• PAS DE COMPÉTITION AU PROCHAIN FESTIVAL DU FILM AMAZIGH D'AGADIR

    Les films amazighs algériens sanctionnés

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    Décision difficile du directeur du Festival amazigh d'Agadir, Rachid BouksimDécision difficile du directeur du Festival amazigh d'Agadir, Rachid Bouksim

    Une décision arbitraire de la direction du festival qui cache surtout une volonté d'empêcher les films algériens de s'affirmer dans le seul Festival, au Maroc, d'expression amazighe.

    Le 7e Festival Issni N'Ourgh international du film amazigh (Finifa) organisé annuellement à Agadir (sud du Maroc) et qui se tiendra cette année du 23 au 28 septembre, se déroulera sans compétition officielle ni projections de films amazighs, mais seulement avec un cycle dédié au cinéma catalan en qualité d'invité d'honneur de cette édition, ont indiqué les organisateurs.
    Une décision arbitraire de la direction du festival qui n'obéit pas au principe de promotion du film amazigh dans le Maghreb et qui cache surtout une volonté d'empêcher les films algériens de s'affirmer dans le seul Festival au Maroc d'expression amazighe. Car chaque année, les productions cinématographiques et audiovisuelles algériennes décrochent jusqu'à trois prix à chaque édition.
    L'année dernière, cinq films réalisés par des Algériens avaient participé à la 6e édition du festival qui avait projeté une trentaine de films en compétition officielle. Il s'agit de longs métrages: Vava Moh (2012) de Smaïl Yazid, Le sang et l'argent (2012) d'Idir Saoudi, des courts métrages Yidir (2012) de Tahar Houchi et de documentaires Matoub, l'éternel rebelle (2012) de Tahar Yami et ça coule de sources (2012) de Djamel Aït-Iftène. Yidir (2012) avait obtenu le prix du court-métrage en ex-aequo avec Ansite du réalisateur canarien Armando Ravelo tandis que Le sang et l'argent a eu le prix de la meilleure interprétation féminine attribuée à Hassiba Aït-Djebbara en ex-aequo avec l'actrice marocaine Zahia Zahiri dans le film marocain Aghrrabou (Le bateau) détenteur du prix du festival.
    Le festival a décidé de suspendre, à la surprise générale, la projection des films amazighs de la compétition officielle de cette 7e édition pour protester contre les institutions de tutelle, en l'occurrence le ministère de la Communication et le Centre cinématographique marocain (Ccm) quant à l'allocation dédiée au cinéma amazigh, à savoir 50.000 dirhams (environ 4500 euros), a précisé à la presse locale, le président du Finifa, Rachid Bouksim.
    De son côté, le directeur artistique, Rachid Moutchou, a souligné que «ce chiffre insignifiant prouve la continuité d'une politique de marginalisation du cinéma amazigh», ajoutant que «cela a commencé par l'exclusion des acteurs du cinéma amazigh de toute participation aux assises sur le cinéma marocain, organisé en octobre 2012. Et de toute contribution au Livre blanc sur le cinéma marocain, présenté en mai 2013».
    Il a fait remarquer que «le cinéma amazigh n'est pas représenté au sein des Commissions chargées des subventions». Outre le cycle consacré au cinéma catalan, le festival prévoit l'organisation de plusieurs ateliers dont celui de la critique cinématographique animé par l'Algérien Taher Houchi, commissaire du Festival international du film oriental à Genève, et d'autres sur la réécriture du scénario dédié aux sélectionnés du programme du fonds d'aide Issni N Ourgh du film amazigh, session 2014, l'initiation à la langue cinématographique, l'infographisme et sur la coproduction et de la recherche de financement étranger.
    Pourquoi alors maintenir un Festival amazighe pour diffuser des films catalans, qui n'ont aucune relation avec la culture identitaire Berbère? Il aurait été plus judicieux d'arrêter ou de reporter l'édition. En réagissant de la sorte, la direction du Festival amazighe marocain, fait le jeu du gouvernement Benkirane d'étouffer la culture amazighe et de fermer la porte à la production amazighe algérienne.

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  • Cinéma: Nadia Zouaoui primée au Etats-Unis

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    le 16.09.13 | 12h06 | mis à jour le 16.09.13 | 14h07 Réagissez

    | © D.R
     

     

    La documentariste algéro-canadienne, Nadia Zouaoui, vient de recevoir le prix du meilleur documentaire dans la catégorie Monde au Festival international du film de Harlem (New York, Etats-Unis) pour son documentaire Peur, Colère et Politique.

    Le documentaire raconte la montée de l’islamophobie aux Etats-Unis après les attentats du World Trade Center et comment le Patriot Act l’a systémisée.

    Fear, Anger and Politics (Peur, colère et politique) a été réalisé pour la chaîne qatarie Aljazeera Documentary.  Basé sur le rapport Fear Inc du Think Tank Centre for american progress et sur le livre Patriot Acts, histoires d’injustice post-septembre 2001, le documentaire raconte l’histoire de trois musulmans américains victimes «colatérales» de la guerre contre le terrorisme et met la lumière sur le mode de fonctionnement des réseaux islamophobes aux Etats-Unis,et de leur influence même sur le terroriste d’extrême droite, le Norvégien Anders Behring Breivik.

    « J'ai été un peu nerveuse de présenter ce film à New York un 11 septembre ...mais l'Amérique est une grande démocratie qui laisse au moins croire à une "l'illusion" de liberté. Merci à toute l'équipe et surtout à la belle communauté Algérienne de New York », a souligné Nadia Zouaoui sur sa page facebook.

    Une autre petite revanche pour ce film qui subit le black-out des télévisions canadiennes et québécoises depuis sa sortie le 11 septembre 2011mais qui enchaîne les honneurs.

    Cette distinction tombe bien avec ce qui se passe dans la province du Québec. Le gouvernement minoritaire du Parti québécois, historiquement social-démocrate mais qui est devenu carrément de droite selon les observateurs, veut interdire le voile que portent certaines musulmanes dans la fonction publique de la province bien que très peu nombreuses. Il veut aussi interdire le voile dans les garderies pour enfants, les écoles, les universités et les hopitaux. Une atteinte à la liberté religieuse qui rompt avec une tradition d’ouverture nord-américaine.  

    L’électoralisme d’une telle mesure a été dénoncé par plusieurs intellectuels Québécois. Elle vient avec le projet de la Charte des valeurs québécoises et semble trouver un écho auprès d’une base hostile à l’immigration et même islamophobe. Les commentaires sur les sites d’information inquiètent les musulmans du Québec. Une Algérienne de la ville de Québec en a déjà fait les frais quand elle a été insultée publiquement et son fils agressé dans un centre commercial car elle porte le voile.

    Samir Ben
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  • love storyL’amour rend idiot, c’est bien connu, alors en ces temps bien crétins de Saint-Valentin, Phil Siné vous propose une sélection mielleuse de cinq films d’amour débiles qu’il adore, pour une soirée « fleur bleue » en amoureux réussie sur le canapé, en attendant d’aller au lit pour des choses encore plus ludiques et surtout très lubriques…

    1. Love Story, d’Arthur Hiller (Etats-Unis, 1970)
    Parce qu’il fallait bien commencer par un « classique » et parce qu’il y a dans ce film doucereux en diable une réplique de la mort qui tue qui arrache à chaque fois les larmes sans que l’on comprenne bien pourquoi tellement elle est nunuche : « Aimer c’est ne jamais avoir à dire qu’on est désolé. »
    (J’aurais pu choisir « Autant en emporte le vent », mais là ça aurait fait probablement un peu « trop » classique !)sur_la_route_de_madison.jpg

    2. Sur la route de Madison, de Clint Eastwood (Etats-Unis, 1995)
    Tout simplement parce que c’est beau à pleurer et parce qu’il y a dans ce film la séquence cinématographique qui me bouleverse le plus au monde, et pourtant d’une simplicité désarmante, lorsque Francesca (divine Meryl Streep) est dans la voiture avec son mari et s’apprête à ouvrir la portière pour saisir son ultime chance de rejoindre son merveilleux amant (Clint Eastwood) dans la voiture devant eux… Mais le feu passe au vert, la voiture de Robert disparaît à tout jamais et la voix off de l’actrice me fait fondre à chaque fois.
    (Bonus à pleurer, que j’aurais pu également citer : « Les Parapluies de Cherbourg », de Jacques Demy, où la pluie coule à flot comme les larmes sur nos visages de spectateurs…)

    breaking_the_waves.jpg3. Breaking the waves, de Lars Von Trier (Danemark, 1996)
    Parce que l’amour ça peut être carrément trash aussi, parfois ! Comme l’amour fou de Bess (Emily Watson) pour son Jan paralysé, qui la pousse à coucher avec d’autres hommes juste pour venir lui raconter et assouvir ses fantasmes, quitte à ce qu’elle passe pour la traînée du village… Mais on ne compte pas son amour lorsque l’on a un « Cœur d’or » !

    4. Les Bien-aimés, de Christophe Honoré (France, 2011)
    Parce qu’il s’agit là du meilleur film de l’année dernière au cinéma et parce qu’Honoré possède un talent immense pour filmer les milles et une façons de s’aimer, en particulier lorsqu’il s’agit d’amour moderne, déviant, ou impossible, c’est à dire des amours les plus admirables…
    (Il a exploré le sentiment amoureux à travers une filmographie sertie de joyaux comme « bien aimesDans Paris », « Les chansons d’amour » ou « La belle personne »… Il a également fait des émules, dont le plus jeune et le plus doué est sans doute Xavier Dolan, qui nous a déjà livré des « Amours imaginaires » splendides !)

    5. Quand Harry rencontre Sally, de Rob Reiner (Etats-Unis, 1989)
    Parce que Meg Ryan (passage obligé de la comédie romantique) et parce qu’il faut bien rire un peu dans la vie, quand même !
    (Dans le même domaine, il y avait aussi les « Two days in Paris » que nous fait passer avecquand_harry_rencontre_sally.jpgbonheur une Julie Delpy fantasque et fantastique (on attend d’ailleurs ses « Two days in New York » avec une impatience folle – c’est normalement prévu pour le 28 mars prochain !) ou encore « Quand Harriet découpe Charlie », avec Mike Miers, une parodie cependant peut-être plus drôle que romantique…)

    Et vous alors, chers lecteurs, quels sont les films d’amour qui vous rendent fébriles et imbéciles ?

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  • Biyouna à l’affiche dans Mohamed Dubois et Chaba Louisa

    By  on mai 10, 2013
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    Par Algériades

    Durant la nouvelle saison, Biyouna est à l’affiche de deux longs métrages. Mohamed Dubois d’Ernesto Ona, est sorti le 1er mai. Tourné avec Eric Judor et Sabrina Ouazani, le film met en scène le premier dans le rôle d’Arnaud Dubois, un riche héritier avec une tête à se prénommer… Mohamed. Et lorsqu’il fait la rencontre de Sabrina qu’il veut à tout prix séduire, il n’hésite pas à lui laisser croire qu’il est un beur comme elle, allant même jusqu’à s’installer dans sa cité.
    Avec Cheba Louisa de Françoise Charpiat qui sort le 8 mai, le scénario de Mariem Hamidat s’attache à la rencontre de Djamila (Rachida Brakni), une juriste célibataire qui fait tout pour gommer ses origines, et Emma, sa voisine de palier révoltée, qui peine à élever seule ses deux enfants.

    Après avoir été sollicitée en chanteuse dans Opéra d’Casbah de Fellag (2003), puis en coryphée dans Electre de Sophocle (2006) et enfin en vieille maquerelle sans scrupules dans La Célestine de l’Espagnol Fernando de Rojas (2009), voici venir la chanteuse-comédienne sur scène avec son premier One Woman Show. Celui-ci devait être visible en juillet 2010 à Avignon. Deux représentations de lancement étaient enfin programmées en juillet 2011 au Pradet. Mis en scène par Ramzy Bedia, le spectacle était à l’affiche du Théâtre Marigny à Paris, de janvier à mars 2012.

    Durant l’automne 2010, Biyouna était visible dans Il reste du jambon ? d’Anne Depetrini (Sortie : 27/10) et Holiday de Guillaume Nicloux (Sortie : 8/12). On l’a ensuite vue dans le second volet de Aïcha de Yamina Benguigui, suivi de Aïcha 3, la grande débrouille, tous diffusés sur France 2. Biyouna joue également dans La Source des femmes de Radu Mihaileanu, sélectionné en compétition au Festival de Cannes (Sortie : 2 nov. 2011) et Cheba de Françoise Charpiat (2012) en compagnie de Rachida Brakni et Isabelle Carré.
    Au printemps dernier, Biyouna était enfin invitée sur Bichon, le nouvel album de Julien Doré. Elle y figure sur « Bergman », aux côtés de Françoise Hardy sur « BB. Baleine » et d’Yvette Horner sur « Homosexuel » (Sortie : 21/03).

    Parmi les (très) bonnes surprises de l’année 2006, Blonde dans la Casbah est venu confirmer tout le talent d’une Biyouna chanteuse allumée et inspirée. Car Biyouna c’est d’abord une voie éraillée et charmeuse, entre Brigitte Fontaine, Mama Béa et Reinette l’Oranaise, qui s’insinue avec aisance, ici, dans les volutes d’une nostalgie pop et chaabi. Avec Blonde dans la Casbah, produit par le compositeur – arrangeur Joseph Racaille (Bashung, Thomas Fersen, Dick Annegarn), la comédienne-chanteuse nous gratifie d’un second album, façon cabaret, servi par des arrangements aux délicates incrustations de piano, de violon et de cuivres, de guitare et de mandoline. Galette de douceurs désuètes, Blonde dans la Casbah nous donne à découvrir une Biyouna abonnée aux sixties de ses premiers pas et de ses rêves encore intacts.

    On y trouve des duos heureux avec, Christophe (« La Man »), la diva afro-anglaise du soul-jazz Malia (« Bismilah »), Didier Wampas (« Merci pour tout »), et des reprises chaleureuses d’El Hachemi Guerouabi (« El Barah ») et Kamel Messaoudi (« Echemaa »). Biyouna, qui chante ses petites et grandes brûlures avec un brin d’insolence, y est tour à tour émouvante (« Bismillahi », « La Man »), déjantée (« Les Coyottes », « Merci pour tout »), théâtrale (« Demain tu te maries », « Merci pour tout »).

    Avec des mentions spéciales, en particulier pour « Ta’ali », une ballade signée Mohamed El-Hamel et Mohamed Iguerbouchène, deux grandes figures de la chanson algérienne de l’entre-deux-guerres ; pour « Demain tu te maries » aussi, un tube de Patricia Carli (1963) que Biyouna tenait tout particulièrement à reprendre. Mention spéciale également pour les épanchements de « Bismillahi », « La Man » et « Une blonde platine dans la Casbah », qui donne son nom à l’album, un hommage à la mère et complice de l’artiste disparue en 2005 à 84 ans. Sans oublier « Tsaabli ouetmili » en forme de révérence à Fadela Dzirya.

    Né d’un coup de cœur d’Olivier Gluzman – aujourd’hui son agent qui est allé la chercher à Alger -, Blonde dans la Casbah est sorti le 17 octobre chez Naïve. Avec une formation motivée qui comprenait notamment le poly-instrumentiste virtuose Henri Agnel (guitares) et Mustapha Mataoui (piano), Biyouna en a donné la primeur sur scène à Paris lors d’une série de concerts au Divan du Monde.

    Révélée en France par Nadir Moknèche avec Le Harem de Madame Osmane et Viva Laldjérie, elle a encore tourné avec lui Délice Paloma, un troisième long-métrage dans lequel Biyouna campe le rôle d’une chef de bande qui n’a pas froid au yeux. Durant l’automne 2006, Biyouna a en outre été sollicitée au théâtre. Jusqu’en mars 2007, la comédienne-chanteuse était visible en tournée dans Electre de Sophocle. Dans cette tragédie mise en scène par Philippe Calvario, Electre/Jane Birkin était accompagnée d’un chœur chanté mené par… Biyouna.

    Née en 1952 à Alger, sœur de la chanteuse Faïza el-Djazaïria, la petite Baya Bouzar de Belcourt fait ses début (tambourin, danse et chœur) dans les orchestres de Fadela Dzirya et Flifla, avant d’entamer, à dix-sept ans, une carrière de danseuse et de fantaisiste dans les cabarets d’Alger et du littoral. Très populaire après 1970 avec le succès de Dar Sbitar, l’adaptation de La Grande maison de Mohammed Dib par Mustapha Badie pour la télévision, elle sera régulièrement sollicitée pour le petit écran (une vingtaine de téléfilms et séries) et le cinéma (cinq longs métrages). On l’a également vue en première partie de l’Opéra de quat’souks de Fellag créé à l’Opéra Comique avec la complicité de Jérôme Savary.

    Après Biyouna en Coryphée dans Electre, la comédienne était de nouveau sur les planches, en vieille maquerelle sans scrupules, dans La Célestine de l’Espagnol Fernando de Rojas (2009). Dans cette pièce, Calixte est follement amoureux d’une Mélibée étroitement surveillée par sa famille et que sa servante Lucrecia ne quitte pas d’une semelle. Econduit par la belle et plus que jamais désireux de la conquérir, Calixte s’en remet à la Célestine, un personnage d’entremetteuse sans états d’âme. Tragi-comédie de mœurs forte et crue, pleine de mensonges, de ruses et de trahisons, publiée en 1499 et ici mise en scène par Frédérique et Henri Lazarini, le spectacle est mené tambour battant par une Biyouna / Célestine pleine de ressources et de mordant.

    About Nora ZEGHLI

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  • Du 3 au 8 novembre 2013, salle El Mouggar

     

    1ère édition du Festival Maghrébin

    du Cinéma d'Alger

     

     

    C’est du 3 au 8 novembre prochains que la salle El Mouggar accueillera la première édition du festival maghrébin du cinéma d’Alger. Un rendez-vous tant attendu par les cinéphiles et qui pourrait apporter une vraie bouffée d’air frais à la création cinématographique de la région.

     

    Le FCMC a été créée à l’initiative du ministère de la Culture avec comme principaux objectifs de faire connaitre les dernières productions au grand public ainsi que la promotion des jeunes cinéastes et réalisateurs de la région, offrant ainsi un nouvel espace de rencontre et de débat.

     

    Sept prix seront distribués à l’issue du festival : quatre pour la catégorie long-métrage fiction, un pour les court métrage et un autre pour la catégorie documentaire. Bien sûr le prix le plus prestigieux, le AMAYAS d’OR, sera attribué à la meilleure production de chaque catégorie.

       

    Pour plus d’informations sur les modalités de participation, lire le règlement du festival : http://www.festcinemaghrebin-alger.org/reglement.html

     

     

    Ps: L’image utilisée pour l’illustration n’est qu’une capture du site officiel en construction. Ce n’est pas l’affiche du festival.  

     

     

     

    Article écrit par Yassine Balhi

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