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  • Le film du jourTahya ya Didou

    Aujourd’hui, à 15h, la Cinémathèque d’Alger, sise rue Larbi-Ben-M’hidi, abritera la projection du long métrage mythique Tahia ya Didou (1971) de Mohamed Zinet.

    Ce dernier n’était à l’origine qu’une commande de la ville d’Alger consistant à réaliser un film de réclame touristique pour la capitale. Mais le cinéaste finit par transformer le projet en une ode cinématographique à Alger, mêlant images réelles et de fiction, et offrant ainsi au 7e art algérien l’un des films les plus importants et atypiques de son histoire.


    Le pitch est simple : au hasard des promenades et des rencontres, Simon et sa femme, un couple de touristes français, découvrent Alger. Simon reconnaît dans un bistrot un Algérien qu’il a autrefois torturé. L’homme le fixe. Pris de panique, Simon s’enfuit.

    Parmi les personnages, on retrouve Mohamed Zinet lui-même, le poète légendaire de la Casbah Himoud Brahimi (Momo), ainsi que Georges Arnaud.


    La municipalité d’Alger finit par rejeter le film qui ne connaîtra donc jamais une véritable sortie en salles. Il sera vu sporadiquement par les habitués de la Cinémathèque avant d’être restauré et numérisé en 2016.
    S. H.

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  • Le film du jourDemon Slayer

    À peine rouverte au public, la salle de cinéma l’Afrique, située au cœur du quartier populaire de Meissonier, accueille les sorties internationales distribuées par MD Ciné.

    En plus de John Wick 4 et de Scream, le programme s’adresse également au jeune public, et notamment les amateurs de mangas.


    Demon Slayer est le manga le plus vendu au Japon en 2019 et 2020. Le nouveau chapitre de la saga portée à l’écran par Haruo Sotozaki, En route pour le village des forgerons, est à l’affiche du cinéma l’Afrique aujourd’hui à 15h.


    Devenue une franchise commercialisée sur différents supports, Demon Slayer se déroule au début du XXe siècle dans un Japon constamment menacé par l’attaque des démons mangeurs d’hommes.

    Tanjiro Kamado est le premier enfant d'une famille de marchands de charbon dont le père est décédé : pour subvenir aux besoins de celle-ci, il vend du charbon de bois au village en contrebas de la montagne. Malgré les difficultés de la vie, ils réussissent à trouver un peu de bonheur dans leur quotidien.


    Un jour, à cause de rumeurs qui circulent à propos d'un démon qui traînerait dans les parages la nuit tombée, il est obligé de passer la nuit chez un Bon Samaritain du village. Seulement, tout bascule à son retour lorsqu'il détecte grâce à son odorat aiguisé une forte odeur de sang : il se précipite chez lui et retrouve sa famille massacrée.

    Nezuko, l'une de ses petites sœurs, est, bien qu'inconsciente, la seule survivante et Tanjirō l'emporte donc avec lui, pour tenter de l'amener chez un médecin qui pourrait peut-être la sauver : elle reprend cependant conscience en chemin et, étant devenue elle-même un démon, attaque son frère mais finit tout de même par montrer des signes d'émotions et de pensées humaines.

    C'est à ce moment qu'intervient un Pourfendeur de démons du nom de Giyū Tomioka, chargé d'éliminer le démon sévissant dans la région.

    Alors qu'il tente de tuer Nezuko, Giyū se rend compte du comportement singulier de cette dernière qui, au lieu de chercher à dévorer son frère, tente de s'interposer pour empêcher le Pourfendeur de s'en prendre à Tanjirō, qui l'avait défié afin de la sauver alors qu'il n'avait aucune chance, et décide ainsi de les laisser en rengainant son sabre.


    Sur les conseils de Giyū, Tanjirō se rend chez son maître Sakonji Urokodaki pour s'entraîner à devenir un Pourfendeur de démons, afin d'entamer son périple pour tenter de trouver un antidote pouvant rendre à nouveau humaine sa petite sœur (chose qui, de mémoire d’homme et avec les connaissances médicales actuelles, est en l'état impossible) tout en protégeant les humains des démons, ainsi que retrouver le démon responsable du massacre de sa famille et de la transformation de Nezuko pour se venger.
    R. C.

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  • Le film du jourScream VI

    C’est sans doute l’un des films d’horreur préférés des inconditionnels du genre. Scream ou le Cri, dont le premier volet remonte aux années 1990, continue à attirer les foules vers les salles de cinéma.


    Distribué dès sa sortie mondiale par MD Ciné, il est actuellement en projection dans plusieurs salles algériennes, dont cinéma l’Afrique qui prévoit une séance ce soir à 21h30.


    Réalisé par Matt Olpin et Tyler Gillet, ce sixième volet met en vedette Meliss Barrera, Jenna Ortega et Courteney Cox.

    Voici le pitch : après avoir frappé à trois reprises à Woodsboro, après avoir terrorisé le campus de Windsor et les studios d’Hollywood, Ghostface a décidé de sévir dans Big Apple, mais dans une ville aussi grande que New York personne ne vous entendra crier…
    Interdit aux moins de douze ans.

     

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  • L’Algeria est de retour !

     

    Après plusieurs années d’inactivité, la salle de cinéma Algeria rouvre ses portes. Elle accueillera durant ce mois de ramadhan le programme de la société de distribution MD Ciné.

    Fermée depuis longtemps, et ne servant plus que sporadiquement à des expositions ou spectacles folkloriques, l’une des salles de cinéma les plus centrales d’Alger vient de revenir à sa vocation originelle. Il s’agit de l’Algeria, située au cœur de la rue Didouche-Mourad, et désormais ouverte au public avec un programme cinématographique proposé par MD Ciné.


    Cette dernière est spécialisée dans la distribution des dernières sorties du cinéma mondial, notamment hollywoodien, destiné aux adultes comme au jeune public.
    Pour ce mois de Ramadhan, la salle abritera quotidiennement deux séances (16h et 22h). Le programme, entamé dimanche, se poursuit avec les derniers blockbusters américains ainsi que des films d’animation.


    Aujourd’hui, la salle accueillera à 16h Sacrées momies. Destiné aux enfants à partir de six ans, ce film réalisé par Juan Garcia Galocha est également projeté dans les salles Afrique et Ibn Khaldoun à Alger-Centre.


    Voici le pitch : vous êtes-vous déjà demandé à quoi ressemblait le monde des momies ? Sous les pyramides d’égypte se trouve un royaume fabuleux, où les momies conduisent des chars, rêvent de devenir des pop-stars et vivent à l’écart de la civilisation humaine.

    Mais lorsqu’un archéologue sans scrupules pille un de leurs trésors, Thut et la princesse Nefer, fiancés malgré eux, se voient contraints de faire équipe et de se rendre dans le monde des vivants. Accompagnés par le frère de Thut et son crocodile domestique, ils vont vivre une aventure hors du commun à Londres et former une amitié inattendue.


    À 22h, la salle Algeria abritera la projection du quatrième volet de la saga John Wick, film d’action à succès réalisé par Chad Stahelski avec Keanu Reeves dans le rôle principal. Dans ce 4e chapitre, John Wick découvre un moyen de vaincre l’organisation criminelle connue sous le nom de la Grande Table.

    Mais avant de gagner sa liberté, il doit affronter un nouvel ennemi qui a tissé de puissantes alliances à travers le monde et qui transforme les vieux amis de John en ennemis.


    Demain, l’Algeria vous donne rendez-vous avec un autre blockbuster, japonais celui-là : Demon Slayer en version originale sous-titrée. Il s’agit d’un manga au succès mondial signé par Haruo Sotozaki, adapté au cinéma sur plusieurs volets, dont le dernier, En route pour le village des forgerons, est réalisé par Koyoharu Gotouge.

    Ce nouveau film contiendra les épisodes 10 et 11 de l’arc Le Quartier des plaisirs, dont les scènes d’action endiablées et le scénario déchirant avaient été salués, ainsi que le premier épisode du prochain arc, Le Village des forgerons.
    À cette occasion, les épisodes ont été convertis en 4K et la musique a été remixée pour profiter d’une expérience unique sur grand écran !
    R. C.

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  • Le film du jourDemon Slayer

    À peine rouverte au public, la salle de cinéma l’Afrique, située au cœur du quartier populaire de Meissonier, accueille les sorties internationales distribuées par MD Ciné. En plus de John Wick 4 et de Scream, le programme s’adresse également au jeune public, et notamment les amateurs de mangas.


    Demon Slayer est le manga le plus vendu au Japon en 2019 et 2020. Le nouveau chapitre de la saga portée à l’écran par Haruo Sotozaki, En route pour le village des forgerons, est à l’affiche du cinéma l’Afrique aujourd’hui à 15h.


    Devenue une franchise commercialisée sur différents supports, Demon Slayer se déroule au début du XXe siècle dans un Japon constamment menacé par l’attaque des démons mangeurs d’hommes.

    Tanjiro Kamado est le premier enfant d'une famille de marchands de charbon dont le père est décédé : pour subvenir aux besoins de celle-ci, il vend du charbon de bois au village en contrebas de la montagne. Malgré les difficultés de la vie, ils réussissent à trouver un peu de bonheur dans leur quotidien.


    Un jour, à cause de rumeurs qui circulent à propos d'un démon qui traînerait dans les parages la nuit tombée, il est obligé de passer la nuit chez un Bon Samaritain du village. Seulement, tout bascule à son retour lorsqu'il détecte grâce à son odorat aiguisé une forte odeur de sang : il se précipite chez lui et retrouve sa famille massacrée.

    Nezuko, l'une de ses petites sœurs, est, bien qu'inconsciente, la seule survivante et Tanjirō l'emporte donc avec lui, pour tenter de l'amener chez un médecin qui pourrait peut-être la sauver :

    elle reprend cependant conscience en chemin et, étant devenue elle-même un démon, attaque son frère mais finit tout de même par montrer des signes d'émotions et de pensées humaines. C'est à ce moment qu'intervient un Pourfendeur de démons du nom de Giyū Tomioka, chargé d'éliminer le démon sévissant dans la région.

    Alors qu'il tente de tuer Nezuko, Giyū se rend compte du comportement singulier de cette dernière qui, au lieu de chercher à dévorer son frère, tente de s'interposer pour empêcher le Pourfendeur de s'en prendre à Tanjirō, qui l'avait défié afin de la sauver alors qu'il n'avait aucune chance, et décide ainsi de les laisser en rengainant son sabre.


    Sur les conseils de Giyū, Tanjirō se rend chez son maître Sakonji Urokodaki pour s'entraîner à devenir un Pourfendeur de démons, afin d'entamer son périple pour tenter de trouver un antidote pouvant rendre à nouveau humaine sa petite sœur (chose qui, de mémoire d’homme et avec les connaissances médicales actuelles, est en l'état impossible) tout en protégeant les humains des démons, ainsi que retrouver le démon responsable du massacre de sa famille et de la transformation de Nezuko pour se venger.
    R. C.

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  • "Cinéma amateur : Comment transformer vos idées en images époustouflantes

    "Cinéma amateur : Comment transformer vos idées en images époustouflantes

    Si vous cherchez à faire du cinéma amateur, voici quelques astuces pour vous aider à démarrer :

     

    Équipez-vous : Vous aurez besoin d'une caméra et d'un micro pour commencer à filmer. Vous pouvez trouver des équipements de qualité à des prix raisonnables.

     

    Créez un scénario : Avant de commencer à filmer, créez un scénario pour votre film. Cela vous aidera à organiser vos idées et à déterminer les scènes à filmer.

     

    Faites un storyboard : Une fois que vous avez un scénario, créez un storyboard pour visualiser les scènes de votre film avant de les filmer. Cela vous aidera à planifier les angles de prise de vue et à déterminer les mouvements de caméra nécessaires.

     

    Trouvez des acteurs : Si vous avez besoin d'acteurs pour votre film, recherchez des personnes dans votre entourage ou faites appel à des bénévoles. Assurez-vous de leur expliquer clairement leur rôle et les attentes que vous avez.

     

    Planifiez vos tournages : Planifiez vos tournages à l'avance pour éviter les retards et les erreurs de logistique. Assurez-vous de disposer de suffisamment de temps pour filmer toutes les scènes nécessaires.

     

    Soyez créatif : Laissez libre cours à votre imagination et soyez créatif dans votre approche. Utilisez des angles de caméra intéressants, des effets spéciaux simples, et des musiques appropriées pour rendre votre film plus attractif.

     

    Montez votre film : Une fois que vous avez terminé de filmer, montez votre film en utilisant un logiciel de montage vidéo. Vous pouvez ajouter des transitions, des effets spéciaux, des musiques et des sous-titres pour améliorer la qualité de votre film.

     

    Partagez votre film : Après avoir monté votre film, partagez-le avec votre famille, vos amis, et en ligne sur des plateformes telles que YouTube ou Vimeo. Cela vous permettra d'obtenir des commentaires et des critiques qui vous aideront à vous améliorer pour votre prochain film.

     

    En résumé, pour faire du cinéma amateur, vous aurez besoin d'un équipement de base, d'un scénario, d'un storyboard, de volontaires pour jouer, d'une bonne planification, de créativité, de compétences de montage et d'une plateforme pour partager votre travail. Bonne chance !

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  • Le nerf de l’art

    Des assises régionales sur le cinéma se tiennent un peu partout, en attendant les assises nationales prévues les 29 et 30 avril à Alger. C’est bien !

    La question est : comment relancer le septième art en Algérie ? La question sur les financements revient à chaque fois. Certes, l’argent, ce nerf de la guerre, est souvent le nerf de l’art aussi.

    Mais vous qui ne voulez pas du socialisme, faites comme Hollywood !
    K. B. 

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  • Le coup de bill’art du soir«

    Cilima»

    Les dernières productions hollywoodiennes sont à l’affiche de la salle Ibn Khaldoun (et d’autres salles d’Alger). Le public (de sept à soixante-dix-sept ans) est présent.


    C’est comme si les Américains font des films pour le public algérien. Les films algériens, eux, font le tour des festivals et puis s’en vont, sans que les Algériens les voient.
    K. B. 
    bakoukader@yahoo.fr

     

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  • Journée internationale de la femme : La Cinémathèque d’Alger rend hommage à la regrettée Yamina Bachir Chouikh Le Centre algérien de la cinématographie organise les 7 et 8 mars à la Cinémathèque d’Alger la manifestation

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    «Journées du cinéma de la femme» dédiée à la mémoire de la défunte réalisatrice Yamina Bachir-Chouikh (1954-2022), dans le cadre de la célébration de la Journée internationale des femmes, a indiqué un communiqué du même établissement cinématographique.

    Le programme de la manifestation cinématographique comprend des projections de longs métrages sur la femme, tels que Jusqu’à la fin des temps de Yasmine Chouikh, Parkour (s) de Fatma Zohra Zamoum, Saliha de Mohamed Sahraoui et Le Pasio réalisé par Sid Ali Mazif, outre Hier, sréalisé par Badra Hafiane.

    Les organisateurs ont également programmé au niveau de la Cinémathèque d’Alger une conférence sur La femme dans le cinéma algérien, avec la participation de Hanane Touati, professeure au département des Arts à l’Université de Bouzaréah et du journaliste et critique de cinéma Mohamed Abidou.

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