2007 Morituri Sid Lankabout
      3,1
    2004 Il était une fois dans l'Oued Monsieur Sabri
      2,0
    2000 Les Diseurs de vérité -
     
    1998 Paddy -
     
    1996 L'Autre côté de la mer -
      2,9
    1974 Zone interdite -
     
    1969 La Voie -
     
    1968 Les Hors-la-loi Slimane
      3,0

     

    sid ahmed agoumi

    Recherche : sid ahmed agoumi - 7 films trouvés - Elargir aux mots dans le désordre...

    ZZ
    26 février 1969
    Hors-la-loi (les)Hors-la-loi (les)
    29 décembre 1976
    Layla ma raisonLayla ma raison
    22 janvier 1997
    Il était une fois dans l'ouedIl était une fois dans l'oued
    19 octobre 2005
    MorituriMorituri
    25 avril 2007
    Beur sur la villeBeur sur la ville
    12 octobre 2011
    Noir [te] vous va si bien (Le)Noir [te] vous va si bien (Le)
    5 décembre 2012
     
     
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  • Hadj Lakhdar épate les Algériens

    Près de 15 millions d’Algériens suivent quotidiennement le programme Imarat Lhadj Lakhdar diffusé par la Télévision nationale juste après la rupture du jeûne. C’est là l’un des résultats d’un sondage effectué par l’agence MediAlgeria qui relève que “96% de la population ont regardé la télévision le premier jour du Ramadhan”. Le communiqué de l’agence indique également que ce sondage fait ressortir que l’ENTV enregistre un taux de pénétration de 64%, c’est-à-dire qu’environ deux tiers des Algériens ont regardé au moins 5 minutes les programmes de la chaîne.

    Elle est suivie par MBC1 et Iqra’ avec respectivement 18 et 8% de taux de pénétration. L’agence note aussi que “sur les 254 minutes passées à regarder la télévision, les téléspectateurs algériens âgés de 5 ans et plus ont regardé l’ENTV environ 106 minutes, ce qui donne à l’ENTV plus de 41% de part d’audience contre environ 20% le reste de l’année”. “Cette part d’audience atteint même 75% autour du prime time”, affirme l’agence en question qui indique que “le programme qui a enregistré le meilleur score est Imarat Lhadj Lakhdar puisque 51% des Algériens l’ont suivi”.

    Il est noté que l’audience de ce programme atteint même 72% sur la tranche des hommes âgés entre 30 et 39 ans et 50% sur les catégories socioprofessionnelles élevées (professions libérales, chefs d’entreprise, cadres supérieurs…). Le sondage qui a été conduit à Alger, Oran, Chlef, Constantine, Sétif et Biskra a concerné un échantillon de 5 600 personnes. L’opération se poursuit quotidiennement, selon l’agence.

    H. S. - Liberté Algérie

    Prévu pour ce Ramadhan : S’bitar Hadj Lakhdar en tournage à Alger

     

    Publié le 12/06/2011 à 08:56 - 2055 visites
    Source : horizons-dz
    Prévu pour ce Ramadhan : S’bitar Hadj Lakhdar en tournage à Alger

    Une comédie burlesque sera diffusée durant ce mois sacré. Il s’agit de «S’bitar Hadj Lakhdar»,

    une manière bien habile de «surfer» sur le succès du feuilleton «L’immeuble d’El Hadj Lakhdar», où encore du «Marché de Hadj Lakhdar». En tournage depuis quelques temps dans l’algérois et à l’hôpital de Kouba Bachir-Mentouri, plus précisément, ce feuilleton suscite déjà des échos. Lakhdar Boukhars qui s’est acquitté de cette lourde tâche, fait participer une nuée de comiques, qui ont aujourd’hui pignon sur scène. Ce feuilleton remet en cause la mentalité des responsables, et surtout des pratiques courantes à l’instar du favoritisme, de la bureaucratie, des phénomènes du siècle qui touche plusieurs pays du monde. Lakhdar Boukhars, pour qui cette production est avant tout, un moyen de partage, d’amour et de découverte, choisit des thèmes originaux pour exprimer le talent et le génie créatif qui peut habiter l’âme d’un artiste. Notons que le célèbre comédien Brahim Chergui a contribué à l’écriture des séries de ce feuilleton. Dans cette même optique, il est nécessaire de réactiver les comités de lecture de scénarios et leurs rôles quant à l’orientation des œuvres cinématographiques et de renforcer les consultants artistiques et la formation des chargés de ces missions.

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