• La conspiration du Caire de Tarik Saleh Un récit au forceps

    rix du scénario au dernier Festival de Cannes, La conspiration du Caire de l’égyptien Tarik Saleh est une espèce de polar politico-mystique qui se déroule au sein d’El Azhar.

    Après Le Caire confidentiel (2017) qui fut un véritable triomphe critique et public, le réalisateur égypto-suédois Tarik Saleh revient avec La conspiration du Caire sélectionné et primé sur la Croisette et classé troisième au box-office français.
    En guise de mise en bouche, un texte explique au spectateur les nombreuses et vaines tentatives des différents régimes égyptiens de contrôler El Azhar, la puissante institution religieuse et la plus haute autorité de l’islam sunnite. Par la suite, on rencontre Adam, fils d’un pêcheur, vivant dans un village déshérité, qui apprend avoir été admis dans la prestigieuse université.


    Quand il y arrive, une guerre de succession est en cours : le président d’El Azhar vient de mourir et deux clans se battent pour élire leur poulain à sa place. L’un d’eux est également le favori du régime d’Al Sissi qui entend s’immiscer par tous les moyens dans le choix du futur souverain.

    Adam sera ainsi mis à contribution, bien malgré lui.
    Comme il le reconnaît lui-même, Tarik Saleh s’est largement inspiré du roman Le nom de la rose d’Umberto Eco pour écrire et réaliser son long métrage. On y trouve, en effet, en plus des codes classiques du film policier, les éléments dramaturgiques et formels des thrillers politico-religieux. Intrigues, infiltrations, meurtres et sacrifices des seconds couteaux composent la substance de ce film qui emprunte, jusqu’aux plus conventionnelles des formules narratives, à la stylistique du genre.


    Le contexte d’El Azhar et la complexité des rapports de forces politiques et humaines au sein de cette institution et du régime lui-même ne seront donc pas l’atout majeur du film puisqu’ils ne serviront que de décor pittoresque à une trame embourbée dans son académisme.


    Dès lors, on ne comprend pas les motifs d’une consécration cannoise du scénario puisque c’est ce dernier justement qui pose problème. Si la mise en scène séduit par sa finesse et son esthétique crépusculaire, l’écriture de La conspiration du Caire déçoit en effet par sa platitude, ses grosses ficelles, sa reproduction paresseuse des codes les plus éculés du film d’espionnage et sa multiplication des stéréotypes.
    Contrairement à son Caire confidentiel, Tarik Saleh semble ici louper son propre film et demeurer en deçà d’un projet qui promettait d’être aussi ambitieux qu’audacieux.
    Sarah H.

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  • Je dédie cette récompense à mon public»

    En plus de l'écriture d'un scénario d'un feuilleton de drama et la préparation d'un sitcom pour le mois de Ramadhan, le cinéaste entamera bientôt le tournage d'un biopic sur le moudjahid Mhamed Bouguerra...

     

    Récompense amplement méritée, le réalisateur de film et de sitcom a été distingué pour l'ensemble de sa carrière, lors de la 22 eme édition du Festival arabe de la radio et de la télévision qui s'est tenu dans la capitale saoudienne Riyadh, du 7 au 12 novembre dernier, se délocalisant de la Tunisie après plusieurs années.


    Organisée par l'Union de radiodiffusion des Etats arabes (Asbu), en collaboration avec l'Autorité saoudienne de diffusion (SBA), cette session a distingué, en effet, 12 pionniers des médias et du cinéma dans le Monde arabe, en reconnaissance de «leurs contributions efficaces dans l'enrichissement du contenu médiatique dans le monde arabe».


    Fraîchement rentré à Alger et fort de cette distinction des plus légitimes, Djaâfar Gacem a été invité par la chaine télé AL 24 news, sur le plateau, pour faire part de ses sentiments.
    Une occasion lui a été offerte pour évoquer entre autres ses projets. Un débat fort intéressant qui a été animé par le directeur de la chaîne, Salim Aggar, ainsi que ses chroniqueurs.


    Djaâfar Gacem fera remarquer d'abord qu'il a eu le privilège d'être primé parmi les sept personnes sélectionnées et récompensées sur les 22 candidats proposés, arguant d'avoir été fier de représenter l'Algérie. «Cela veut dire beaucoup de choses pour moi. Ce genre de distinction va m'encourager à croire davantage en mon travail et que le public reçoit de ma part. De ce fait, ce Prix je le dédie au public algérien» dira t-il en préambule sur le plateau de l'émission Média Pro.

    Du manque de reconnaissance
    Le réalisateur se désolera, d'ailleurs, de l'absence de cérémonie ou de concours de ce genre dans notre paysage audiovisuel qui permettrai de susciter davantage d'émulation entre les membres de la profession, et ce, que ce soit au niveau de la radio, télé ou les médias en général, arguant que cette distinction devrait parvenir d'abord de Algérie avant qu'elle ne viennes de l'étranger.


    Il citera feu «Les Fennecs d'or» qui poussait les professionnels de la télé à réaliser le meilleur de leur production durant les mois de Ramadhan. « C'est cela le but de ces compétions. En même temps, cela permettrait aux gens de la profession de se fréquenter entre eux, techniciens et artistes, de se connaître mieux et de se frotter aux gens du domaine, y compris les plates-formes digitales arabes comme ‘'Chahed ‘' car ce festival est une véritable foire internationale panarabe pour les récompenses arabes de ce genre».


    Djaâfar Gacem estimera que la politique actuelle de l'Arabie saoudite, à travers ces festivals culturels y compris le festival de cinéma Red Sea, est claire. «Elle traduit visiblement, selon lui, son désir de s'imposer dans le monde, y compris au niveau du 7eme art. «Ils veulent vraiment se frayer un chemin et se lancer avec les grands moyens qu'ils ont au niveau du cinéma et de l'audiovisuel.»


    Pour Djaâfar Gacem, «le seul bémol qui peut freiner notre production algérienne est la langue bien qu'il existe aujourd'hui des plates-formes de diffusion digitales qui utilisent les sous- titres. «Reste qu'on est loin de constituer un véritable lobby au niveau du Maghreb pour s'imposer aux côtés des autres pays arabes par exemple», argue t-il. Il rappellera que l'Algérie est d'abord connue grâce à ses films des années 1970, notamment les films de Lakhdar Hamina et Ahmed Rachedi.


    «Notre dialecte ne permet pas à nos productions de dépasser les frontières. Mais, aujourd'hui, des plates-formes peuvent dépasser cet écueil en utilisant de simples sous-titrages des films, notamment». Toutefois, il reconnaîtra que bien que sur le plan de la technicité nos feuilletons télés soient d'une très bonne qualité, reste le fond, c'est-à dire l'écriture scénaristiques qui demeure encore en deça de ce qui se fait ailleurs, même si le niveau ne s'en s'éloigne pas trop.

    «Pout autant ces autres feuilletons arabes arrivent à s'imposer sur les plates-formes numériques au niveau du Moyen-Orient par manque de lobby et de réseautage chez nous en Algérie».Mettant un petit bémol, Djaâfar Gacem dira qu' «avant de penser à se faire diffuser ailleurs, on n'est pas encore à la hauteur pour répondre complètement à la demande du public algérien, alors il faut faire un choix.


    La demande du public est supérieure. Il faudrait lui donner à voir des productions tout au long de l'année...Il y a un marché pour... C'est un problème en Algérie, alors, penser à commercialiser nos produits ailleurs? On ne peut pas combler les deux. Il faut bien faire un sacrifice».
    L'auteur de «Achour el acher» fera remarquer que ces fameuses plates-formes n'arrivent pas à pénétrer le marché algérien bien que ce dernier est demandeur et est très exigeant.

    De la télé au cinéma: un long parcours
    Evoquant la différence entre la télé et le cinéma, Djaâfar Gacem, qui dira être au contraire bien redevable à la télévision qu'il ne renie absolument pas, fera remarquer que le cinéma se veut encore plus exigeant, car c'est elle qui va vers le public et ce dernier est très critique.


    L'auteur de Héliopolis estimera que le cinéma se doit d'être pourvu de la coproduction qui lui permettra de gagner une place supplémentaire dans le monde et ce, grâce au distributeur, avec le concours d'une bonne communication autour etc...
    À propos de la télé, Djaâffar Gacem confiera être en phase d'écriture d'un feuilleton drama et en préparation d'une série humoristique pour ce mois de Ramadhan.
    Enfin, Djaâfar Gacem nous apprendra que son film «Héliopolis» sera visible, grâce à un distributeur arabe dans la région Mena, il est actuellement à l'affiche à Dubaï et prochainement dans les autres pays du Moyen-Orient.

    Il sera visible sur la plateforme Chahed d'abord, alors que son réalisateur est en pleine négociation pour être diffusé par la suite sur Netflix. Le prochain défi de Djaâfar Gacem est un biopic sur le moujahid Mhamed Bouguerra.
    Le scénario est prêt. Le tour de manivelle a été donné il y a un mois et le tournage débutera bientôt. Scénariste et producteur, il est bon de rappeler que Djaâfar Gacem compte à son actif plusieurs sitcoms et feuilletons à succès, à l'instar de «Nass Mlah City» (2001), de «Djemaï Family» (2008) et «Soltan Achour 10» (2015). Il a également réalisé, en 2020, son premier long-métrage «Héliopolis» qui a été proposé à deux reprises pour concourir aux Oscars du meilleur film étranger (film étranger non anglophone).


    Souhaitons-lui donc plein de succès et de courage pour son nouveau challenge cinématographique!

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  • Ahmed Bejdaoui au Centre culturel algérien

    Une guerre des images en débat

    Cinéma: Ahmed Béjaoui est le nouveau président des commissions du Fdatic -  Le Matin d'Algérie

    Dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire de l'Indépendance, une conférence d'Ahmed Bedjaoui sur le thème «Une guerre des images», sera animée le vendredi 18 novembre 2022 à 19h au Centre culturel algérien de Paris, avec la participation de l'historien Olivier Hadouchi. À ce propos, Ahmed Bedjaoui écrit à juste titre «Dès l'avènement du cinématographe, l'Algérie s'est illustrée comme un terrain de chasse pour les premiers cameramen, mais elle n'était présente qu'à travers sa lumière et sans la présence des Algériens.

    L'apparition des premiers films réalisés par des Algériens a précédé de peu le début de la lutte armée. Pour sa part et pour tenter de frapper les consciences des populations indigènes isolées, le gouvernement général a vite fait du cinéma une arme de propagande au service de l'action psychologique.» Et de poursuivre: «De leur côté, les dirigeants du Front de Libération (FLN) ont rapidement pris conscience de l'importance de l'image dans la bataille médiatique qui s'organisait en dehors des champs de la bataille militaire.

    L'ALN puis le GPRA ont créé des services cinématographiques autour de Djamel Chanderli, rapidement suivi par d'autres Algériens et par des cinéastes étrangers sympathisants de notre cause. Dès 1956, la plate-forme de la vallée de la Soummam avait mis (grâce surtout au travail de Abane Ramdane) l'accent sur la nécessité d'utiliser systématiquement les documents iconographiques et audiovisuels pour appuyer un combat qui allait progressivement se porter en priorité sur le terrain politique.

    Avec la réussite qu'on sait. À travers cette conférence, il s'agit de propose une vision de la manière dont les images, et particulièrement les productions audiovisuelles, ont rendu compte de la guerre pour l'indépendance. Le sujet dans son ensemble est vaste et encore largement ouvert à la recherche. En fin de compte, le cinéma ne peut que se dresser comme témoin oculaire, la responsabilité de l'écriture de l'Histoire revenant aux historiens.».

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  • Islem Guerroui, jeune cinéaste algérien

    «Je dénonce!»

    Il a décidé récemment de sortir de son silence et de dénoncer les injustices dont il fait l'objet, selon lui, de certains festivals de cinéma, deja qu'il est difficile de faire un film en Algérie...

    Il s'appelle Islem Guerroui. C'est un jeune cinéaste ayant à son actif plusieurs courts métrages dans le genre trailer psychologique. Il a décidé récemment de sortir de son silence et de dénoncer les injustices dont il fait l'objet, selon lui, par certains festivals de cinéma. Pour ce faire, il vient de signer une pétition, visible sur les réseaux sociaux où il aborde différents points de vue.

    Dans cette pétition coup de gueule il dénonce le mauvais traitement qu'il subit, lui et d'autres jeunes réalisateurs comme lui dans certaines de ces manifestations. Il nous en parle: «Je participe aux journées et festivals depuis pas mal d'années et c'est presque toujours la même chose, une sélection qui dépasse les 20 courts métrages, parfois 30 en 2 jours de projections, pas de présentation de film ni débat après chaque projection».

    Et de préciser à propos de sa prise en charge cahoteuse d'après lui: « Les chambres d'hôtels pour les participants dépassent les deux personnes par chambre, une fois à Oran c'était 10 personnes par chambres dans un état catastrophique, mais les invités d'honneur et les jurys dorment souvent dans d'autres hôtels, avec une personne par chambre, alors que n'oublions pas que les participants sont plus importants que le jury, car sans eux, il n y a pas d'évènement, le jury n'assiste pas à toutes les projections».

    Pris en charge dans une auberge de jeunesse
    Et d'évoquer la programmation: « La sélection n'est pas bien étudiée et le niveau des films est souvent très bas avec des réalisateurs qui participent chaque année depuis 7 et parfois même 8 ans avec le même film, ce n'est pas normal ça. Il faut que la sélection soit plus stricte car cela aiderait les jeunes à élever le niveau pour espérer une sélection.

    Parfois ils mélangent fiction et documentaire dans la même catégorie. Je pense aussi qu'il faut retirer cette façon de nommer les prix d'une manière absurde (1er prix, 2ème prix et 3ème prix, mais plutôt aller vers des catégories (meilleur film, meilleur acteur, meilleur montage etc...)»Et de rappeler à nouveau: «Le jury et les invités d'honneur ne se mélangent pas durant le dîner et les soirées-débat cinéma avec les participants, alors qu'il le faut, car cela aiderait les jeunes amateurs à se mettre en confiance, pour casser le mur qui sépare l'amateur et le professionnel».

    Si le jeune homme affirme ne pas se plaindre ici, il estime dénoncer des faits grave selon lui, car se disant se sentir lésé dans ses droits. «D'ailleurs je l'ai même fait dans mon dernier film, les producteurs algériens sont vraiment un grand danger pour la télé algérienne (sitcom, série...). Ils favorisent, le médiocre avec des scénarios débiles, que même un gamin de 7 ans peut mieux écrire, pourquoi? Parce qu'ils ne sont pas du domaine, parce qu'ils n'acceptent que les projets de leurs amis et surtout amiES!».

    Marginalisation et favoritisme
    Et de renchérir: «Pour le cinéma je ne peux même pas en parler car il n' y a pas de salles de cinéma pour entamer une discussion sur le 7e art.» Des propos teintés hélas, de désespoir, qui peuvent paraître excessifs et violents venant pourtant de la part d'un passionné de cinéma qui, vraisemblablement,en a un peu trop sur le coeur.

    Evoquer le mot solidarité entre les membres de la corporation sonne comme un appel dans le vide chez notre jeune cinéaste qui soutient que «La solidarité n'existe pas car on est tous très différents. Il y a ceux qui font ça pour l'argent et il y en a beaucoup, donc ils poussent un coup de gueule quand il n y a plus d'argent au ministère de la Culture, et il y a ceux qui font ça pour le prestige et ceux qui sont prêts à mourir de faim et vivre dehors pour faire des films, trois mondes différents et aucune compatibilité et chaque partie croit qu'elle détient la vérité absolue!

    En résumé tout va mal dans le secteur du 7e art et de la télévision». Des mots profondément pessimistes venant de la part d'un jeune à peine la trentaine. À qui la faute? Cela traduit tristement le grand gouffre dans lequel s'engouffre de plus en plus la culture en Algérie et certains cinéastes algériens, faute de soutien réel, d'infrastructures adéquates et voire même une réelle vision politique culturelle tangible, claire et efficace qui se baserait surtout sur la liberté d'expression et de création de chacun sans qu'elle ne soit minée par des chaînes bureaucratico-politiques parfois répressives et d'une organisation à l'emporte-pièce par certains festivals en carton, mais qui permettrait à tout artiste de s'épanouir..Ce qui n'est pas le cas, hélas, ici, avec ce simple exemple. Et c'est bien dommage!

     

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  • 2e Salon national de la photographie artistique de Sétif Sous le slogan «des objectifs algériens à la fête du soixantenaire»

    Quarante artistes venus de plusieurs wilayas du pays participent avec 80 œuvres à la seconde édition du Salon national de la photographie artistique qui se tient à la maison de la culture Houari-Boumediène de Sétif sous le slogan «des objectifs algériens à la fête du soixantenaire».


    En marge de la cérémonie d’ouverture de cette manifestation qui s’est déroulée mercredi dans la soirée, Meriem Keroum, directrice de la maison de la culture, a indiqué que le salon, organisé en coordination avec la direction de wilaya de la culture, s’inscrit dans le cadre de la célébration du soixantenaire de l’indépendance et du 68e anniversaire du déclenchement de la révolution libératrice et regroupe 40 artistes professionnels et amateurs dont sept de Sétif et 33 des diverses wilayas du pays.
    Les œuvres exposées durant le salon ont été sélectionnées par un jury spécialisé parmi 146 photos candidates, selon la même source.


    Outre ces œuvres, le salon propose aux visiteurs deux autres expositions, la première sur les anciens appareils de photo et la seconde sur les photos réalisées par les adhérents à l’atelier de photographie de la maison de la culture, a ajouté la même cadre.
    La manifestation comporte également l’organisation d’ateliers de formation sur, entre autres, la photographie publicitaire encadré par l’artiste Ahmed Hamadani et la photographie panoramique qui sera animé par l’artiste Yacine Hamoudi de Béjaïa sur le site archéologique de Djemila, selon la même source.


    Les organisateurs ont prévu, en l’honneur des hôtes du salon, des visites vers les sites touristiques et historiques de la wilaya dont les cascades d’Oued El-Bared, la cité archéologique de Djemila, Aïn El-Fouara, Aïn Djourdj, le fort byzantin et le site où est tombé le premier chahid des massacres du 8 Mai 1945.


    Le photographe Bachir Rebouh, qui participe avec deux photos l’une d’un chevalier algérien en tenue traditionnelle et la seconde en noir et blanc, une exhibition de fantasia, a exprimé sa joie quant à ce salon qui offre un espace de rencontre et d’échange entre les artistes des quatre coins du pays.

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  • Etablissement Arts et Culture

    Projection de films

    L'établissement Arts et Culture de la wilaya d'Alger en partenariat avec Medciné vous annoncent la sortie de films, qui seront présentés au public algérien. Une projection de huit films au menu, dont «Dragon ball: super hero» «La Proie du Diable», «Halloween ends» «Smile» «Black Adam» «Samouraï Académy» «Ticket to Paradise», «Amsterdam» et ce, jusqu'au 10 novembre et ce, àu moyen de quatre séances par jour, (13h, 15h30, 17h45 et 19h30) au niveau de la salle Ibn Khaldoun et la salle de cinéma Sahel de Cheraga.

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  • 30e EDITION DU FESTIVAL INTERNATIONAL DU COURT MéTRAGE DU PORTAIL NUMÉRIQUE Le prix du public au jeune réalisateur algérien Islam Manfouche

    Le jury international permanent du Festival international du court métrage du portail numérique a annoncé les résultats de la trentième session de cet événement culturel initié par l'association Fonoon de Annaba, au cours duquel l'Algérie a été couronnée du prix du public avec le film vainqueur du jeune réalisateur algérien Islam Manfouche.


    Le prix du public est un prix très convoité. Il a reçu le plus grand pourcentage de votes. Cette 30e édition coïncide avec la célébration du 68e anniversaire de la révolution du 1er novembre 1954.

    Pour sa part, la Tunisie remporte le prix du meilleur film expérimental en concourant avec le film Le Bon Chemin d'Ayada Malek, tandis que le Kazakhstan a décroché le grand prix, couronnant le film La robe de mon voisin d'Askar Yermakhan.Cette session a vu la participation de 30 films Ade différents pays du monde. Le film Fronteras del sustento de Sebastián Arias de Colombie a remporté le prix du meilleur film documentaire, et le film Où meurent les vents de Pejman Alipor d'Iran s’est vu attribuer le prix du meilleur film d'animation.


    Le prix de la meilleure réalisation est allé au film Tu ne meurs pas aussi de Özgür Mercan de Turquie. De son côté, la Russie, habituée de ce festival, a réussi à enlever le prix du meilleur scénario, en présentant La vie d'Ivan Ilyich de Sergey Khvostovtsev. Mais pas seulement, puisque le jury international a destiné ses remerciements aux films russes Shift, de Gulnaz Galimullina, et While we are here, d'Anastasia Maltseva. à noter que 30 films venant de 17 pays, dont la Géorgie qui participe pour la première fois, ont pris part à cette 30e édition du Festival international du court métrage du portail numérique.
    A. Bouacha

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  • Elle jouera son propre rôle Céline Dion à l'affiche d'un film romantique en 2023

    Céline Dion — Wikipédia

    La star internationale Céline Dion a annoncé mercredi qu'elle sera à l'affiche de la comédie romantique intitulée Love Again, qui paraîtra au cinéma en 2023 et dans laquelle elle jouera son propre rôle.


    «On se voit au cinéma !» a écrit la Québécoise sur les réseaux sociaux, en précisant qu'elle jouera aux côtés de la star du cinéma indien de Bollywood Priyanka Chopra Jonas et de l'acteur écossais Sam Heughan, connu pour son rôle dans la série dramatique Outlander.
    Céline Dion a également indiqué qu'elle dévoilera de nouvelles chansons pour ce film produit par Sony qui sortira sur grand écran le 12 mai.


    Le film réalisé par Jim Strouse (The Incredible Jessica James) raconte l'histoire d'une jeune femme qui continue, après le décès de son fiancé, de lui envoyer des SMS. Une idylle naît alors avec le nouveau titulaire du numéro de téléphone, un journaliste, grâce à Céline Dion dont il doit rédiger le portrait.


    En avril, la vedette de 54 ans avait reporté à 2023 tous les concerts de sa tournée «Courage World Tour» prévus en Europe cette année, en raison de problèmes de santé persistants.
    Ces dernières années, la star canadienne a été contrainte d'annuler et de reporter de nombreuses représentations pour des raisons médicales et à cause de la pandémie.

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    Journées cinématographiques du sud Vers la création d'un festival du cinéma des pays du Sahel à Béchar

    La création d’un festival du cinéma des pays du Sahel à Béchar figure parmi les actions projetées par le Centre algérien de cinématographie (CAC), a appris l’APS lundi auprès de la Direction générale de cet établissement public.


    «Ce projet qui sera réalisé en coordination avec le secteur de la culture et des arts, la wilaya de Béchar et les différents acteurs, a pour objectif de promouvoir le cinéma et apporter une concrète contribution à l'expression de l'identité culturelle et artistique des peuples de cette partie de l’Afrique», a affirmé le DG du CAC, Adel Mekhalifia, en marge des Journées cinématographiques du sud dédiées aux films et documentaires révolutionnaires.


    «Au travers cette future manifestation artistique, notre démarche est la consolidation des liens d’amitié, d’échanges culturels et de bon voisinage qu’entretient notre pays avec les autres pays du Sahel africain, ainsi que le peuple saharaoui», a-t-il expliqué.


    «Le projet d’un festival du cinéma des pays du Sahel, dont nous avons eu des échos favorables à Béchar, se veut, en plus de la dotation de cette wilaya frontalière d’une manifestation cinématographique d’envergure continentale, une contribution de notre pays au renforcement des liens culturels et d’amitié avec les pays du Sahel et aussi la valorisation des talents et compétences cinématographiques de ces pays», a ajouté
    M. Mekhalfia.


    La démarche du CAC au titre de ce projet cinématographique, a-t-il souligné, «est d’apporter un plus en matière de visibilité culturelle, artistique et touristique de la région de la Saoura de par sa proximité du Sahel africain et aussi mettre en évidence les liens de fraternité de notre pays avec les pays du Sahel», a fait savoir le premier responsable du CAC.

    Les journées cinématographiques du sud se sont poursuivies dimanche en soirée à la salle de la cinémathèque de Béchar, ont été marquées par la projection du film La cinquième saison, réalisé par Ahmed Benkamla.


    Il s’agit d’une œuvre cinématographique qui rend hommage à la résistance populaire contre les hordes terroristes durant les années 1990 qu’a connue l’Algérie, a déclaré son réalisateur, lors d’un débat avec les cinéphiles de la région qui ont participé à ce rendez-vous culturel de trois jours (5-7 novembre).

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  • Khenchela

    4e Salon national de la photographie

    La quatrième édition du Salon national de la photographie de Khenchela, s'est tenu du 31 octobre au 02 novembre à la Maison de la culture Ali-Souaï de Khenchela sous le slogan «l'Algérie dans la photo». Cette manifestation organisée dans le cadre de la célébration du 68ème anniversaire du déclenchement de la révolution libératrice a été présidée par le wali Youcef Mahiout.

    Des artistes des wilayas de Khenchela, Laghouat, M'sila, Béni Abbès, Adrar, Tébessa, Alger et Oum El Bouaghi ont présenté durant ce salon 86 photographies dans la galerie Lazhar-Hekkar de la Maison de la culture.

    Placé sous l'égide du ministère de la Culture et des Arts, le salon était encadré par un jury de quatre artistes (Omar Douida, Salim Boulemkhali, Abdelghani Latrech et Redha Belalmi) qui a désigné les lauréats de la première place et des seconds Prix, comme indiqué par le directeur local de la culture et des arts, Mohamed El Alouani.

    La manifestation a vu également l'organisation de deux ateliers (théorique et pratique) de formation aux techniques de la photographie de portrait, selon la même source. La manifestation a eu pour invité d'honneur le photographe Akram Menari de Tiaret, lauréat du 1er Prix du concours photographique cheikh Mansour Ben Zayed El Nahyan organisé par l'Union des photographes arabes à Dubaï début octobre.

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