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    VIVA LALDJÉRIE

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    Sous pression terroriste, deux femmes se réfugient dans un hôtel situé au centre d’Alger. Goucem, la fille âgée de 27 ans, s’est fabriqué une apparence de vie « normale » en travaillant pour un photographe. Elle partage par ailleurs sa vie entre un homme marié et généreux et des week-ends chauds en boîte de nuit. Devant la télévision, Papicha, la mère, vacille entre peur et nostalgie d’un passé heureux de danseuse de cabaret.

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    LEÏLA ET LES AUTRES

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    Premier film féministe algérien. Mériem, jeune lycéenne et Leïla, ouvrière dans une usine, font face aux difficultés et aux préjugés encore tenaces qui maintiennent les femmes dans une position subordonnée et freinent leur émancipation.
    Mériem, promise à un homme qu’elle ne connaît pas et qui pose des exigences inacceptables, refuse ce mariage comme une fin en soi, réglé une fois pour toute par la tradition. Elle intervient contre les transactions qui s’opèrent sans son consentement. (1977 Vost)

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    PRENDS 10 000 BALLES ET CASSE-TOI

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    Prends 10000 balles et casse-toi est un film franco-algérien réalisé par Mahmoud Zemmouri sorti en 1982. Après la promulgation de la loi sur le retour des immigrés dans leurs pays d’origine, une famille algérienne décide de rentrer au pays. Les deux enfants de la famille, Fifi et Mus, vont semer la zizanie dans le village.

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    CARNAVAL FI DACHRA

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    Makhlouf Bonbardier décide d’être élu maire d’une dechra (village). Il s’entoure alors de partenaires fiables pour organiser une très grande compagne pour son élection. Bonbardier devient le maire du village et organise un festival international pour faire la concurrence au festival de Carthage. Dans son action, il est poursuivi par la cour des comptes pour détournement d’argent. Son ultime objectif est alors de devenir le président de la République…

    Film algérien de Mohamed Oukassi (1994).

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    FROM HOLLYWOOD TO TAMANRASSET

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    À la périphérie d’Alger, l’arrivée de l’antenne parabolique régente la vie des habitants. Insatisfaits de leur vie, ils se prennent pour les héros des feuilletons télévisés américains, c’est ainsi que JR, Sue Ellen, Rambo, Kojak,… prennent possession des corps et esprits. On y trouve des éléments typiques américains tel que le Saïd Burger, K3000,… Ces héros mêlent, dans une belle pagaille, tradition et modernisme, Islam et télévision, réalité et fiction. Réalisation et scénario : Mahmoud Zemmouri

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    LES ENFANTS DE NOVEMBRE

     

    « Les Enfants de Novembre » est un film algérien produit par la télévision algérienne et réalisé en 1975 par Moussa Haddad. Il retrace le combat héroïque des enfants de la guerre de Libération contre la France.

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    LES ENFANTS DE NOVEMBRE

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    « Les Enfants de Novembre » est un film algérien produit par la télévision algérienne et réalisé en 1975 par Moussa Haddad. Il retrace le combat héroïque des enfants de la guerre de Libération contre la France.

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    LA MONTAGNE DE BAYA

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    Alors que les Français ont dispersé les derniers groupes de résistance berbère et que certains réussissent à s’enfuir dans une montagne aride, Baya, fille du guide spirituel de la communauté, assiste au meurtre de son époux par son rival de toujours, Said. Celui-ci remet a la jeune veuve une bourse de Louis d’or, la ddiya, « le prix du sang verse ». Baya refuse de remettre aux paysans cette somme qui pourtant leur permettrait de payer l’impôt de guerre et de récupérer leurs terres. Film d’Azzedine Meddour.

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    RACHIDA

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    A Alger, pendant les années de terreur, Rachida, une jeune enseignante, se rend au travail sans porter son voile. Elle est violemment prise à partie par une bande de terroristes, dans laquelle se trouve un de ses anciens élèves, Sofiane. Ils lui demandent de placer une bombe dans son école, mais elle refuse d’obtempérer. Ils lui tirent alors dessus et la laissent pour morte. Elle survit et se réfugie chez sa mère, dans un petit village. Elle croit pouvoir fuir la violence des terroristes… (VOST, 2002)

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    MUSTAPHA BEN BOULAÏD (FILM)

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    Fiction inspirée de la vie de Mustapha Ben Boulaid. Film entier de 3 heures, réalisé par Ahmed Rachedi en 2007. Mostefa Ben Boulaïd (1917-1956) (en chaoui: Musá¹­afa Ben Bulεid), dit également Mustapha Ben Boulaid, est un commandant de la zone 1 dans les Aurès, un militant nationaliste algérien ainsi qu’un des chefs historiques du Front de libération nationale (FLN) durant la guerre d’Algérie.

    Mostefa Ben Boulaïd est né le 5 février 1917 à Arris au sein d’une famille chaouia aisée des Aurès, région montagneuse du nord est algérien. En 1939, il accomplit le service militaire obligatoire et est mobilisé durant la Seconde Guerre mondiale. Pendant la campagne d’Italie, en 1944, il se distingue par son courage, ce qui lui vaut la médaille militaire et la croix de guerre.
    Démobilisé au grade d’adjudant, il regagne sa ville natale, il milite dans les rangs du Parti du peuple algérien (PPA). Il joue un rôle important dans l’Organisation spéciale (Algérie) l’(OS), à l’intérieur de laquelle il mène une intense activité de formation politique et militaire des jeunes. Il commence à se procurer des armes en les achetant avec ses propres deniers et participe à l’hébergement des militants pourchassés par les autorités. Il supervise personnellement la distribution des armes à ces militants. En 1948, il participe aux élections de l’Assemblée algérienne et obtient une large victoire. Cependant, les résultats sont falsifiés par les autorités françaises.
    Il est l’un des fondateurs du Comité révolutionnaire d’unité et d’action (CRUA). Il préside la « réunion des 22 » du 25 juin 1954 à Alger, qui vise à établir une vision uniforme autour de la question du déclenchement de la lutte armée. Il est responsable de la zone I des Aurès, lieu qui mobilise fortement l’armée française et connu pour avoir payé un lourd tribut pendant la guerre d’Algérie. Il est l’un des membres du « Comité des six » chefs insurrectionnels. Il est à la direction des opérations du déclenchement de la Guerre d’Algérie du 1er novembre 1954 dans la région des Aurès.

    En 1955, il se rend en Libye pour approvisionner les militants en armes. Il participe aux deux batailles d’Ifri el blah et Ahmar Khaddou.
    Il est arrêté le 11 février 1955 en Tunisie et est condamné à mort par le tribunal de Constantine, puis emprisonné à la prison centrale de Constantine. Il s’en évade en novembre 1955 avec plusieurs autres détenus dont Tahar Zbiri — un des auteurs du coup d’État manqué en 1967 contre Houari Boumediene — et ce grâce à la complicité d’un gardien de prison, Djaffer Chérif, issu de sa région natale. Au cours de cette évasion un de ses compagnons chute, se blesse et sera par la suite guillotiné. C’est en commun accord, au tirage au sort, que l’ordre d’évasion s’est déroulé.

    Mostefa Ben Boulaïd décède le 22 mars 1956 avec Abdelhamid Lamrani — un de ses proches collaborateurs — dans le maquis à la suite de la détonation d’un poste radio piégé parachuté par l’armée française d’après la version officielle. (Wikipédia)

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