• Festival du film franco-arabe de Noisy-le-Sec

    L'Algérie en force!

    À l'occasion du 60ème anniversaire de son indépendance, l'Algérie sera incontestablement la vedette de cette onzième édition qui se tiendra du 18 novembre au 1er décembre 2022.

    Avec une forte programmation cinématographique algérienne, l'Algérie se pavanera comme une véritable star à la salle de cinéma Le Trianon. Entre passé et présent, le cinéma algérien sera à l'honneur à travers ses films cultes et incontournables en passant par ses dernières productions et autres inédits en présence de leur réalisateurs.

    Le Festival du film franco-arabe (Fffa) de Noisy- le-Sec prévoit en effet, la projection en avant-première - en partenariat avec le Panorama des cinémas du Maghreb et du Moyen-Orient - du film du duo Adila Bendimerad et Damien Ounouri, à savoir «La Dernière Reine».

    Un film qui a été sélectionné en septembre à la section Venise Days à la Mostra de Venise et continue actuellement son bonhomme de chemin avec succès dans les festivals de cinéma. Ce film fait partie des 28 sélectionnés entre 26 fictions et deux documentaires, dont trois inédits en avant -premières. L'histoire de la dernière reine a pour ancrage historique le XVIe siècle, plus précisément l'année 1516. «La légende dit que le roi d'Alger avait une femme nommée Zaphira.

    Quand le pirate Aroudj Barberousse arrive pour «libérer» la ville des Espagnols, il est de´termine´ a` conque´rir Zaphira ainsi que le royaume. Mais Zaphira est-elle prête a` le laisser faire ou complote-t-elle pour elle-même?» dit le synopsis. Un film dont les cinéastes promettent de le faire sortir en Algérie en début de 2023.

    Un autre film récent que le public pourra découvrir est incontestablement «Houria» de Mounia Meddour, avec Lyna Khoudri dans le rôle principal, jouant à la danseuse classique déroutée... et ce, dans une Algérie contemporaine pleine de paradoxes car marquée par des blessures d'un soubresaut d'un passé pas si lointain...Rabah Ameur-Zaïmeche entamera quant à lui, son grand retour avec «Le gang des bois».

    Cinéma et histoire
    L'Algérie sera également présente, incontestablement, à travers le film «Les Harkis» du réalisateur français Philippe Faucon. Le cinéma algérien des années 1980 sera également au rendez-vous avec la projection du «Thé au harem d'Archimède» de Mehdi Charef, qui date de 1985.

    L'Algérie figurera également au programme avec deux autres films et pas des moindres. On citera «Les oliviers de la justice» (1962), du réalisateur américain James Blue qui porte un regard extérieur sur la fin de la longue période coloniale française, mais aussi avec le film culte «la bataille d'Alger», sorti en 1966 de l'Italien Gilles Pontecorvo.

    Un long métrage qui, pour rappel, avait remporté le Lion d'or à la Mostra de Venise et une récompense au Bafta britannique de 1972. À noter que plusieurs rencontres avec les réalisateurs algériens sont prévues, en plus de deux discussions, à l'issue des projections, notamment avec l'écrivain Pierre Gras et l'historien des colonies françaises et des processus de décolonisation, Alain Ruscio. Enfin l'Algérie sera aussi représentée via une exposition consacrée à l'artiste peintre Baya.

    Des ponts entre les cultures
    «À travers le Festival du film franco-arabe, la ville de Noisy-le-Sec et le cinéma Le Trianon offrent une véritable immersion artistique et un voyage cinématographique dans le monde arabe. Parrainé par le cinéaste Costa-Gavras, le Festival du film franco-arabe est un événement annuel organisé par la direction des Affaires culturelles de la ville de Noisy-le-Sec en partenariat et par Le Trianon, cinéma public territorial Est-Ensemble, en collaboration avec l'Institut français de Jordanie à Amman, la Royal Film Commission de Jordanie et la municipalité d'Amman. Le Festival du film franco-arabe de Noisy-le-Sec est né en 2011, d'une volonté de créer des ponts entre les cultures pour favoriser la compréhension, la découverte et les échanges. Chaque année, une compétition de courts-métrages est organisée peut-on lire dans le texte de présentation de ce festival. En effet, «Depuis 2012, le Festival du film franco-arabe (Fffa) invite le public à découvrir autrement la culture franco-arabe, à travers le cinéma bien sûr, mais aussi la musique, les arts graphiques, l'artisanat ou encore la gastronomie...» Pour 2022 c'est l'Algérie à travers toute sa richesse que le public français est invité à (re) découvrir...

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  • Organisée par l'Association «Lumières» L’exposition «60 ans de cinéma algérien» à la salle Afrique

    Une grande exposition d'affiches de films historiques intitulée «60 ans de cinéma algérien», reflétant les œuvres majeures et l'évolution du cinéma algérien avec une mise en lumière des plus grands acteurs et professionnels du 7e art, est organisée à la salle de cinéma L'Afrique par l'association «Lumières» dans le cadre de la célébration du 68e anniversaire du déclenchent de la guerre de Libération nationale.


    Cette exposition propose aux visiteurs des affiches de films comme La bataille d'Alger de Gilo Pontecorvo, Hassan Terro de Mohamed Lakhdar-Hamina, L'opium et le bâton d’Ahmed Rachedi, Patrouille à l'est de Ammar Laskri, Vent du sud de Mohamed Slim Ryad, Leila et les autres de Sid ali Mazif et d'autres œuvres qui ont fait la gloire du cinéma algérien.
    D'autres photographies en noir et blanc de monuments du cinéma comme Kelthoum, Rouiched, Abdelhalim Raïs, Sid-ali Kouiret ou encore Sid-Ahmed Agoumi, ainsi que de tournages de films sont également exposées.
    À cette occasion, le président de l'association «Lumières», Amar Rabia, a indiqué que cette exposition vise à faire connaître le cinéma algérien et ses principaux symboles aux jeunes générations grâce au fonds documentaire de l'association qui a organisé également, dans cette même salle, un cycle de projection de films historiques inauguré samedi.


    Au programme de ce cycle, des œuvres comme L’opium et le bâton d’Ahmed Rachedi, Hassan Terro de Mohamed Lakhdar-Hamina ou encore Chroniques des années de braise, Palme d'or du Festival de Cannes en 1975.

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  • Soixantenaire de l'indépendance Le Cnca lance une caravane cinématographique

    Une caravane cinématographique prévoyant une centaine de projections dans une vingtaine de villes du pays est organisée par le Centre national du cinéma et de l'audiovisuel (Cnca) qui a élaboré une sélection de longs métrages de fiction et un documentaire, annonce le Cnca.


    Pour le mois de novembre, la caravane prévoit la projection de cinq films dans la wilaya de Beni-Abbès, dont Timgad de Fabrice Ben Chaouche, La voix des anges de Kamel Laïch, ou encore Omar Gatlatou de Merzak Allouache.
    Dans le cadre de son programme de célébration du 60e anniversaire du recouvrement de la souveraineté nationale, le Cnca a programmé des cycles de projections dans les villes de In Salah, Illizi, Sétif, Khenchela, Béjaïa, El-Taref, Mila, Chlef, Relizane, Tiaret, Tlemcen, Aïn-Témouchent Boumerdès, Blida, Alger, Médéa et Djelfa.


    Entre autres films au programme, Mascarade de Lies Salem, Nous n'étions pas des héros de Nacereddine Guenifi, Le puits de Lotfi Bouchouchi, Jusqu'à la fin des temps de Yasmine Chouikh, ou encore Hors la loi de Rachid Bouchareb et L'Algérie vue du ciel de Yann Arthus Bertrand et Yazid Tizi.


    Le CNCA prévoit également la projection de films datant des années 1970 et 1980, en version restaurée et numérisée, à l'instar de Les vacances des l'inspecteur Tahar de Moussa Haddad, Hassan Terro de Mohamed Lakhdar-Hamina, ou encore Les déracinées de Lamine Merbah.
    Cette caravane se poursuit jusqu'à la fin du mois de juin 2023, selon les organisateurs.

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  • Plusieurs films algériens en compétition au 7e Festival international du cinéma d'El Qods

    Les films algériens Halim Er'Raâd, long métrage de Mohamed Benabdellah, Akennaw, documentaire de Houria Hamadouche, et Irréparable, court métrage de Djamel Bacha, entrent en compétition officielle du 7e Festival international du cinéma d'El Qods, prévu du 29 novembre au 6 décembre prochains, dans la ville de Ghaza, annoncent les organisateurs.


    Les trois films algériens figurent dans différentes catégories compétitives de cette édition placée sous le slogan «Notre patrimoine, notre identité», aux côtés des films de plusieurs pays, à l'instar de Tadh'kiret qatl (Irak), El Ghaba El Mouqaddassa (Qatar-Tunisie), Et'Tali (Syrie) et Ibra wa kheyt (Soudan).


    D'une durée de 100 mn, Halim Er'Raâd traite des difficultés au quotidien du jeune Halim, âgé de 25 ans et atteint d'autisme, confronté aux regards obliques de la société et des souffrances qu'endure sa mère, face à la complexité de la prise en charge de son fils.
    D'un autre côté, Akennaw, documentaire de 60 mn, aborde la musique diwan, tentant de décrypter les codes qui régissent ce genre authentique en mettant en valeur les rites qui entourent la pratique de ce patrimoine musical ancien.
    Par ailleurs, le film de Djamel Bacha, Irréparable, entre à son tour en compétition dans la catégorie du court métrage.


    D'autre part, des films algériens dans la catégorie «amateurs et mobile» entrent également en compétition de cette 7e édition, à l'instar de El âoubour el oustouri (le passage épique) de Abdelkader Sellami et Chohra (célébrité) de Rabah Bendris.
    Créé par le ministère palestinien de la Culture, en collaboration avec des établissements palestiniens et arabes de la culture, le Festival international du cinéma d'El Qods verra la participation de 148 films, issus de 23 pays.

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  • Palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen Ouverture aujourd’hui de la 8e édition du concours du court métrage

    La 8e édition du concours du court métrage aura lieu aujourd’hui dimanche au palais de la culture Abdelkrim-Dali de Tlemcen, a-t-on appris jeudi des organisateurs.
    Cette manifestation, organisée par le palais de la culture en coordination avec le club du cinéma de cet établissement culturel sous le slogan «l’image raconte», verra la participation de 11 courts métrages, a indiqué à l’APS la chargée du service cinéma et de l’audiovisuel du palais de la culture, Amthir Hasnia.

    Les participants, issus des wilayas d’Oran, Sidi Bel-Abbès, Tissemsilt, Alger, Skikda, Boumerdès, Batna, Annaba et Médéa présenteront leurs travaux traitant de diverses thématiques. Un jury composé de critiques, de réalisateurs et de spécialistes dans le 7e art désignera les lauréats de cette compétition.


    L’objectif du concours est de permettre aux participants d’échanger leurs expériences, de rencontrer des spécialistes du cinéma et de parfaire leurs connaissances dans les domaines de la réalisation et les dimension esthétique et technique de la photographie, ainsi que dans d’autres domaines des arts visuels en lien avec la production cinématographique des courts métrages, a-t-on expliqué.

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  • Conseils pour la réalisation de courts métrages à budget zéro que personne ne vous dira

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    Si vous lisez ceci, vous devez être quelqu'un qui veut faire son premier court-métrage ; cependant, un budget coûteux vous empêche d'en faire un. Oui, c'est un problème commun auquel les cinéastes débutants sont confrontés. Même lorsque j'ai commencé à faire des courts métrages, j'ai eu ce problème. J'ai fait cinq courts métrages. Tous avaient un budget nul.

    Dans cet article, je vais partager des conseils pour faire un court métrage sans engager de dépenses. Alors, commençons.

    Recherchez les ressources disponibles

    Lorsque vous envisagez de réaliser un court métrage, essayez de garder l'histoire simple. Recherchez les ressources disponibles dans votre local. Tissez ensuite l'intrigue autour de cette ressource particulière. Par exemple : une horloge, un miroir peuvent constituer les éléments de votre histoire. Dans mon film, The Haunted Manuscript, mon ordinateur portable et le spectacle ont joué un rôle crucial. Le film a remporté la deuxième place au One Minute Film Festival 2020. Nous ignorons souvent les choses qui sont à notre disposition. Essayez de rechercher de telles choses qui feront partie de votre court-métrage.

    Recherchez une maison abandonnée

    N'optez pour cette option que si elle est possible. Si vous en obtenez une, il n'y a rien de mieux que cela. L'avantage de trouver une maison abandonnée est que vous pouvez y raconter une histoire, améliorer l'intérieur selon les exigences de votre scénario. Choisissez une pièce, peignez-la, ajoutez des accessoires et aménagez-la selon vos besoins. Cela portera ses fruits lorsque vous verrez votre film plus tard. Cependant, s'il y a un propriétaire de la maison, informez-le que vous allez l'utiliser pour votre court-métrage. Vous pouvez lui rendre la pareille en peignant la pièce que vous allez utiliser.

    Tournez pendant les fêtes

    Les fêtes de fin d'année sont le meilleur moment pour tourner. L'abondance de lumières réduit le coût des lumières de tournage. Pendant Diwali, Halloween ou Noël, les lumières disponibles dans les rues fournissent l'éclairage nécessaire à votre prise de vue. Les célébrations dans les rues ajoutent encore à l'ambiance générale. Cela rend votre prise de vue pour une séquence plus humaine. Cette méthode économique vous permettra d'économiser de l'argent. Tout ce que vous avez à faire, c'est de placer vos personnages au bon endroit, et la moitié de votre travail est fait.

    Utilisez un logiciel de montage de film gratuit

    Le montage d'un film est une partie cruciale de la réalisation d'un film. Il existe de nombreux logiciels de montage disponibles gratuitement en ligne. Téléchargez celui qui vous semble le plus facile et commencez le montage. Recherchez des musiques libres de droits pour la musique de fond de votre film. Donnez du crédit partout où vous téléchargez votre film. Les logiciels de montage complèteront la saveur générale de votre film.

    Utilisez des cartons comme accessoires

    Si vous avez des cartons à la maison, vous pouvez les utiliser comme accessoires. Recouvrez-les de papier ou de tout autre matériau d'emballage dont vous disposez. Utilisez des lumières de riz pour les décorer et créer des objets. Cela ajoutera un élément de mystère. Vous pouvez également vous servir de papier découpé pour créer des objets. Cela donne un aspect réaliste au film.

    Les conseils mentionnés ci-dessus vous aideront à réaliser un film sans aucun budget. En même temps, ils permettront à votre public de vivre une expérience cinématographique parfaite. J'espère que vous ferez un excellent court-métrage.

    Traduit avec www.DeepL.com/Translator (version gratuite)

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  • Cinéma : Premier tour de manivelle du film sur Si M’Hamed Bougerra

    Cinéma  : Premier tour de manivelle du film sur Si M’Hamed Bougerra

    Le coup de starter du tournage du film historique sur le Chahid Si M’Hamed Bougerra, chef de la wilaya IV historique a été donné ce mardi à Ouled Bouachera, 20 km à l’ouest de Médéa, par le ministre des moudjahidine et ayants-droits, Laïd Rebiga, accompagné de la ministre de la culture et des arts, Soraya Mouloudji, en présence du wali de Médéa, des élus, des membres de la famille révolutionnaire et des autorités locales et des élus.

    Après plusieurs repérages opérés quelques jours plus tôt par les équipes techniques qui ont visité les lieux où le chahid est tombé au champ d’honneur le 5 mai 1959, le réalisateur Djaafar Gacem a donné, hier, le 1er coup de manivelle de tournage des 1è images du film, en présence de nombreux invités, des comédiens et du staff technique.

    Dans une déclaration à la presse, le ministre des moudjahidine a indiqué que le tournage du film s’inscrit dans les orientations du Président de la République sur la nécessité et l’intérêt à accorder à la mémoire et à tout ce qui se rapporte à notre legs historique et culturel. “Le coup d’envoi de la réalisation du film qui coïncide avec la célébration de la journée nationale de l’émigration, est une occasion de mettre en lumière un maillon de notre épopée et de notre Révolution armée”.

    Le réalisateur Djaafar Gacem a confié le rôle principal au comédien Slimane Ouari qui, selon les présents sur le lieu du tournage, l’acteur a de grandes ressemblances avec le chahid. Une remarque affirmée par Djaafar Gacem, selon qui la sélection des comédiens a obéi à des critères qui ont permis de porter le choix sur Slimane Ouari pour grimer le rôle du colonel Si M’Hamed Bougara.”Le film sera prêt dans au moins 6 mois selon le réalisateur qui a estimé que le tournage risque de durer plus de 3 mois et son montage une période à peu près égale pour être projeté sur les écrans”.

    Pour sa part, le comédien Ouari Slimane a déclaré que le rôle qui lui a été confié est “une responsabilité parce qu’il s’agit de se mettre dans la peau du personnage de l’envergure du chahid, ce qui constitue un grand poids sur mes épaules”.

    Pour la ministre de Ia culture et des arts, il y a parfaite coordination de son département avec celui des moudjahidine et ayants-droits sur toute activité ayant trait aux événements se rapportant aux différentes périodes de la résistance nationale contre l’occupant.

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  • Mémoire filmique

    3e édition de «Ciné Cirta» à Constantine

    La troisième édition de la manifestation de la mémoire filmique «Ciné Cirta» a été lancée samedi au musée du cinéma du centre-ville de Constantine avec la projection du documentaire «Chahid Hamlaoui» de son réalisateur Ouaâmor Bouzid et le long métrage «Reconnaissance» du réalisateur Salim Hamdi.


    Le film documentaire du héros de la Révolution chahid Hamlaoui (1935-1960), retrace son parcours de combattant, entamé lorsqu'il était un simple fidaï, avant qu'il ne prenne d'autres responsabilités lors de la Guerre de Libération nationale, grâce à son militantisme, son génie et son expérience dans la lutte armée jusqu'à ce qu'il devienne commandant de la zone de Constantine.


    En juin 1960, Hamlaoui tomba au champ d'honneur suite à une fusillade de l'armée d'occupation française, alors qu'il était à la fleur de l'âge. S'agissant du long métrage «Irfan» (reconnaissance) du réalisateur Salim Hamdi, il décrit en 110 minutes l'histoire de la martyre Yamina, dont le rôle a été interprété par l'artiste défunte Chafia Boudraâ.
    Organisée par l'association culturelle Numidie-Arts, cette manifestation se poursuivra jusqu'au 1er novembre prochain, jour de la commémoration du 68e anniversaire du déclenchement de la glorieuse Guerre de Libération nationale, a indiqué le responsable de l'association, Lounis Yaou.


    À l'occasion, plusieurs documentaires seront projetés, notamment «La vieille blessure» de Toufik Mezaâche, «L'Union générale des étudiants musulmans algériens» de Mohamed Latrache et «La houna wala hounak» de Hocine Saâdi, en plus d'autres longs métrages comme «Lotfi» d'Ahmed Rachdi et «Saliha» de Mohamed Sahraoui et «Heliopolis» de Djaâfar Gacem, a fait savoir la même source.


    À noter que l'initiative de ces projections cinématographiques, présentées à «la salle Ennasr» au musée du cinéma de Constantine, sont organisées sous l'égide du wali de Constantine, Abdelkhalek Sayouda, en coordination avec la commission des activités culturelles relevant de l'Assemblée populaire communale (APC) de Constantine, présidée par l'artiste Hakim Dakar.

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  • Journées du film arabe à la cinémathèque d'Alger Hommage aujourd’hui à Mohamed Boudia

    La Cinémathèque d'Alger

    Les Journées du film arabe, qui prendront fin aujourd’hui, ont débuté jeudi à la Cinémathèque d'Alger par la projection des films Halloween du Liban, Moumyae (Momie) et Massir (Destin) d'égypte, outre une conférence autour de la problématique «L'image, la bataille, l'Algérie et les expériences de la production commune».

    Le directeur du Centre algérien de la cinématographie (CAC) Adel Mekhalfia a indiqué que cette manifestation «s'inscrit dans le cadre du programme culturel organisé à l'occasion de la tenue du Sommet arabe prévu les 1er et 2 novembre à Alger», relevant la programmation de plusieurs projections de productions cinématographiques arabes et la tenue de conférences sur le cinéma algérien et arabe traitant des différentes questions posées sur la scène cinématographique algérienne et arabe, et ce, avec la participation de critiques de cinéma et d'artistes.

    Cette manifestation est organisée sous le patronage du ministère de la Culture et des Arts, a-t-il fait savoir ajoutant que la dernière journée (aujourd’hui, dimanche) verra l'organisation d'un hommage à titre posthume au défunt militant et dramaturge Mohamed Boudia.

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  • Les cinéastes algériens aiment-ils la littérature ?

    Les plus beaux films d’Hollywood sont des adaptations d’œuvres littéraires. La bande dessinée américaine a donné les superhéros (Batman, Superman, Spiderman…), presque toujours au sommet du box-office.
    En Algérie, la dernière adaptation réussie est La colline oubliée (1996) de Mouloud Mammeri, porté à l’écran par Abderrahmane Bouguermouh. Concernant le bande dessinée (en Algérie), pas besoin de vous faire un dessin…
    K. B. 
     bakoukader@yahoo.fr

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