• Une soixantaine de films en compétition au quatrième Festival du film méditerranéen de Annaba

    Le quatrième Festival du film méditerranéen de Annaba annonce la sélection d'une soixantaine de films pour la compétition dans sa quatrième édition prévue du 3 au 9 novembre prochain, au Théâtre régional Azzedine-Medjoubi, après quatre années d'absence, annoncent les organisateurs dans un communiqué.


    Coordonnée sous le slogan «Nouvelle Vision», la quatrième édition de ce Festival aspire à apporter un nouveau regard, une nouvelle vision qui puisse «relever les défis du cinéma à l’échelle mondiale».


    «Nous avons décidé de faire de cette nouvelle édition une occasion pour donner une véritable dimension internationale à ce festival à travers notamment l'ouverture d’un débat avec des producteurs nationaux et internationaux», a indiqué le commissaire du festival, Mohamed Allal. Les inscriptions des postulants à ce grand événement international se poursuivent jusqu’au 31 août, et comptent jusqu'à maintenant «pas moins de 2000 films reçus».


    Parmi ces films issus du bassin méditerranéen et d'ailleurs, seulement une soixantaine seront sélectionnés en compétition dans l'une des trois catégories officielles.


    La nouvelle vision du cinéma méditerranéen devant être reflétée, plusieurs changements organisationnels sont prévus, notamment la substitution du trophée «Annab d’or» (Jujubier d’or) par le prix «La Gazelle d’or».


    Le festival dédiera une large session de formation à travers divers masters-class sur les métiers du cinéma en faveur des jeunes amateurs du 7e art, en partenariat avec l’Institut supérieur des métiers des arts du spectacle et de l'audiovisuel de Bordj El-Kiffan (Ismas) ainsi que nombre d'associations.

    Après une première édition tenue en 1986, le Festival du film méditerranéen de Annaba a repris de 2016 à 2018, pour revenir à nouveau en novembre 2023.

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  • 80e MostraThe Palace, le dernier Polanski, l'un des cinéastes les plus contestés, présenté à Venise

    La Mostra de Venise se distingue en projetant samedi, le dernier film de Roman Polanski, cinéaste majeur mais considéré par beaucoup comme un symbole de l'impunité en matière de violences sexuelles.


    The Palace, tourné à Gstaad en Suisse avec Mickey Rourke et Fanny Ardant, est présenté hors compétition et le cinéaste de 90 ans ne viendra pas sur le Lido. Mais la présence du film au programme a fait bondir des groupes féministes comme le collectif 50/50.


    L'auteur du Pianiste et de Rosemary's baby vit en Europe à l'abri de la justice américaine, qu'il fuit depuis plus de 40 ans après une condamnation pour des relations sexuelles illégales avec une mineure.


    Persona non grata à Hollywood, il a vu sa situation également basculer en France depuis la polémique autour du César de la réalisation obtenu en 2020 pour J'accuse, alors qu'il était visé par de nouvelles accusations d'agressions sexuelles.


    Il est désormais considéré par certains comme l'un des symboles d'une certaine impunité. Interrogé par l'AFP avant le début du festival sur cette invitation, le directeur de la Mostra Alberto Barbera s'est défendu en estimant qu'il fallait faire «la distinction entre l'homme et l'artiste».

    Biopic de Leonard Bernstein
    Côté compétition, Maestro, l'un des films les plus attendus de la Mostra devait être présenté samedi, mais en l'absence de son acteur principal et réalisateur, Bradley Cooper, en raison de la grève historique des acteurs et scénaristes aux États-Unis. Produit et diffusé sur Netflix en fin d'année, le film se présente comme un biopic de Leonard Bernstein, décédé en 1990, l'un des compositeurs et chefs d'orchestre les plus connus de tous les temps.
    L'Américain a notamment dirigé l'Orchestre philharmonique de New York et reste dans les annales pour sa partition de West Side Story, succès majeur de Broadway. Avec Maestro, en lice pour le Lion d'or, Bradley Cooper (A Star Is Born, Very Bad Trip) se penche sur la relation tourmentée de Leonard Bernstein avec sa femme, interprétée par Carey Mulligan.


    Aux États-Unis, le film a été précédé d'une polémique : la décision de Bradley Cooper de porter dans Maestro une prothèse nasale pour incarner Leonard Bernstein, fils d'immigrés juifs ukrainiens, a été considérée par certains comme une façon d'alimenter les stéréotypes sur les Juifs.


    Ce choix a relancé le débat anglo-saxon sur le choix d'acteurs non-juifs pour incarner des personnages juifs, que certains assimilent au blackface, cette pratique longtemps utilisée par les acteurs blancs, qui se noircissaient le visage pour incarner des rôles d'hommes noirs.

    «Beau et gros nez»

    Les trois enfants du compositeur de la comédie musicale West Side Story ont pris mi-août la défense de l'acteur, affirmant être «parfaitement d'accord» avec sa décision «d'utiliser des artifices pour amplifier sa ressemblance» avec leur père.


    «Il se trouve que Leonard Bernstein avait un beau et gros nez", ont réagi Jamie, Alexander et Nina Bernstein dans leur communiqué. «Nous sommes également certains que notre père n'aurait pas eu de problème avec cela.»


    La 80e édition du doyen des festivals de cinéma, qui s'est ouverte mercredi soir, ne s'est pas encore trouvé de favori pour le Lion d'or, qui sera décerné le 9 septembre.


    Mais les performances d'Adam Driver dans Ferrari, où il interprète le mythique fondateur de la marque au cheval cabré, et d'Emma Stone dans Pauvres créatures de Yorgos Lanthimos, ont marqué les festivaliers.

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  • Le court métrage Hamassat El Fadjr de Kamel Rouini en avant-première à la Cinémathèque d'Alger

    Le court métrage Hamassat El Fadjr (Murmures de l'aube) du réalisateur Kamel Rouini, produit dans le cadre du soixantenaire du recouvrement de la souveraineté nationale, a été projeté en avant-première, samedi, à la Cinémathèque d'Alger.


    Le film d’une durée de 17 minutes, écrit par feu Mohamed Adlène Bekhouche et produit par le Centre algérien de développement du cinéma (CADC), met en avant la participation et le rôle important des enfants durant la glorieuse guerre de Libération nationale.


    Le court métrage raconte l'histoire du petit Hocine, incarné par Abdelfatah Ghouini, qui refuse l'abattage de son chien après la décision des révolutionnaires de se débarrasser des chiens du village dont l'aboiement la nuit attirait l'attention de l'ennemi.

    Pour que son chien échappe à ce triste sort, Hocine l'emmène dans une cachette dans la montagne et continue de s'en occuper à l'insu de son père moudjahid.


    Une nuit, alors qu'il se rendait dans la cachette pour nourrir son chien, Hocine aperçoit en chemin une patrouille de l'armée française en direction du village où se trouvaient les moudjahidine. Aussitôt, il s'empresse d'en avertir les révolutionnaires et réussit à le faire à temps.


    À travers cette première expérience de réalisateur de cinéma, Kamel Rouini a plongé le spectateur dans un univers plein d'humanité, en montrant la contribution des enfants durant la glorieuse guerre de Libération nationale.


    Avec ce court métrage, le réalisateur Kamel Rouini et le scénariste Mohamed Adlène Bekhouche (à qui un hommage a été rendu avant la projection) ont su tenir en haleine le nombreux public de la Cinémathèque d'Alger.

    Le réalisateur, qui a dédié son œuvre au regretté Mohamed Adlène Bekhouche, a déclaré qu'il souhaitait à travers ce film historique «mettre en évidence le rôle des enfants durant la révolution».

    «Les acteurs, dont la plupart faisaient leur première expérience devant des caméras, ont été à la hauteur», a-t-il souligné.

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  • Aide de l'État aux arts et au cinéma en 2023Les projets validés revêtent «une plus-value créative pour le paysage culturel»

     

    Le ministère de la Culture et des Arts a affirmé que les projets artistiques validés par la commission de lecture et d'aide aux arts et aux lettres pour l'année 2023 en vue de bénéficier de l'aide de l'État à la promotion des arts et du cinéma «revêtent une plus-value créative pour le paysage culturel, tout en incarnant l'identité et l'authenticité profondément enracinées dans l'Histoire».

    Dans un communiqué sur la liste des projets bénéficiaires de l'aide de l'État pour la promotion des arts et du cinéma au titre de l'année 2023, le ministère a précisé que la ministre du secteur, Soraya Mouloudji «a veillé à l'égalité des chances dans l'octroi de cette aide et que le choix doit porter sur les projets revêtant une plus-value créative pour le paysage culturel notamment les projets sérieux et réalisables qui incarnent notre identité et notre authenticité profondément enracinées dans l'histoire».


    Le ministère est soucieux «de réaliser ces projets à la même cadence que celle des projets déjà réalisés et financés dans le cadre de la célébration du soixantenaire de l'indépendance et qui ont été réceptionnés dans les délais fixés, avec une bonne plus-value artistique et créative, grâce à l'actualisation de la convention liant le bénéficiaire de l'aide au ministère de la Culture et des Arts», souligne le communiqué.


    Le choix et la validation des projets se sont basés sur "la créativité d'une jeunesse prometteuse, porteuse d'idées innovantes et modernes, en accordant la priorité aux coopératives culturelles que nous voulons ériger en micro-entreprises culturelles.


    La particularité de ces mécanismes d'aides est que cette aide financière assure une couverture partielle et non globale pour donner la chance aux porteurs de projets de trouver des sponsors dans le cadre de la loi.


    Le communiqué a cité également l'installation de deux commissions, à savoir, la commission de lecture et d'aide à la cinématographie et la commission d'aide aux arts et aux lettres pour l'année 2023, avec la définition «de leurs missions et de leur fonctionnement ainsi que l'élaboration de leur règlement intérieur sur proposition des membres et son approbation par Mme la ministre de la Culture et des Arts, pour la réception ensuite des projets artistiques déposés, longuement examinés par les deux commissions et en toute transparence».


    «Que le porteur du projet soit un établissement, une association ou un organisme, l'aide reviendra à la fin à l'artiste, considéré comme le principal maillon, puis au récepteur de l'œuvre artistique», conclut le communiqué.


    Le ministère a publié, dans ce contexte, la liste des projets validés sur son site officiel, dans les différents domaines artistiques dont le cinéma, le théâtre, la musique, les arts plastiques et la chorégraphie, ainsi que les montants alloués dans le cadre de cette aide.

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  • ÉTATS-UNISLes Emmys Awards reportés à cause de la grève à Hollywood, selon des médias

    Les Emmy Awards de cette année seront reportés à cause de la grève des scénaristes et des acteurs à Hollywood, ont annoncé des médias américains jeudi soir.


    L'équivalent des Oscars pour la télévision, initialement prévu le 18 septembre, devrait être repoussé en janvier, selon le Los Angeles Times. Selon la publication spécialisée Variety, «les vendeurs, les producteurs et les autres personnes impliquées dans l'événement» ont déjà été informés du report, qui n'a pas été encore officiellement annoncé.

    Aucune nouvelle date n'a été cependant fixée pour la cérémonie, a déclaré à l'AFP une source au fait du projet.


    Les acteurs et les scénaristes d'Hollywood sont actuellement en grève, le premier débrayage de l'industrie depuis 63 ans. Or, si le mouvement se poursuit, toutes les vedettes de Hollywood boycotteraient la 75e cérémonie, ce qui serait désastreux pour les audiences à la télévision.


    Les scénaristes ne seraient pas non plus autorisés à écrire textes ou blagues pour les présentateurs de la cérémonie.
    Selon certaines informations, la chaîne Fox, qui diffuse les Emmy Awards cette année aux États-Unis, a fait pression pour que la cérémonie soit reportée à janvier, ce qui donnerait plus de temps pour résoudre le conflit social.


    Mais l'Académie de la télévision, qui vote pour les prix et les présente, préférerait un report plus court, pour éviter que les Emmys ne se déroulent en pleine saison des prix cinématographiques à Hollywood.


    Ni la Fox ni l'Académie de la télévision n'ont fait de commentaires. La dernière fois que les Emmys ont été reportés, c'était en 2001, à la suite des attentats du 11 septembre.

    La grève à Hollywood a entraîné l'arrêt de toutes les productions cinématographiques et télévisuelles américaines, à quelques exceptions près.

    Les revendications des syndicats portent essentiellement sur la baisse des rémunérations à l'ère du streaming et sur la menace que représente l'intelligence artificielle pour leur carrière et leurs futurs moyens de subsistance.


    Les nominations pour les 75e Primetime Emmy Awards ont été annoncées au début du mois, quelques heures avant que les négociations entre les studios et la Sag-aftra n'échouent.


    Succession, la série de HBO, chronique noire et grinçante d'une puissante famille qui se déchire pour prendre le contrôle d'un empire médiatique, est arrivée en tête des nominations dans 27 catégories. Elle doit affronter le road movie The Last of Us, avec 24 nominations, et la satire The White.

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  • Appel à soumissions pour le 3e Festival international du film documentaire Sidi M'hamed Benaouda

    Les cinéastes et producteurs de films documentaires souhaitant participer au 3e Festival international du film documentaire Sidi M'hamed Benaouda sont priés de soumettre leurs œuvres à la commission de sélection avant le 15 septembre prochain, a annoncé lundi le comité d'organisation.


    «L'appel à soumissions pour le 3e Festival international du film documentaire Sidi M'hamed Benaouda, prévu du 13 au 16 décembre prochain, est ouvert aux cinéastes et producteurs souhaitant projeter leurs films lors de cette édition», a précisé le comité d'organisation, ajoutant que «les intéressés sont priés de soumettre leurs œuvres à la commission de sélection avant le 15 septembre».


    Les films soumis doivent être de récentes productions axées sur les objectifs de développement durable (ODD) et traitant de diverses thématiques, notamment d'ordre social, culturel, économique et ethnologique, a souligné la même source.


    Les participants peuvent soumettre plusieurs films, mais un seul sera sélectionné pour la compétition, a précisé le comité.


    Organisé depuis 2019 par l'association culturelle «Zaitouna» de la wilaya de Relizane, en coordination avec le ministère de la Culture et des Arts, le Festival international du film documentaire Sidi M'hamed Benaouda vise à faire connaître l'héritage et l'histoire de Sidi M'hamed Benaouda.


    Les précédentes éditions avaient vu la participation d'experts et de spécialistes du 7e art et des films documentaires algériens et étrangers.

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  • "Plongez dans le Futur du Cinéma : Réalité Virtuelle, Films Interactifs et Hologrammes en Perspective !

    Le cinéma de demain promet d'être une expérience captivante et immersive, repoussant les limites de la technologie et de la créativité. Voici quelques réflexions sur les évolutions possibles du cinéma à l'horizon futur :

     

    Réalité virtuelle et augmentée : Le cinéma de demain pourrait nous plonger littéralement dans l'univers des films grâce à la réalité virtuelle et augmentée. Les spectateurs pourraient se retrouver au cœur de l'action, interagir avec les personnages et explorer les décors virtuels en 3D.

     

    Personnalisation de l'expérience : Les films pourraient être adaptés en fonction des préférences et des réactions du spectateur. Grâce à l'intelligence artificielle et à l'apprentissage automatique, le scénario, la musique, voire les fins alternatives, pourraient être ajustés en temps réel pour offrir une expérience sur mesure.

     

    Narration interactive : Le cinéma interactif pourrait prendre son essor, permettant aux spectateurs de décider du déroulement de l'histoire à travers des choix clés. Cela ouvrirait de nouvelles possibilités narratives et immergerait davantage le public dans l'intrigue.

     

    Films en 3D sans lunettes : La technologie continue de progresser, et les films en 3D pourraient devenir courants sans avoir besoin de porter des lunettes spéciales. Cela améliorerait l'accessibilité et permettrait de profiter pleinement de l'effet tridimensionnel.

     

    Cinéma holographique : Imaginez des personnages projetés sous forme d'hologrammes dans la salle de cinéma, donnant l'impression qu'ils sont présents physiquement. Cela ouvrirait de nouvelles possibilités pour les réalisateurs en matière de mise en scène et de narration.

     

    Films générés par l'IA : L'intelligence artificielle pourrait être utilisée pour créer des films à partir de scénarios générés automatiquement, en fonction des préférences du public, des tendances actuelles et des données d'audience.

     

    Collaboration artistique virtuelle : Des acteurs ou réalisateurs décédés pourraient être recréés numériquement à partir de leur travail antérieur et utilisés dans de nouveaux films grâce à la technologie du "deepfake" ou à des modèles de génération de texte vocal.

     

    Développement durable et réalité virtuelle : Les plateformes de diffusion en réalité virtuelle pourraient réduire le besoin de salles de cinéma physiques, contribuant ainsi à la réduction de l'empreinte carbone de l'industrie cinématographique.

     

    Expériences multisensorielles : Les cinémas de demain pourraient exploiter les cinq sens pour créer une immersion plus profonde. Des technologies telles que les sièges haptiques, les odeurs diffusées dans la salle ou même des effets climatiques pourraient être intégrées pour renforcer l'expérience cinématographique.

     

    Cinéma participatif et communautaire : Les cinémas pourraient devenir des espaces plus interactifs, permettant au public de commenter en direct, de voter pour leurs scènes préférées ou de participer activement à des discussions sur l'histoire et les personnages.

     

    En fin de compte, le cinéma de demain repose sur l'innovation technologique, l'imagination des créateurs et la volonté d'explorer de nouvelles formes de narration pour captiver et émouvoir le public d'une manière encore plus puissante. Cependant, il est essentiel de veiller à ce que ces avancées technologiques restent au service de l'art et de l'expression, tout en préservant l'authenticité et l'essence de l'expérience cinématographique.

     

     

     

     

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    un titre acrocheur pour cet article:une reflection sur le cinema de demain

    ChatGPT

    Le cinéma de demain promet d'être une expérience captivante et immersive, repoussant les limites de la technologie et de la créativité. Voici quelques réflexions sur les évolutions possibles du cinéma à l'horizon futur :

     

    Réalité virtuelle et augmentée : Le cinéma de demain pourrait nous plonger littéralement dans l'univers des films grâce à la réalité virtuelle et augmentée. Les spectateurs pourraient se retrouver au cœur de l'action, interagir avec les personnages et explorer les décors virtuels en 3D.

     

    Personnalisation de l'expérience : Les films pourraient être adaptés en fonction des préférences et des réactions du spectateur. Grâce à l'intelligence artificielle et à l'apprentissage automatique, le scénario, la musique, voire les fins alternatives, pourraient être ajustés en temps réel pour offrir une expérience sur mesure.

     

    Narration interactive : Le cinéma interactif pourrait prendre son essor, permettant aux spectateurs de décider du déroulement de l'histoire à travers des choix clés. Cela ouvrirait de nouvelles possibilités narratives et immergerait davantage le public dans l'intrigue.

     

    Films en 3D sans lunettes : La technologie continue de progresser, et les films en 3D pourraient devenir courants sans avoir besoin de porter des lunettes spéciales. Cela améliorerait l'accessibilité et permettrait de profiter pleinement de l'effet tridimensionnel.

     

    Cinéma holographique : Imaginez des personnages projetés sous forme d'hologrammes dans la salle de cinéma, donnant l'impression qu'ils sont présents physiquement. Cela ouvrirait de nouvelles possibilités pour les réalisateurs en matière de mise en scène et de narration.

     

    Films générés par l'IA : L'intelligence artificielle pourrait être utilisée pour créer des films à partir de scénarios générés automatiquement, en fonction des préférences du public, des tendances actuelles et des données d'audience.

     

    Collaboration artistique virtuelle : Des acteurs ou réalisateurs décédés pourraient être recréés numériquement à partir de leur travail antérieur et utilisés dans de nouveaux films grâce à la technologie du "deepfake" ou à des modèles de génération de texte vocal.

     

    Développement durable et réalité virtuelle : Les plateformes de diffusion en réalité virtuelle pourraient réduire le besoin de salles de cinéma physiques, contribuant ainsi à la réduction de l'empreinte carbone de l'industrie cinématographique.

     

    Expériences multisensorielles : Les cinémas de demain pourraient exploiter les cinq sens pour créer une immersion plus profonde. Des technologies telles que les sièges haptiques, les odeurs diffusées dans la salle ou même des effets climatiques pourraient être intégrées pour renforcer l'expérience cinématographique.

     

    Cinéma participatif et communautaire : Les cinémas pourraient devenir des espaces plus interactifs, permettant au public de commenter en direct, de voter pour leurs scènes préférées ou de participer activement à des discussions sur l'histoire et les personnages.

     

    En fin de compte, le cinéma de demain repose sur l'innovation technologique, l'imagination des créateurs et la volonté d'explorer de nouvelles formes de narration pour captiver et émouvoir le public d'une manière encore plus puissante. Cependant, il est essentiel de veiller à ce que ces avancées technologiques restent au service de l'art et de l'expression, tout en préservant l'authenticité et l'essence de l'expérience cinématographique.

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  • Dévoiler la magie du cinéma : Une analyse en quinze volets

    Analyser un film est une tâche complexe qui implique de prendre en compte différents aspects tels que la narration, la mise en scène, les éléments visuels, les performances des acteurs, le contexte historique et culturel, et bien d'autres. Voici quinze techniques à prendre en considération lors de l'analyse d'un film :

     

    Scénario et structure narrative : Analyser la manière dont l'histoire est racontée, l'intrigue, les personnages, les arcs narratifs et la cohérence globale du scénario.

     

    Mise en scène et direction : Examiner les choix du réalisateur en termes de cadrage, de composition, de mouvement de caméra, de jeu d'acteur, de direction artistique et de choix esthétiques.

     

    Montage : Évaluer comment les scènes sont assemblées, les transitions utilisées, la vitesse et le rythme du montage et comment cela affecte l'expérience du spectateur.

     

    Cinématographie : Analyser l'utilisation de la lumière, des couleurs, des angles de caméra, des plans-séquences, des plans rapprochés, etc.

     

    Son : Étudier l'utilisation du son ambiant, de la musique, des effets sonores et du dialogue pour renforcer l'histoire et l'atmosphère du film.

     

    Thèmes et symboles : Identifier les thèmes sous-jacents et les symboles qui peuvent donner une signification plus profonde au film.

     

    Contexte historique et culturel : Prendre en compte le contexte dans lequel le film a été réalisé, notamment les événements historiques, les mouvements sociaux ou les tendances culturelles qui pourraient influencer le film.

     

    : Analyser comment le film s'inscrit dans un genre spécifique (science-fiction, drame, comédie, etc.) et comment il respecte ou subvertit les conventions du genre.

     

    Personnages : Examiner le développement des personnages, leurs motivations, leurs relations et l'évolution tout au long du film.

     

    Cinéma visuel : Évaluer comment le langage cinématographique est utilisé pour transmettre des émotions, des idées et des messages.

     

    Références cinématographiques : Rechercher des références à d'autres films ou cinéastes, qui peuvent éclairer l'intention du réalisateur.

     

    Réception du public et critiques : Prendre en compte la réaction du public et les critiques pour comprendre comment le film a été reçu et interprété.

     

    Analyse structurelle : Identifier la structure du récit (actes, séquences, scènes) et comment elle contribue à l'ensemble du film.

     

    Contraste et parallèles : Rechercher des contrastes et des parallèles dans le film, tels que les personnages, les thèmes ou les scènes.

     

    Impression globale : Finalement, donner votre impression générale du film en prenant en compte tous ces éléments analysés.

     

    Gardez à l'esprit que l'analyse d'un film est subjective, et différentes personnes peuvent interpréter un film de manière différente en fonction de leur propre contexte, expérience et sensibilité. Ces techniques vous servent simplement de base pour approfondir votre compréhension et votre appréciation 

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  • Le festival de Venise remplace son film d'ouverture

    La Mostra de cinéma de Venise, qui marque cette année sa 80e édition, a annoncé le remplacement de son film d'ouverture par Comandante du réalisateur italien Edoardo De Angelis, sur fond de grève historique à Hollywood.


    Le festival, qui se déroulera du 30 août au 9 septembre, avait indiqué début juillet qu'il serait inauguré par Challengers, un film de Luca Guadagnino avec Zendaya, Josh O'Connor et Mike Faist.

    Mais ce long métrage «ne participera pas au festival à la suite des décisions prises par la production», a annoncé la Mostra dans un communiqué, sans plus de précisions.


    Ce changement intervient alors que les acteurs et scénaristes américains ont entamé le 14 juillet un mouvement social jamais vu depuis 1960 à Hollywood, qui paralyse la production cinématographique et télévisuelle américaine.

    Les acteurs réclament une revalorisation de leurs rémunérations «résiduelles», qui ont dégringolé avec l'avènement du streaming, et des garanties contre le clonage de leur voix et de leur image sans consentement, craignant d'être remplacés par l'intelligence artificielle (IA).


    Inspiré d'une histoire vraie, Comandante retrace le sauvetage de 26 naufragés belges durant la Seconde Guerre mondiale par un capitaine de sous-marin incarné par Pierfrancesco Favino.

    Il sera projeté le mercredi 30 août en avant-première mondiale dans la grande salle du palais du cinéma sur le Lido de Venise, lors de la soirée d'ouverture du doyen des festivals.


    Edoardo De Angelis, 44 ans, a notamment réalisé Indivisibili (2016) et la série La vie mensongère des adultes, diffusée sur Netflix.

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  • Lancement canon pour Barbie au box-office nord-américain

    Le blockbuster Festival Barbie, précédé d'une intense campagne marketing, a réalisé le meilleur lancement de l'année 2023 au box-office nord-américain, avec 155 millions de dollars de recettes durant un week-end faste marqué aussi par la sortie d'Oppenheimer (80,5 millions), a annoncé dimanche le cabinet spécialisé Comscore.


    Les deux films très attendus devraient permettre aux salles obscures des états-Unis et du Canada de totaliser leurs meilleures recettes sur un week-end depuis la pandémie de Covid-19, qui a porté un coup dur aux cinémas, selon les sites spécialisés The Hollywood Reporter et Deadline.


    Boosté par une vague marketing rose du groupe de jouets Mattel, qui a lancé la première poupée Barbie en 1959, et de Warner Bros, associés pour la production, la comédie de Greta Gerwig fait mieux pour son lancement que Super Mario, inspiré du célèbre personnage de jeux vidéo (146 millions début avril), ou que la suite d'Avatar de James Cameron (Avatar : la voie de l'eau, 134 millions en décembre 2022).


    Dans une relecture pop et ironique, où le rose dégoulinant et les paillettes sont à prendre au second degré, Barbie, incarnée par Margot Robbie — Ryan Gosling joue Ken —est sommée de troquer ses chaussures à talons contre des sandales Birkenstock pour quitter son univers parfait de Barbie Land et plonger dans le monde réel.


    D'après les sites spécialisés, c'est le meilleur lancement dans les salles nord-américaines pour un film réalisé par une femme, devant Wonder Woman de Patty Jenkins (2017) et Captain Marvel, co-réalisé par Anna Boden et Ryan Fleck (2019).


    Oppenheimer, biopic de Christopher Nolan sur le physicien américain qui a mis au point la bombe atomique, réalise aussi de très bons débuts pour un film de 3 heures, avec 80,5 millions de recettes, selon Comscore.


    La sortie concomitante de ces deux films très attendus et aux histoires opposées au cœur de l'été a créé l'événement chez les cinéphiles, et le phénomène «Barbenheimer» s'est emparé des réseaux sociaux.

    Selon l'Association nationale des propriétaires de salles aux États-Unis, plus de 200 000 spectateurs avaient prévu d'aller voir les deux films durant la même journée au cours du week-end.


    Sound of Freedom, thriller controversé sur le trafic d'enfants, complète le podium avec 20 millions de dollars, suivi par Mission : Impossible Dead Reckoning (19,5 millions) et Indiana Jones et le cadran de la destinée (6,7 millions).

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