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. Terroristes arrétés et odieusement torturés, on note en particulier qu'ils ont été tondus.
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Poseuses de bombes, après tortures. Torture par le son à la casbah .
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Les neuf historiques .
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Ces neuf hommes sont ceux qui ont decidé de quitter les partis traditionnels pour, imitant le vietcong, obtenir l'independance par les armes. ..
Kabyle, bachelier, polyglotte, fils de caïd. ..Beau frère de Khider.
.Participe au hold-up de la poste d'Oran en 1949
.Chargé des relations extérieures.
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Dans l'avion arraisonné par les français il passe 7 ans en prison. .S'oppose à Ben Bella après l'independance.
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voir détails ben_bella.htm
Fils d'agriculteur moyen (30 hectares) de Marnia (Oranie).
Brevet elementaire.
Campagnes d'italie et de france, sous officier.
A la suite du hold-up de la grande poste d'Oran, il est condamné puis s'évade. Ami de gamal Nasser, raïs d'Egypte, il est en charge de la logistique en particulier des armes et des explosifs.
Dans l'avion arraisonné par les français il passe 7 ans en prison.
Il gagne le bras de fer avec le GPRA, le perd avec Boumedienne. ..
Né à Arris (Aurés) c'est un chaouïa
Fils de meunier, devient meunier
Mobilisé en 1939 puis en 42/44 il est adjudant, medaille militaire, croix de guerre. .
Premier patron de la willaya 1 il est tué le 27 mars 1956 en ouvrant un colis piégé que l'armée française lui avait parachuté en faisant croire à un loupé. .
Voir détails ben_m'hidi.htm Né à Aïn M'lila (constantinois). Engagé dans la lutte dès 1945 (émeutes de sétif) il est clandestin depuis cette date. .
Premier chef de la willaya 5 (Oranie) il prend la direction de la zone autonome d'Alger. Arreté par les paras lors de la bataille d'Alger, on le retrouve pendu le 5 mars1957. .
Né à Aïn Kherma (constantinois) .ouvrier.
Engagé dans la lutte dès 1950, il est le premier chef de la Willaya 4 (algérois) et de la zone autonome. .
Il crée les premiers reseaux terroristes. .
Arreté le 23 mars 1955, il est condamné à vie, liberé à l'independance. .
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Voir détails boudiaf.htm
Né à M'sila, sud constantinois
Prépare l'école normale d'instituteur mais en est empêché par une turberculose.
Employé aux impôts.
Assure la liaison entre l'extérieur (le caire) et l'intérieur.
Dans l'avion arraisonné par les français il passe 7 ans en prison.
En désacord avec ben bella il se refugie en france, jusqu'à ce qu'il soit appelé comme éphémère quatrième président. .
Né à Alger
Fils de commerçants aisés (bain maure, restaurant)
Premier chef de la willaya 2 (nord constantinois)
mort au combat en 1955.
Né à Alger d'une vieille famille algéroise. Formation coraniqu
Milite depuis 1938.
Participe en 1949 à l'attaque de la grande poste d'Oran.
Vit au Caire avec son beau frère Aït ahmed de 1951 à 1956. Dans l'avion arraisonné par les français il passe 7 ans en prison. En désaccord avec ben Bella se refugie à Genéve. Assassiné par Boumedienne à Madrid en 1969. .
Détails belkacem.htm détails action au GPRA Né à Aït Yahia Moussa (Kabylie) S'engage, campagnes d'italie et de france. Accusé d'avoir assassiné en 1947 un cousin et un garde champêtre, il prend le maquis. Premier patron de la wilaya 3, il la quitte pour alger, puis en 1956 pour la tunisie où il crée l'ALN. Il est le principal negociateur d'Evian. En désaccord avec Ben Bella, il s'exile en europe. Fin 1970 il est assassiné . Soit seulement deux kabyles (contrairement à la legende). Tous sauf un ont eu une éducation française. Trois sont morts au combat, des 6 survivants, quatre s'opposent à Ben Bella. Deux sont assassinés par Boumedienne, un par le FIS.
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Le vieux lutteur pour l'independance Messali Hadj
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Algerie
Classe de cinquiéme, Philippeville, année 1934-1935 Classe de sixiéme en 1959 au collége ferdinand Buisson de sidi mabrouk, près de Constantine. Sur les 17 musulmans, seulement cinq musulmanes, aucune ne porte le voile une preuve de l'intolerable pression de la colonisation sur les coutumes locales. Matemore est un faubourg populaire de Mostaganem On note une fois de plus les scandaleux effets de l'apartheid, une habitude bien connue des pieds noirs. Le coureur cycliste abdelkader Zaaf contraint par le colonialisme de faire la publicité d'une boisson alcoolisée. 1950, une plage de l'algérois. L'apartheid y est denoncé en 2007 par le Monde.
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Photos 1830- 1954 Scéance pleiniére de l'assemblée nationale le 7 février 1914. Le gouverneur général Jonnart expose les grandes lignes de la politique de la france en algérie, en particulier la representation des musulmans , le code de l'indigenat, le developpement de l'enseignement. Quarante ans après les députés expliqueront que c'est à cause des députés pieds noirs que les grandes réformes qu'ils voulaient n'ont pas été adoptées, la photo montre l'importance qu'ils leur accordaient réellement.
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Clés de la ville d'Alger, remise par le bey le 5 juillet 1830, telles qu'elles figuraient encore en 1972 au musée de l'armée des invalides, d'où elles ont disparu, Mitterand regnante Le port d'alger vers 1870 marché au centre d'alger rue de la casbah préparation de la semoule vers Biskra Femmes de la tribu des Ouled Nails Village kabyle des Beni Yenni cour intérieure d'une maison juive Marché aux bestiaux Marabout Le port d'Oran
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POUR SALUER LA MÉMOIRE D'ALBERT CAMUS
Par le Pr Albert BensoussanAlbert Camus fut ma première lecture sérieuse, lorsque j'entrai en classe de Philo et que son "Homme révolté" s'accordait si bien à la rébellion naturelle de tout adolescent qui se fait les griffes.
Il était déjà auréolé à nos yeux d'une grande gloire, et d'abord une gloire locale, car il avait publié chez nous, aux "Editions Charlot", à Alger, son premier texte : "Noces", en 1939. Et puis il avait encouragé un jeune professeur juif d'Oran, André Belamich, qui fut son condisciple à la " Khâgne africaine " (comme on disait) du lycée Bugeaud à Alger, à traduire et publier dans la collection qu'il dirigeait chez cet éditeur, le "Romancero gitano", de Lorca, dont Belamich allait devenir chez Gallimard, grâce à Camus, le traducteur exclusif et maître d'œuvre de la Pléiade.
Oui, Oran fut la halte nécessaire et heureuse, bien qu'il en ait fait le cadre de son roman allégorique "La peste", où la ville est quelque peu et romanesquement malmenée.
Mais c'est à Oran qu'il trouva refuge, se fit plein d'amis, et trouva même une seconde épouse (après son divorce d'avec Simone) en la personne de la jeune Francine Faure, en décembre 1940. Dans les milieux juifs qu'il fréquente - dont les frères Raoul et Loulou Bensoussan qui s'illustreront bientôt dans la Résistance et serviront, probablement, de modèle au personnage de Meursault dans "L'Étranger", c'est son amie Liliane Choucroun qui lui présente un jour celle qui va bientôt devenir son épouse.
Cette Francine a une grand-mère juive : Clara Touboul, mais cela est fort peu souligné par les exégètes camusiens. Bon, alors Camus est de la famille, n'est-ce pas ? Et à Oran, quand la tuberculose l'épuise, c'est le docteur Cohen qui, en 1942, l'assiste et le soigne, sauf que le cabinet de ce médecin étant mis sous scellé par l'ignominie vichyssoise, c'est au domicile de son beau-frère, le docteur Parienté, que Camus est soigné.
Alors, entre son épouse, son ami Bénichou qui l'accueille généreusement au sein de sa famille dont il partage repas et fêtes, et ce médecin salvateur, on peut dire qu'Albert Camus l'Algérois est bien parmi nous.
On se souviendra à cet égard d'un fameux article qu'il publia en 1947 dans "COMBAT" (le journal qu'il dirigea) et où il déclarait, dans un raisonnement qui n'a rien perdu de son actualité aujourd'hui, bien au contraire : " On est toujours sûr de tomber, au hasard des journées, sur un Français, souvent intelligent par ailleurs, et qui vous dit que les Juifs exagèrent vraiment.
Naturellement, ce Français a un ami juif qui, lui, du moins… Quant aux millions de Juifs qui ont été torturés et brûlés, l'interlocuteur n'approuve pas ces façons, loin de là. Simplement, il trouve que les Juifs exagèrent et qu'ils ont tort de se soutenir les uns les autres, même si cette solidarité leur a été enseignée par le camp de concentration. " Et puis Camus saura soutenir le combat de la jeune nation israélienne dans les colonnes de Combat, et défendre " l'exemplaire Israël qu'on veut détruire sous l'alibi de l'anticolonialisme, mais dont nous devons défendre le droit de vivre, nous qui avons été les témoins du massacre de millions de Juifs et qui trouvons juste et bon que les survivants créent la patrie que nous n'avons pas su leur donner ou leur garder ".
Et enfin, en homme de lettres et aîné attentif, il saura aussi soutenir un jeune espoir des lettres judéo-maghrébines, Albert Memmi, dont il préface l'œuvre majeure, "La statue de sel".
Alors oui, nous pouvons dire, en ce cinquantième anniversaire de sa mort, qu'Albert Camus fut notre ami, qu'il fut des nôtres, dans ses positions politiques et morales comme dans ses écrits et son engagement. Albert Camus, notre grand frère.
Albert BensoussanCollectif des Guelmois Site Internet GUELMA-FRANCE
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