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    TIZI-OUZOU DANS LES ANNÉES 40: RARISSIME !

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    TIzi-Ouzou dans les années 40 : un reportage exceptionnel et rarissime de l’institut National d’audiovisuel (France).

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    RADIO ALGÉRIENNE : « ICI, LA VOIX DE L’ALGÉRIE COMBATTANTE »

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    Durant la guerre d’Algérie, le FLN avait pris l’initiative de diffuser des émissions radiophoniques sur les ondes de divers chaînes de radios de pays arabes ou de pays de l’Europe de l’est. Le 16 décembre 1956, une radio locale mobile sous le nom de « Radio de la voix de l’Algérie combattante » (en arabe:   »Sawt al Djazaïr al moukafiha ») fut créée dans la région de l’Ouest algérien.

    A l’indépendance, le nouvel État algérien créa la Radiodiffusion Télévision Algérienne, le 28 octobre 1962. À partir de 1965, l’acquisition d’émetteurs radio plus puissants permettent d’assurer une meilleure couverture du territoire national, une couverture qui jusqu’alors se limitait à quelques grandes villes.

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    ALGER 1900-1930

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    Belle série de photographies de notre capitale entre les années 1900 et 1930.

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    CHERCHELL, 1958, FILMÉE PAR UN SOLDAT FRANÇAIS

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    La ville et les environs de Cherchelle filmés en caméra amateur, sans doute par un militaire français. Ce « reportage » donne un bref aperçu du mode de vie colonial dans cette ville du littoral qui entre 1942 et 1962 abritait une école d’officiers qui assurait la formation des officiers de réserve de l’armée de terre française. A partir de la 6ème minute environ, c’est le départ pour une opération militaire dans l’arrière-pays, en hélicoptère, qui est filmé. Comme dans tous ces films, amateurs ou de propagande, on ne voit jamais un seul « musulmans » apparaître à l’écran…

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    CHEIKH SIDI BÉMOL : SUR LE CHEMIN DE BOUZEGUÈNE

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    Exclusivité . Documentaire sur notre cheikh international, le bien nommé Sidi Bémol. Cheikh Sidi Bémol est un artiste complexe. Hocine Boukella, à l’état civil, est un ovni culturel à lui tout seul. Il représente l’Algérie réconciliée avec elle-même, dans toute sa diversité. Avec ses caricatures, signées sous le pseudo Elho, il a su croquer l’âme algérienne. Sa musique, qualifiée de gourbi rock, est ouverte à toutes les influences. Fier de ses racines algériennes, il a su marier Cheikh Hamadi à Led Zepplin, le gnawa au rock, la musique berbère au celtique, le melhoun au jazz, le village à l’univers. Il nous rappelle que s’ouvrir aux autres cultures est une chance, que la musique n’a pas besoin de visa. Biologiste de formation, rien ne le prédestinait a priori à devenir le chef de file de la vague d’artistes algériens arrivés en France à la fin des années 80 à cause du terrorisme, communément appelée « la décennie rouge ». Il a l’âge de l’indépendance de l’Algérie. Cheikh Sidi Bémol porte un regard ironique, voire sarcastique, mais non dénué de tendresse sur le quotidien de ses concitoyens: corruption, exil, critique des conservatismes, les libertés, etc. Bouzeguène (Kabylie), Alger, Paris, ses ports d’attache, ont marqué son parcours. Et Cheikh Sidi Bémol leur est fidèle en composant aussi bien en kabyle, en arabe qu’en français. Le plus marin des chanteurs algériens nous emmène dans un voyage initiatique.

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    <header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 15px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 20px;"> </header>

    LIBÉREZ LARBI BEN M’HIDI !

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    -Pourquoi votre projet de film sur Larbi Ben M’hidi n’a toujours pas abouti ?
    En février 2011, une nouvelle loi sur le cinéma a été promulguée. D’emblée, un article déroute, il porte le n°6 et exige que tout film traitant de la guerre de Libération nationale soit «soumis au préalable à l’approbation du gouvernement». Sans plus de précisions. Un conflit a été engagé entre la ministre de la Culture et celui des Moudjahidine. Le président de la République avait chargé l’ex chef du gouvernement Ahmed Ouyahia d’arbitrer le match, ce dernier a finalement confié cette tâche au ministère des Moudjahidine pour le côté historique et à celui culture l’aspect technique et professionnel. Ce qui veut dire aujourd’hui aucun film historique ne pourra se réaliser sans l’agrément des deux ministères. Pour mon film, j’ai eu toute les autorisations du ministère de la Culture et même une partie des financements mais coté moudjahidine tout est bloqué. Voilà pourquoi 3 ans après le film est toujours en otage.

    -En amont, n’y a-t-il pas vice de forme en obligeant cinéastes et réalisateurs à soumettre leurs scénarios au ministère des Moudjahidine ? Le spectateur n’aura droit qu’à une version héroïque, officielle et déshumanisée…
    Le fait de ne pas débloquer les moyens prouve qu’on a peur de nos films. On est dirigés par un système qui a assis son pouvoir sur une légitimité révolutionnaire qu’il n’a pas. On s’en rend compte lorsqu’on travaille sur la vie de personnages historiques comme Larbi Ben M’hidi Ou Abane Ramadane.  On découvre que la révolution avait un autre visage que celui que le système veut montrer aux Algériens. Il est très important pour les Algériens de se réapproprier leur histoire, la preuve vous ne trouverez jamais la véritable histoire de Ben M’hidi ou de Abane Ramdane dans les manuels scolaires car les films historiques tournés par les réalisateurs du système formés par le système ont tous véhiculés effectivement une version héroïque, officielle et déshumanisée…

    -Pourquoi cette fascination pour le passé ? On a l’impression que l’Algérie se réfugie dans un passé fantasmé ?
    L’Algérien d’aujourd’hui ne se reconnait plus dans les dirigeant actuels trop vieux, dépassés moches vicieux, corrompus et qu’il considère comme traitres pour avoir trahi et parfois assassiné leur camarades de révolution. Donc il a besoin de repères, ces repères les retrouve chez des jeunes garçons beaux intelligents jeunes intègres etc. Bref ceux qui avaient fait l’une des plus belles révolutions du 20e siècle, ceux avaient tenu tête aux Français durant les négociations d’Evian, ceux qui avaient impressionné les Bigeard, les Lacoste. Il se retrouve alors dans ces personnages et il préfère s’y accrocher

    -Comment peut-on définir la profession de producteur en Algérie ?

    Il y a deux sorte de producteurs : ceux qui font partie de la cour, les larbins ou les hommes d’affaires de l’image qui bénéficient des grandes largesses du gouvernement et qui font des films pour le pouvoir et leurs enfants pour se les regarder dans les avant-premières et de l’autre ceux qui se démêlent quotidiennement en bénéficiant du minimum de subventions et parfois sont obligés d’aller compléter leur financement à l’étranger et essayent d’exporter leurs films pour les chaines étrangères et quelques circuits de distribution internationaux.
    Quel est son rôle précisément ?
    On continue à faire des films tout d’abord pour dire des choses par l’image. On a tellement de choses à raconter et en plus nous ne savons pas faire autre chose et aussi on croit qu’un jour les choses vont s’arranger. La censure fait rage effectivement mais beaucoup plus à la télévision qui a décidé de ne plus diffuser de films ni de coproduire des films, elle se contente  de programmes qui font endormir le peuple et l’éloigner de toutes pensée politique identitaire ou intelligente. C’est pour ça que les cinéastes algériens montrent leurs films dans les festivals ou sur les chaînes françaises.

    -Quels sont vos projets en cours ?

    Logiquement, je devais produire un biopic sur Matoub Lounès, juste après le film sur Ben M’hidi. Normalement… On verra comment les choses vont se passer.

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    DÉBAT HISTORIQUE ENTRE LE COLONEL TRINQUIER ET YACEF SAADI AU SUJET DE LA BATAILLE D’ALGER (1970, 1ÈRE PARTIE)

     

    Débat inédit entre Yacef Saadi et le colonel Trinquier sur le film la bataille d’ALGER réalisé par l’italien GILLO PONTECORVO ensemble ils évoquent des souvenirs de cette période et parlent de la torture.

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    DÉBAT HISTORIQUE ENTRE LE COLONEL TRINQUIER ET YACEF SAADI AU SUJET DE LA BATAILLE D’ALGER (1970, 2ÈME PARTIE)

     

    Débat inédit entre Yacef Saadi et le colonel Trinquier sur le film « La bataille d’Alger » réalisé par l’italien GILLO PONTECORVO ensemble ils évoquent des souvenirs de cette période et parlent de la torture.

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    <header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 15px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 20px;"> </header>

     

    LAKHDAR HAMINA SUR « CHRONIQUE DES ANNÉES DE BRAISE »

     

    Le cinéaste Mohamed Lakhdar-Hamina parle dans cette interview de son film « Chronique des années de braise » qui a reçu la palme d’or au festival de Cannes en 1975. Film assez long (2h57), il est composé en forme de chronique événementielle de l’Algérie de 1939 à 1954 et met en relief deux dimensions structurantes : l’expropriation des terres et la déculturation. « Chronique des années de braise » met en images la longue lutte du peuple algérien pour résister à la colonisation puis conquérir son indépendance.

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  • « CHRONIQUE DES ANNÉES DE BRAISE » DE MOHAMMED LAKHDAR-HAMINA (1975, 1ÈRE PARTIE)

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    1ère partie du film de Mohamed Lalhdar-Hamina, palme d’or au Festival de Cannes en 1975.

    Durée : 2h57. Avec Yorgo Voyagis, Mohammed Lakhdar-Hamina, Leila Shenna, Cheikh Nourredine, François Maistre. Scénario de Mohamed Lakhdar-Hamina, Rachid Boudjedra et Tewfik Fares.

    Quelques jours avant que n’éclate la seconde guerre mondiale, Ahmed laisse derrière lui ses souvenirs et son village natal pour tenter sa chance dans la grande ville. Il y rencontre Miloud, sorte d’illuminé, à mi-chemin en le fou et le prophète, mais aussi une réalité terrible, la misère, la mort et l’aliénation. Lorsque la guerre de Libération commence, Ahmed s’y jette corps et âme. Mais il est seul, sans famille à l’exception de Smaïl, son fils. Pris dans une embuscade militaire, il mourra avec fierté en sachant que son fils est prêt lui aussi à donner sa vie pour libérer son pays

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