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    DANIEL PRÉVOST, PARRAIN DU FESTIVAL INTERNATIONAL DES FILMS BERBÈRES

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    L’acteur d’origine kabyle Daniel Prévost était le parrain du Festival international des films berbères qui s’est tenu du 19 au 21 avril 2013 à Paris. Il s’explique dans cet entretien sur ses racines, les raisons de ce parrainage et la vitalité du cinéma berbère.

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    « PARFUMS D’ALGER » À LA CINÉMATHÈQUE

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    Synopsis : C’est l’histoire d’une femme, Karima, une photographe algérienne qui vit à Paris depuis plusieurs années et qui est obligée de rentrer précipitamment à Alger pour assister à l’agonie de son père contre lequel elle s’est révoltée il y a 20 ans. Elle avait alors rompu tout contact avec lui, mais aussi avec les siens et sa terre natale. La raison de cette rupture est qu’elle tenait à sa liberté et à son indépendance.
    A son retour à Alger et pendant son séjour, Karima se trouve confrontée à son passé – nul d’ailleurs ne peut y échapper. La mémoire convoquée, Karima sera amenée progressivement à renouer avec les siens et à se réconcilier avec son histoire. Elle finit en fait par se réconcilier avec elle-même.

    La projection est du samedi 28 septembre 2013 pour une semaine à la salle de la cinémathèque – 26 rue Larbi Ben M’hidi – Alger – en présence du réalisateur et des acteurs (horaires standard)

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    FILM : « ROME PLUTÔT QUE VOUS », PAR TARIQ TEGUIA

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    Film algérien de 2007 réalisé par Tariq Teguia, avec Rachid Amrani, Samira Kaddour, Ahmed Benaïssa, Kader Affak, Rabie Azzabi, Lali Maloufi, Fethi Ghares.

    Synopsis : Depuis plus de dix années, l’Algérie vit une guerre lente, une guerre sans ligne de front mais ayant causé plus de 100 000 morts. C’est ce désert que Zina et Kamel – deux jeunes algérois tantôt hallucinés et joyeux, tantôt abattus et sereins – voudront sillonner une dernière fois avant de le quitter pour l’ailleurs. Road Movie sur les territoires d’une ville, Alger dont les chantiers sont des décombres. Roma wa la n’touma montrera que fuir à l’étranger n’est pas un refus du combat, mais une lutte obscure contre l’assignation

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    NUITS BLANCHES, UN COURT MÉTRAGE BLUFFANT

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    Un homme est allongé sur le trottoir dans un tunnel. Des milliers de voitures passent sans s’arrêter. Une voix off se demande pourquoi cet homme ne change pas de position, pourquoi personne n’ose l’approcher. Qui est cet homme ? Un court métrage, du grand cinéma.

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    « L’HONNEUR DE LA TRIBU », DE MAHMOUD ZEMMOURI (1993)

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    D’après le roman de Rachid Mimouni, avec Saïd Amadis, Magid Bouali, Marianne Caron, Djamel Dekkar, Edith Develeyne

    Comme chaque année à Zitouna, passe un montreur d’ours. Avec sa créature, il vient défier la petite communauté. Et comme tous les ans, c’est Slimane el Mabrouk qui défend l’honneur de la tribu. Mais cette fois, il en meurt, laissant deux orphelins, Omar et Ourida. Spoliés de leur héritage, les enfants vont grandir seuls.
    Les années passent, l’armée française s’installe, et avec elle, la guerre. Mystérieusement, un jour, après le meurtre d’un légionnaire français (acte de résistance ou fait-divers crapuleux ?), Omar disparaît dans le maquis, tandis que sa soeur meurt en couches.
    Omar reviendra au village, bien plus tard, une fois l’indépendance acquise, en représentant du pouvoir et avec cette formule énigmatique : »Il faut que vous sachiez que la Révolution ne vous a pas oubliés ».
    Vengeance personnelle ? Volonté sincère d’apporter le progrès et la modernité ?… Les habitants de Zitouna, bouleversés dans leur mode de vie ancestral, ne tarderont pas à avoir une réponse à leurs questions.

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    LA TÉLÉVISION ALGÉRIENNE DES ANNÉES 1970-1973

     

    Un gros coup de nostalgie pour certains, un morceau d’Histoire pour d’autres : voici un échantillon de ce que diffusait la télé algérienne dans les années 70. Musique, football, humour et des séries (dont « Daktari » !) : il y avait de tout pour séduire le peuple et flatter l’orgueil national. Que du très consensuel, bien sûr, et la censure veillait à ce que rien ne vienne perturber ce bel ordonnancement !

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    » TÉLÉ CINÉ CLUB  » D’AHMED BEDJAOUI

     

    L’Émission hebdomadaire  » Télé Ciné Club  » d’Ahmed Bedjaoui a été diffusée à la télévision algérienne de 1969 à 1989.Celle-ci date de 1982 et dont le débat tourne autour du film  » Sonate d’Automne  » (1978), du grand réalisateur suédois Ingmar Bergman.Les invités de l’Émission sont : Albert Servoni, Mohamed Ifticen, Mouny Berrah (a signé le scénario du film  » Nahla » avec Farouk Beloufa et Rachid Boudjedra), et enfin l’un des plus grands directeurs photo algériens : Youcef Sahraoui.

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    UN PROGRAMME TV AUTOUR DES PHOTOGRAPHES ALGÉRIENS .

     

    Diffusé à partir de ce soir : avant le 20H sur la terrestre, après le 20H sur A3 et apres 19H sur Canal Algérie, « Khalf Essoura » est un programme court qui mettra en avant à chaque épisode un photographe Algérien, narrateur de l’histoire d’une de ses photographies les plus marquantes.

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    <header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 15px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 20px;"> </header>

     

    « LLOB AND CO », FILM CENSURÉ PAR L’ENTV

     

    Le film de Bachir Derrais « Llob and Co », tiré de l’œuvre de Yasmina Khadra, connait des péripéties kafkaïennes. Après l’avoir financé, la télévision algérienne (ENTV) a décidé de ne pas le diffuser. Elle exige du réalisateur qu’il censure plusieurs scènes, au risque de dénaturer le film. Le réalisateur refuse la politique des ciseaux… Les téléspectateurs algériens ne verront donc pas le film avant longtemps…

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    <header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 15px; color: rgb(51, 51, 51); font-family: 'Helvetica Neue', Helvetica, Arial, sans-serif; font-size: 14px; line-height: 20px;"> </header>

     

    PREMIER ANNIVERSAIRE DU DÉCÈS DE L’ACTEUR RACHID FARÈS

     

    Il était parti le 20 juin 2012, un an déjà que Rachid Farès nous a quittés. Il avait 56 ans, son coeur, trop tendre, l’avait lâché nous privant d’un comédien formidable. Passionné de théâtre et de cinéma, il avait marqué son époque, avant de se retrouver oublié de tous. Il avait joué dans plusieurs films, notamment « Le clandestin », « Morituri », «Le thé d’Ania», « L’envers du miroir ».  Sa dernière apparition a été dans le film sur la grande figure de la révolution algérienne Mustapha Ben Boulaïd réalisé par Ahmed Rachedi. En 2007, il a reçu le Fennec d’or de la meilleure interprétation masculine pour le rôle joué dans le feuilleton « El Aouda » (Le Retour). Nous ne l’oublions pas.

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