Un film de 30 minutes sur le tabagisme intitulé Ma dernière cigarette à Boussaâda sera prochainement réalisé par le jeune cinéaste Aïssa Djouamaa. Le réalisateur met en évidence cinq jeunes fumeurs de Souk Ahras qui décident de parcourir 500 km pour aboutir à Boussaâda (wilaya de M’sila), où ils espèrent trouver l’homme qui saura les aider à renoncer au tabagisme en la personne d’un raqi (exorciste). Le film sera réalisé avec le concours de l’Office des établissements de jeunes (ODEJ) de la wilaya de Souk Ahras. Diplômé de la faculté de l’art et du cinéma (Tunisie), Aïssa Djouamaa a signé deux courts métrages sur la situation de l’art et des artistes dans le pays intitulés Cri sans écho et Laisse-moi peindre mon pays. Ce jeune cinéaste projette également de réaliser un film sur les événements de Sakiet Sidi Youcef et un autre sur le printemps arabe.
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Par hechache2 le 26 Août 2013 à 14:37Anciens numéros à télécharger
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Par hechache2 le 26 Août 2013 à 12:47
FESTIVAL ARABE DE DJEMILA
Clôture en beauté de la neuvième édition
Lundi 26 Aout 2013 - Lu 155 foisLa neuvième édition du Festival arabe de Djemila a été clôturée en beauté dans la soirée de samedi à dimanche avec un programme algérien, où le chanteur du raï, cheb Bilel, dans sa meilleure forme, a surchauffé l'ambiance, sur la scène de l'antique Cuicul.
Deux heures durant, cheb Bilel a interprété Derdja, derdja, Souheila, Malkoum ya adyani et autres chansons de son répertoire, reprises pour la plupart par un public sous le charme qui a longuement dansé sur les rythmes endiablés en cette soirée de clôture.
Auparavant, les vestiges de la bimillénaire cité romaine ont vibré aux sons du folklore de la région du M'zab avec la troupe Baroud de la ville de Ghardaïa qui a transporté l'auditoire dans un voyage féerique au sud algérien.
Les artistes Hakim Salhi et Abdelkader Japonais se sont aussi relayés sur la scène et ont majestueusement offert au public une panoplie de chansons raï de leurs répertoires respectifs, faisant monter l'atmosphère d'un cran.
Cette neuvième édition du Festival arabe de Djemila a vu défiler, tout au long des dix soirées, des artistes arabes de renommée, le «César» Kadhem Essaher a fait un tabac devant un auditoire acquis à son «tarab» de haute facture. Son concitoyen Réda Al Abdallah a également fait une belle prestation. S'en est suivie la troupe libanaise Caracalla, le chanteur Wael Jassar, les Syriens Ali Dik, Rouadia Attia, Sofia Saddek de Tunisie et Noura mint Seymali de Mauritanie.
Le festival arabe de Djemila, ouvert le 15 août courant, a vu également la participation des artistes algériens, cheb Khaled, Abderahmane Djalti, Zakia Mohamed, Saleh El Eulmi, Bekakchi El kheir, Nada Rayhane, ainsi que Djamel Laroussi qui étaient à l'affiche au cours de cette édition. Etaient présents à cette soirée de clôture, les autorités locales de la wilaya de Sétif, et le commissaire du Festival arabe de Djemila M.Lakhdar Bentorki, également directeur de l'Office national de la culture et de l'information (Onci).1
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Huit Minutes Virtuoses Taille du texte normaleAgrandir la taille du texte le 24.08.13 | 10h00 Réagis
Par hechache2 le 24 Août 2013 à 17:21Les pieds sur terre de Amine Hattou
Huit Minutes Virtuoses
le 24.08.13 | 10h00 Réagissez
Au récent Festival du film arabe de l’Institut du Monde arabe (IMA) à Paris, le court métrage a connu un regain de vie, et spécialement le travail du réalisateur algérien, Amine Hattou, dans son film de huit minutes Les pieds sur terre.
Mais huit minutes virtuoses. Quelque chose de nettement supérieur au reste des productions montrées à l’IMA. Comme d’autres individualités très prometteuses, Khaled Benaïssa et Hassen Ferhani, Amine Hattou participe à sa manière, avec brio, à la relève du cinéma algérien. Dans Les pieds sur terre,on voit Nassim, un jeune Algérois assez énigmatique (Nassim Amar Khodja), au saut du lit, en train de flotter dans les airs, comme dans les films chinois de Zhang Yimou ! On s’aperçoit que c’est une situation à laquelle il est habitué. Situation peu confortable il faut le reconnaître : pas d’amis qu’il peut croiser dans son vol, pas de travail. Un médecin lui donne des pilules dans l’espoir de le stabiliser au sol. Un sympathique patron d’une boîte de «com» lui procure alors un travail fixe. Mais justement être assis, dans un environnement normal, ne lui plaît pas. La vision panoramique aérienne lui plaît finalement davantage... Histoire courte mais trés stimulante, un peu comme l’illustration du poème de Rimbaud : on n’est pas sérieux quand on a dix-sept ans ! Un univers algérois radicalement étrange. Un récit mené, filmé et conté de façon claire. Bref, Les pieds sur terre est un film astucieux et sans défauts. Passé par l’école de journalisme et la Fémis à Paris, fidèle de la Filmatêque Zinet de Riad El Feth, de l’Institut français d’Alger et des Journées cinématographiques de Béjaïa, Amine Hattou est à coup sûr un cinéaste.
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Par hechache2 le 23 Août 2013 à 19:12
Apprenez comment intégrer l’animation image par image dans vos cours ou comment l’apprendre pour le plaisir, à la maison. Il y a nombre de façons de créer des films d’animation image par image; cet atelier repose sur les tutoriels vidéo StudioStopMo qui montrent comment travailler la pâte à modeler et les décors en 2D et 3D. Les possibilités sont illimitées.
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Par hechache2 le 23 Août 2013 à 17:35
Ma dernière cigarette à Boussaâda, nouveau film du jeune cinéaste Aissa Djouamaâ
Un film de 30 minutes sur le tabagisme intitulé Ma dernière cigarette à Boussaâda sera prochainement réalisé par le jeune cinéaste Aïssa Djouamaa.
PUBLIE LE : 19-08-2013 | 0:00
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