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Tunis - La "Fabrique des Cinémas du Monde" initiative de l'Institut français, a lancé appel à candid
Par hechache2 le 1 Novembre 2013 à 15:24Tunis - La "Fabrique des Cinémas du Monde" initiative de l'Institut français, a lancé appel à candidatures aux réalisateurs des pays éligibles.
La date limite d'inscription est fixée au lundi 2 décembre 2013, dans la limite de 120 projets. Les candidatures se font, selon la réglementation en vigueur, par le biais du formulaire en ligne disponible sur le site Cinémas du Monde.Parmi les critères de candidatures fixées, le projet doit être un premier ou deuxième long-métrage documentaire ou de fiction, sachant que chaque réalisateur ou société de production ne peut présenter qu'un seul projet de film.
Le projet doit avoir un producteur local (ou issu de la liste des pays éligibles) ayant déjà produit un court ou un long métrage dans les cinq dernières années. Le budget prévisionnel du film doit être inférieur à 3 millions d'euros.
Conçue en étroite relation avec le Festival de Cannes et le Marché du Film, la Fabrique soutient les projets de jeunes talents qui développent leur premier ou second long métrage. Les réalisateurs sélectionnés cette année, informe un communiqué de l'Institut français de Tunisie (IFT), seront invités avec leurs producteurs pendant le Festival de Cannes.
Leurs participations donnent accès à de nombreuses activités : ateliers du Producers Workshops et du Producers Networks, Cannes Court Métrage-Short Film Corner, accès aux films des sélections parallèles...
Le programme propose un accompagnement personnalisé, au moyen de rendez-vous individuels et collectifs avec les acteurs clés de l'industrie. Pour rappel, en 2012, 80 pour cent des projets accueillis depuis 2009 ont conclu des accords de co-production dans les six mois qui ont suivi leur participation au programme.
Situé au coeur du Village international du Festival de Cannes, La Fabrique des Cinémas du Monde est le programme professionnel du Pavillon "Cinémas du monde", destiné à favoriser l'émergence de nouveaux talents issus des pays du Sud.
Le Pavillon est un lieu unique dédié aux cinématographies d'Afrique, d'Asie, d'Amérique Latine, d'Europe Centrale et Orientale, du Proche et du Moyen-Orient. Véritable plateforme de travail et de rencontres, il s'est imposé comme lieu de référence pour l'actualité des cinémas du monde pendant le festival où se croisent artistes, professionnels et institutions internationales.
Le Pavillon Les Cinémas du Monde est une opération organisée par l'Institut français en partenariat avec l'Organisation Internationale de la Francophonie et France Médias Monde RFI, Monte Carlo Doualiya et France 24.Pour l'édition 2013, sous le parrainage de Raoul Peck, les 9 réalisateurs et leurs producteurs qui ont participé au programme de La Fabrique des Cinémas du Monde ont bénéficié de 18 rencontres collectives avec les dirigeants et responsables de nombreux domaines de l'Industrie du cinéma (marchés, fondations, fonds, financement, pitching, etc..).
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Par hechache2 le 14 Octobre 2013 à 16:51
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Par hechache2 le 14 Octobre 2013 à 16:49
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Par hechache2 le 11 Octobre 2013 à 17:41
Rachida
le 11.10.13 | 10h00
| © D. R.Un film de Yamina Bachir-chouikh (2002). samedi 12 à 13h30 et 17h à la cinémathèque d'Alger.
Belle opportunité de revoir un film daté de 2002 pour voir s'il y a eu tromperie ou pas. Souvenez-vous de Rachida, prénom féminin, titre d'un film algérien, alter ego d'une cinéaste prénommée Mina Chouikh, monteuse réputée dans le cinéma algérien et réalisatrice pour la première fois, durant l'année 2002. Une décade + 1 an plus tard, le film, maintes fois vu, de festival en festival, de salle algérienne en salle universelle, est de nouveau projeté à la cinémathèque d'Alger. Ce sera le samedi 12 octobre à 13h. Pourquoi revenir sur ce film ? Car le passé, parfois, donne des indices. Des codes. Des clefs.
Autrefois, ce film suscita l'adhésion générale. On la vit partout, on lisait et écoutait ses mots. Les Cahiers du Cinéma, emmené à l'époque par Charles Tesson, firent un numéro spécial «cinéma algérien» et lui consacrèrent deux-trois pages. Un film, en 2002, qui racontait «le quotidien désastreux d'une femme, qui sera violemment agressée pour s'être rendue sur son travail sans porter le voile. Exilée dans un village aux alentours d'Alger, cette enseignante tentera de retrouver goût à la vie. L'auteur ne prenait aucune pincette pour filmer la sauvagerie. Un cinéma clinique, quasi naturaliste allant jusqu'à sonder ce qu'il y a de plus pourri dans l'âme humaine».
En le revoyant, difficile d'y retrouver les qualités prétendument soulevées en 2002. Mise en scène plombée par un cadre hyper limité, nous renvoyant aux pires codifications télévisuelles, dialogues constamment utilisés pour sur-justifier une action en devenir ou achevée et surtout une propension à ne jamais prendre le «plan» pour ce qu'il est réellement, à savoir un écrin où réflexions et doutes seraient les mamelles d'un objet artistique. Il y a quelque chose de rance dans ce film-tract, comme si ce cinéma ne jouait plus au présent, mais avec un passé qui lui donnerait une naïveté aiguë. Conclusion : ne jamais relativiser au cinéma sous prétexte que le sujet est important. Seul compte le style. Et Rachida en est malheureusement dénué.
Samir Ardjoum
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