• JUSQU’AU 20 NOVEMBRE AU MAMA, 5e FESPA

    Une centaine de clichés pour dire la condition humaine

    Par : APS.

    Le 5e Festival national de la photographie d’art (FesPA), regroupant les travaux de vingt et un photographes amateurs et professionnels autour de l’intitulé “la Condition humaine”, a été inauguré jeudi à Alger. Exposées jusqu’au 20 novembre au Musée public d’art moderne et contemporain d’Alger (MaMa), une centaine de photographies, en couleur ou en noir et blanc, explorent des thèmes aussi variés que le voyage, le regard sur l’autre, l’environnement, la solitude à travers des portraits, des scènes de vie ou des compositions. Ces clichés de factures inégales, réalisés par des artistes reconnus, prometteurs, ou par d’autres passionnés, offrent au visiteur un panel assez large de l’art de la photographie en Algérie, tout en l’interpellant, dans certaines œuvres, sur des réalités comme la trop grande place accordée aux nouvelles technologies ou les conséquences sur l’homme et l’environnement des essais nucléaires français dans le Sahara algérien. Ainsi, Ammar Bourras propose, à travers une juxtaposition minutieuse de plusieurs clichés, des vues multiples sur la région saharienne d’In Ekker (Tamanrasset) où des essais nucléaires souterrains avaient été menés par l’armée française dans les années 1960. Titrés comme les coordonnées géographiques (longitude et latitude) où ont eu lieu ces essais, ces trois œuvres montrent des amas de métaux radioactifs et de déchets industriels entreposés après les essais et qui sont aujourd’hui “déterrés” et “revendus” par des habitants de la région, explique Ammar Bourras. Ce travail, mené durant deux années par l’artiste, tente d’interpeller le visiteur à la fois sur les conséquences environnementales des essais nucléaires français, mais aussi sur le “manque de sensibilisation” des habitants aux dangers inhérents au ramassage de ces métaux radioactifs. Dans un registre tout aussi élaboré mais plus fantaisiste, le plasticien et photographe Tifadi Karim Nazim met en scène des poupées, dans un univers coloré et lumineux, composées de matériaux électroniques de récupération. Par ces compositions, curieuses et originales, Tifadi Karim Nazim veut attirer l’attention sur “la communication à outrance” et sur la solitude paradoxale qui résulte de la trop grande présence des technologies de l’information, explique-t-il. Le portrait est également à l’honneur dans ce 5e FesPA à travers des photos réalisées en Algérie, dans d’autres pays africains ou en Europe par de jeunes photographes, comme Ramzy Bessaïd, Khelfa Besma Djamila ou encore Markemal Khadidja. Cette grande diversité de styles et de sujets aura, par ailleurs, dérouté nombre de présents à l’inauguration, certains n’ayant pas trouvé de “rapport” entre les différentes photographies et le thème (la condition humaine) de l’exposition, jugé “trop généraliste” et “difficile à retrouver” dans toutes les œuvres. Le commissaire de l’exposition, Rafik Zaidi, a expliqué, pour sa part, que le titre de l’exposition avait été élaboré après la sélection des photographies, choisies davantage sur un critère de “qualité technique” que sur un thème donné. Organisé pour la seconde fois en neuf mois, le FesPA propose cette année une seconde exposition intitulée “Résidence photographique de Toudja” qui sera inaugurée samedi à la galerie Esma (l’Office de Riadh El-Feth) à Alger.

    APS

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  •  2014 AU MAMA

    Maître mot, la technique!

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    Maître mot, la technique!

    «La condition humaine» en référence à André Malraux, mais pas que cela est l'intitulé de cette expo qui se tient jusqu'au 20 novembre.

    C'est jeudi dernier que s'est ouverte la cinquième édition du Festival national de la photographie d'art au Musée d'art moderne et contemporain d'Alger. Premier coup d'oeil et première impression? Il y a du tout, de l'image dite conceptuelle, de la couleur, du noir et blanc, du misérabilisme, des paysages, des portraits, des situations de la vie anodine entre rire et joie, mais un peu de poésie quand même, enfin, par moment pour sauver les meubles mais point d'audace dans les traitements des sujets, encore moins dans les sujets eux-mêmes! Notre plus grand regret. Pour le reste...on sent bien une forte dichotomie entre la vraie réflexion, le travail esthétique de certains et l' amateurisme flagrant d'autres même si la technique y est présente, confortablement. Pour Rafik Zaidi le commissaire de l'expo «il y a deux nouveautés pour cette édition. Un appel ouvert donc tout le monde pouvait participer. C'est ce qui a fait qu'on a pu découvrir des photographes au niveau national qu'on ne connaissait pas du tout. La deuxième nouveauté est que le Fespa invite une expo. Cette année c'est la résidence de Toudja qui s'est tenue l'année dernière, que j'ai moi-même organisée et dont le vernissage aura lieu le 11 octobre à partir de 15h, à la galerie Esma de Riad El Feth. Le premier critère de sélection pour cette expo au Mama, était
    l'image qui devait être parfaite. Qu'elle soit prise correctement au niveau technique, au niveau composition ou lumière. Après ça, il y a eu le sujet. Car la thématique était libre. Il fallait voir la richesse du sujet raconté par l'image. Je me suis donné aussi un fil conducteur pour toutes les photos. Il s'agit de la représentation humaine. L'homme dans la société. Notre regard en tant que photographe sur notre société c'est à peu près ça qui a défini un peu le titre de l'expo qui est «La condition humaine». En tout, ce sont donc 21 photographes qui ont pris part à cette expo, dont une photo illustre la couverture du catalogue et que l'on retrouve tout le long du mur du rez-de chaussée du Mama. Il s'agit de «In between» de Atef Berredjem qui a illustré sa vision du monde uniformisé par cette représentation humaine froide, mettant en scène plusieurs hommes, debout côte à côte, dans une posture figée, sans trop d'expression sur le visage. La particularité de cette photo réside dans la façon qu'a eue l'artiste à traiter la couleur de la peau de ces hommes en jouant sur la matière grise et leur dégradé, une façon de dénoncer le racisme et la dictature et le pouvoir des races qui priment encore dans le monde. «Se basant ainsi, le principe de l'échelle des valeurs en chromatologie, j'ai réalisé les dégradés en gris coloré et j'ai peint les personnes. J'ai mis les dix degrés de gris entre le noir(à gauche un Malien qu'on appelle Black) et le Blanc à droite (homme blanc) pour montrer que le gris foncé est plus noir et le gris clair est plus blanc que le blond et du coup l'appellation de races blanche et noire est scientifiquement fausse et arbitraire» nous a-t-il expliqué. Dans un autre registre les photos de Amar Bourras qui nous revient fraîchement avec une installation photo des plus remarquables. L'artiste a bien su illustrer son idée laquelle s'est évertuée à souligner en images le concept «de frontière et des fronts, comme illustration des limites et des lignes entre les individus et l'autre, l'étranger, la mort et la vérité». Aussi, ses images qui expriment le néant où les déchets nucléaires dans le Sahara par exemple sont tous fragmentés en infiniment petits telles des particules qui desservent encore plus l'humain et le conduisent à sa perte, sa désintégration. Un travail minimaliste, pointu à saluer. Car l'on sent le labeur technique, conjugué à la pensée combinée, qui en a découlé. Dans un autre répertoire, plus ronflant, d'autres photos ont tenté de cerner la psychologie humaine sans trop y arriver telles ses images naïves de Achir Daouya Feriel, de flirter avec les couleurs à l'image du bleu à l'instar de Fourar Bachir, de nous restituer l'environnement des habitants de l'Afrique de l'Ouest comme Garni Rafik ou encore Constantine comme Ghazel Djamel. Certains plus fantaisiste se sont plus à jouer en créant des univers ludiques ou «sensuels», sans trop y arriver. Pour le second cas tant le déjà-vu prime sur l'originalité et le kitch sur la rêverie. On pense bien évidement à Sediki Louisa. En outre, les photos de Halim Zenati ont tenté de restituer le vécu ordinaire, mais néanmoins très difficile des Roms en France. Des photos qui se reprochent, plus, dirions-nous d'après notre perception du reportage que de la photo d'art. Du reste, finalement ce sont les photos en noir et blanc de Sid Ahmed Semiane (qui a signé aussi la préface du catalogue) et dans un degré moindre celles de Rafik Laggoune qui ont insufflé un peu plus de vie et de profondeur paradoxalement à cette expo malgré leur côté terne, en noir et blanc, et pourtant leur force résidait justement dans l'aura mélancolique qui se dégageait de leurs photos, tant celles-ci sont à prendre avec du recul. De la lecture, en somme nous était proposée et non pas de façon brute comme pour d'autres qui se regardent et sortent d'emblée de la mémoire aussitôt contemplées ou examinées. Tout de même l'expo est à visiter en toute urgence.

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  • Documentaire de témoignages de moudjahidine : Tournage à Saïda

    Un documentaire comportant des témoignages de moudjahidine ayant participé à des batailles dans la zone 6 de la wilaya cinq historique durant la glorieuse guerre de Libération nationale est en tournage à Saïda

    PUBLIE LE : 12-10-2014 | 0:00
    D.R

    Un documentaire comportant des témoignages de moudjahidine ayant participé à des batailles dans la zone 6 de la wilaya cinq historique durant la glorieuse guerre de Libération nationale est en tournage à Saïda, a-t-on appris, mardi, du secrétaire de wilaya de l’Organisation nationale des  moudjahidine (ONM). M. Hamassi Belkacem a indiqué à l’APS que le tournage de ce film, dont le coup de manivelle a été donné en septembre dernier en collaboration entre  l'ONM et le comité de wilaya de l’action culturelle, est axé sur des témoignages vivants de 32 moudjahidine de la wilaya de Saïda. Les témoignages abordent 18 batailles qui ont eu lieu dans la wilaya de Saïda dont la bataille d’El-Merdja, de Djebel Bouatrous, de El-Leba, de Tamesna et de Mimouna. À l’occasion de la célébration du 60e anniversaire du déclenchement de la guerre de Libération nationale, 20 minutes de ce film réalisé par des techniciens compétents du comité de wilaya de l’action culturelle seront projetés  devant un public de jeunes, notamment pour enrichir leurs connaissances sur des hauts faits de la glorieuse guerre de Libération nationale. Le secrétariat de wilaya de Saïda de l'Organisation nationale des moudjahidine a fourni des moyens de transport, en collaboration avec les autorités concernées, pour la réussite du tournage et de l’enregistrement des témoignages. Parallèlement à cette œuvre, un livre d’or portant les noms de chouhada et de moudne de la wilaya est en élaboration par l’ONM.
     

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  • Le festival du film franco-arabe aura lieu du 7 au 16 novembre

    Mots clés : 

    Par Le Matin | 29/09/2014 16:10:00 | 3694 lecture(s) | Réactions (0)

    Depuis 20 ans, le Festival du film franco-arabe de la ville d’Amman en Jordanie, organisé en collaboration avec l’Institut français de Jordanie, s’applique à mettre en lumière les liens étroits unissant le monde Arabe et la France. La troisième édition de son petit frère français, le Festival du film franco-arabe de Noisy-le-Sec (FFFA), se tiendra du 7 au 16 novembre dans la mythique salle de cinéma Le Trianon.

    L'afficheL'affiche

    A l’instar de son homologue Jordanien, le Festival du film franco-arabe de Noisy-le-Sec souhaite encourager les échanges et le dialogue entre les cultures en donnant à voir la diversité et la richesse du cinéma arabe actuel.

    Avec 7 avant-premières, un film inédit et des films sortis en salle récemment, la troisième édition du FFFA emmènera les spectateurs de la France au Maroc, en passant par la Tunisie, l’Algérie, la Palestine, la Mauritanie, la Syrie et la Jordanie, pour un voyage cinématographique fascinant. A l’image des différentes réalités de ces pays hétérogènes, les œuvres sélectionnées - fiction ou documentaire – abordent des sujets d’une grande diversité : la place des femmes, les conséquences du conflit israélo-palestinien, les désirs et les colères du monde Arabe, les questions d’identité et d’intégration… Autant de thèmes qui seront abordés pendant ces dix jours de festival, en présence de nombreux invités, réalisateurs et personnalités du cinéma.

    Programme complet sur www.noisylesec.fr et sur www.cinematrianon.fr

    FESTIVAL DU FILM FRANCO-ARABE de Noisy-le-Sec

    Une plongée dans le(s) cinéma(s) du monde arabe

    Au cinéma le Trianon

    Du 7 au 16 novembre 2014

    En ouverture du festivalvendredi 7 novembre à 20hMay in the Summer, le deuxième long-métrage de la réalisatrice américano-jordanienne Cherien Dabis, pose un regard féminin sur le monde Arabe. Cette soirée sera aussi l’occasion de découvrir les courts-métrages lauréats du Prix du Jury du Festival du film franco-arabe d’Amman en présence des réalisateurs A Cold morning in November de Robert Abboud (Prix du jury Fiction) et Samarde Mohammed Rahahleh (Prix du Jury Documentaire).

    En clôture, dimanche 16 novembre à 17h : Remise des prix du concours de courts métrages. Projection des films primés suivie du long métrage Cheba Louisa de Françoise Charpiat. 

    Rencontres avec les réalisateurs :

    Quand Sisyphe se révolte, d’Abraham Segal (samedi 8 novembre à 18 h)

    Printemps Tunisien de Raja Amari (avant-première avec l’équipe du film, samedi 8 nov. à 20h30)

    Le sac de farine de Kadija Leclere (dimanche 9 novembre à 16 h)

    C’est eux les chiens, de Hicham Lasri (débat par Skype, lundi 10 novembre à 20 h 30)

    El oued El oued, de Abdenour Zahzah (inédit le mardi 11 novembre à 19 h 30)

    L’Oranais, de Lyes Salem (avant-première le mercredi 12 novembre à 20 h 30 )

    Les Chebabs de Yarmouk de Axel Salvatori-Sinz (avant-première jeudi 13 novembre à 20 h 30)

    La Preuve de Amor Hakkar (samedi 15 novembre à 18 h)

    Le Challat de Tunis de Kaouther Ben Hania (avant-première, rencontre avec la productrice du film, dimanche 16 novembre à 14 h 30).

    Projection-concert :

    Timbuktu d’Abderrahmane Sissako (avant-première : vendredi 14 novembre à 20 h 30) 

    Projections :

    Qu’Allah bénisse la France de Abd Al Malik (avant-première samedi 15 novembre à 20 h 30)

    Loin des hommes de David Oelhoffen (avant-première samedi 15 novembre à 20 h 30)

    Et aussi : Du goudron et des plumes de Pascal Rabaté, Ana Arabia d’Amos Gitaï ;

    Ciné-philo (Dancing in Jaffa, de Hilla Medalia, samedi 8 novembre à 14h30) ;

    Séances jeune public : Contes Orientaux de Lotte Reiniger ; L’enfant dans le monde Arabe (programme de courts métrages) ; Wadjda de Haifaa Al Mansour) ;

    Compétition de courts métrages

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  • Ces acteurs qui vont jusqu’au bout !

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    ces acteurs qui vont jusqu'au boutOn a tous entendu parler d’acteurs qui s’étaient beaucoup entraînés pour leur rôle. Ils avaient fait beaucoup de sport ou bien perdu du poids.

    Voici 5 acteurs qui ont tout donné pour leur personnage.Ce ne sont des acteurs qui ont suivi « la Méthode ». Ils se sont fondu dans leur personnage. Ce ne sont pas les seuls, il y en a beaucoup d’autres, mais en voici déjà 5 qui ont fait de sacré performances.

     

     

    Daniel Day Lewis - My Left Foot

    1 – Daniel Day Lewis pour My Left Foot

    Dans My Left Foot Daniel Day Lewis joue Christy Brown, atteint de paralysie. Pour ce rôle, Daniel Day Lewis a passé deux mois dans un hôpital spécialisé. Il n’a pas quitté son personnage tout le long du tournage, restant dans un fauteuil roulant et se faisant nourrir à la petite cuillère. Du fait de sa mauvaise position sur le fauteuil, il s’est cassé deux cotes ! Daniel Day Lewis est réputé pour ce genre de performance et est abonné aux récompenses.

     

     

     

    2 – Robert DeNiro pour Raging Bull

    Rober de Niro - Raging BullDans Ragin Bull De Niro joue le rôle de Jake La Motta, champion du monde de boxe entre 1949 et 1951. Pour le personnage, De Niro s’est entraîné tous les jours pendant un an avec le vrai Jake La Motta. Ça lui a coûté 4 yeux au beurre noir, des dents cassées et une cote cassée. Jake La Motta a dit de De Niro qu’il « le mettrait dans les 20 premiers poids moyen du monde« . Mais ce n’est pas tout. Parce que pour la deuxième partie du film, Robert De Niro a pris 30Kg en 4 mois ! La métamorphose est impressionnante.

     

    Nicolas Cage - Leaving Las Vegas

    3 – Nicolas Cage pour Leaving Las Vegas

    Certainement la meilleure performance de Nicolas Cage. Il joue le rôle d’un alcoolique suicidaire qui part à Las Vegas. Cage s’est entraîné à boire avec un coach. Deux semaines de beuverie en Irlande pendant lesquelles il s’est fait filmer ivre afin d’étudier sa façon de parler. Il a aussi rencontré des alcooliques dans des centres spécialisés.

     

    4 – Christian Bale pour The MachinistChristian Bale - The Machinist

    Dans The Machinist Christian Bale joue un ouvrier insomniaque. Pour ce rôle il a perdu 28Kg en 4 mois ! Son régime se limitait à une tasse de café, une boite de thon et une pomme par jour. Bien que suivi par un médecin, c’est un régime extrêmement dangereux. Après son régime il faisait 54Kg pour 1,83m. Il voulait descendre à 45Kg mais la production  a refusé. Le plus surprenant c’est qu’après ce tournage il devait faire Batman Begins. On lui a donné 6 mois pour s’entraîner et reprendre du poids, histoire de pas faire un Batman rachitique. Il a donc repris 45Kg de muscle en 6 mois !

     

    Marlon Brando - The Men

    5 – Marlon Brando pour The Men

    Dans ce film de 1950, Marlon Brando joue un lieutenant de la deuxième guerre mondiale, gravement blessé au combat. Pour se préparer il est resté pendant deux semaines dans une chambre d’un hôpital de l’armé à Los Angeles.  Il a suivi les thérapies, se déplaçait en chaise roulante, et faisait des activités avec les patients de l’hôpital. Il a tout fait comme s’il était réellement hospitalisé.

     

    Et vous ? Jusqu’où iriez vous ?

     

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