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Par hechache2 le 18 Octobre 2014 à 12:18
Banques de sons
Ressources en lien avec la réalisation d'un film en classe
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Par hechache2 le 18 Octobre 2014 à 12:17
Banques de sons
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Par hechache2 le 15 Novembre 2013 à 11:18W. G. Horner
(1786-1837)Joseph Plateau
(1801-1883)E. J. Muybridge
(1830-1904)Etienne-Jules Marey
(1830-1904)Emile Reynaud
(1844-1918)Thomas Edison (1847-1931)Louis Lumière (1854-1948)- XVIe : La caméra obscura étudiée par Léonard de Vinci est utilisée par les peintres et les graveurs.
- 1671 : Le jésuite Athanase Kircher décrit la lanterne magique dans son ouvrage Ars magna Lucis & Umbrae.
- 1798 : Robertson propose ses fantasmagories qu’il réalise avec une lanterne magique.
- 1816 : Le 5 mai, Nicéphore Niépce obtient le premier négatif dans une chambre noire de 4cm de côté sur un papier sensibilisé au chlorure d'argent.
- 1824 : l'héliographie de Niépce permet d'obtenir des "point de vue" de bonne qualité mais nécessitant plusieurs heures d'exposition.
- 1825 : Invention du thaumatrope par Fitton et Paris.
- 1829 : Joseph Plateau énonce la première théorie de la persistance rétinienne. En 1833, il construit le phénakistiscope, disque de carton percé de fentes reconstituant le mouvement.
- 1834 : Horner invente le zootrope.
- 1837 : Jacques Daguerre reprenant, l'heliographie de Niépce, met au point le daguerréotype qui permet un temps d'exposition compris entre 5 et 40 minutes et fixe les images sur une plaque de cuivre argentée.
- 1839 : Henry Langdon Childe fait évoluer la lanterne magique en introduisant des images en fondu.
- 1869 : John W. Hyatt fabrique le celluloïd.
- 1873 : Eadweard James Muybridge établit un dispositif photographique permettant de décomposer les mouvements du cheval.
- 1877 : Emile Reynaud invente le praxinoscope puis, en 1880, le praxinoscope à projection dont se sert E. J. Muybridge en 1881 pour animer des photographies. En 1888, il dépose le brevet du théâtre optique. En 1892, il présente au musée Grévin les premières projections pantomimes lumineuses au moyen de son théâtre optique.
- 1879 : Emploi en photograhie du gélatino-bromure d’argent qui permet de réduire le temps d’exposition à 1/500 seconde.
- 1882 : Etienne-Jules Marey construit un fusil photographique et met au point le chronophotographe à plaque fixe puis en 1887 le chronophotographe à pellicule.
- 1887 : Hannibal Goodwin met au point une pellicule souple de nitrate de cellulose dite « film ».
- 1888 : Thomas Edison et W. Dickson construisent un phonographe optique.
- 1889 : G. Eastman met au point une pellicule souple. Edison et Dickson lui commandent des pellicules qu’ils ont l’idée de perforer.
- 1891 : Edison et Dickson déposent un brevet pour une caméra qu’ils appellent kinétographe, et un appareil à vision individuelle reconstituant le mouvement : le kinétoscope. En 1894, Dickson tourne les premiers films pour le kinétoscope et les premiers kinetoscope parlors s’ouvrent. W. Paul construit des kinétoscopes de contrefaçon dès 1895.
- 1894 : Louis Lumière met au point un nouveau système d’entraînement de la pellicule, et fait construire par E. Moisson le prototype d’un appareil susceptible d’enregistrer, de projeter et de tirer les films.
- 1895 : Les frères Lumières déposent le brevet du cinématographe (13 février). Louis Lumière tourne La sortie des usines Lumière. Première projection publique et payante du cinématographe Lumière dans le salon Indien du Grand Café à Paris le 28 décembre.
- Edison acquiert le brevet d’un projecteur pour les films du kinétoscope et lance le vitascope (1ère projection publique : 23 avril 1896)
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1896 : Diffusion du cinématographe Lumière dans le monde entier.
Georges Méliès tourne ses premiers films. -
1897 : Incendie du Bazar de la Charité.
Méliès construit un studio à Montreuil.
Fondation des premières compagnies de production de films (Gaumont, Pathé, …)
- 1898 : Films à plans multiples de Méliès.
- 1900 : Exposition universelle à Paris et le Cinématographe géant Lumière.
- 1902 : Construction des studios Pathé à Vincennes, Voyage dans la Lune de Méliès
- 1915 : technicolor bichrome
- 1927 : Le 6 octobre, Le chanteur de jazz exploite un procédé de sonorisation appelé Vitaphone. La bande sonore comporte tout juste 281 mots. Mais le succès est immédiat et permet aux producteurs, les frères Warner, d'échapper à une faillite.
- 1932 : technicolor trichrome
- 1933 : John P. Fulton met au point un système complexe de cache et contre-cache pour les trucages de L'homme invisible de James Whale
- 1952 : début de l'âge d'or de la 3D
- 1953 : La Fox propose , La Tunique, le premier film en CinémaScope
- 1982 : Tron, premier film grand public réalisé en images de synthèse
Source :
- Laurent Mannoni : Le grand art de la lumière et de l'ombre. Editeur Nathan Université, 1999.
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Par hechache2 le 13 Octobre 2013 à 23:13
Devant l’ampleur de la collection, près de 13 000 titres, dont plus de 5000 en français, dont 1200 sont disponibles sur ONF.ca, on me demande souvent par où commencer. Je vous propose donc cette semaine un top 10, un peu spécial, de ce qu’il faut voir sur le site. Le premier titre contient le mot ou le chiffre « un », le deuxième le mot ou le chiffre « deux », le troisième le mot ou le chiffre « trois » et ainsi de suite.
Un du 22e (1940)
Film de propagande de la Seconde Guerre mondiale incitant les jeunes Canadiens français à s’enrôler dans le Royal 22e Régiment. Bien que le film ait été tourné par une équipe anglophone de l’Associated Screen News Ltd, il s’agit du premier film en français de l’ONF.
Deux épisodes dans la vie d’Hubert Aquin (1979)
Deux épisodes dans la vie de l’auteur de Prochain épisode; le premier sur le personnage éblouissant et hors de l’ordinaire qu’il était, le second sur son œuvre littéraire. Une incursion fascinante dans l’univers mystérieux d’Hubert Aquin, signée Jacques Godbout et François Ricard.
Trois exercices sur l’écran d’épingles d’Alexeieff (1974)
Quand Alexandre Alexeieff vient à l’ONF en 1972 faire une démonstration de son écran d’épingles, l’organisme s’empresse aussitôt d’en acquérir un exemplaire. Jacques Drouin décide de s’en servir pour faire son premier film. Ces « Trois exercices » marque les débuts de la carrière d’un cinéaste qui réalisera toute son œuvre sur l’écran d’épingles et assurera ainsi la pérennité de l’invention d’Alexeieff.
Quatre femmes d’Égypte (1997)
Égyptienne d’origine, la cinéaste Tahani Rached retourne au pays de son enfance filmer quatre femmes que tout semble séparer mais qui partage pourtant une grande amitié. Un film sur la tolérance, l’amitié et l’histoire de l’Égypte.
À Saint-Henri le cinq septembre (1962)
24 heures dans la vie d’un quartier ouvrier de Montréal. Un classique du cinéma direct de l’équipe française des années 1960. Bien que le générique mentionne Hubert Aquin comme réalisateur, le film est en fait une œuvre collective à laquelle ont participé certains des membres les plus illustres de cette équipe, dont Claude Jutra, Michel Brault et Gilles Groulx.
Au-delà du 6 décembre (1991)
À peine un an après le traumatisme des événements de polytechnique, la réalisatrice Catherine Fol revient sur la tuerie du 6 décembre 1989. Un film courageux qui, à travers le témoignage d’une survivante du drame, se questionne sur le féminisme et sur la place des femmes dans notre société.
Le 7e voyage de la Mouette (2001)
Partez à l’aventure sur les routes des Maritimes et de Terre-Neuve avec La Mouette, le théâtre ambulant de marionnettes de la famille d’Hauterive!
La nuit du 8 (1976)
Au début des années 1970, la production française, jusque-là concentrée à Montréal, décentralise ses activités et ouvre plusieurs centres régionaux de production, dont un à Moncton. Le Studio Production française/Acadie, devenu aujourd’hui Studio Acadie, ouvre ses portes en 1974. La nuit du 8 est sa toute première production.
Mon numéro 9 en or (1972)
Sur une chanson de Pierre Létourneaux et réalisé à l’aide d’un collage de photographies, ce film d’animation de Pierre l’Amare rend hommage au célèbre numéro 9 des Canadiens de Montréal, Maurice « Le Rocket » Richard.
Les Boat People 10 ans après (1986)
Au milieu des années 1970, suite à l’invasion du Sud Viêt Nam par le Nord Viêt Nam communiste, des milliers de gens commencent à fuir le sud du pays en utilisant des embarcations de fortune. Surchargés, dangereux, ces « Boat People », comme on les appelait, on fait des milliers de victimes, noyés ou tués par le froid et la famine. Toutefois, plusieurs ont réussi à s’échapper et certains sont venus s’installer au Québec. Le film trace le portrait de la famille Thang, rescapée de ce terrible périple, dix ans après leur arrivée à Montréal.
Voilà donc une façon originale de s’initier à notre collection et une occasion de découvrir, dans l’ordre ou dans le désordre, une série de films! Bon cinéma!
Zut! J’allais oublier le zéro! Pourquoi ne pas voir Zéro tolérance de Michka Saäl sur les rapports entre la police et les communautés ethnoculturelles à Montréal?
Zéro tolérance (2004)
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Par hechache2 le 13 Octobre 2013 à 23:06
Le long week-end de la fête du travail est derrière nous et le temps doux s’est pointé le bout du nez. Les sacs à dos ont envahi les autobus de la ville et la circulation automobile a triplé aux heures de pointe. L’école est bel et bien recommencée!
Pour souligner le retour en classe et, par le fait même, mon retour à la rédaction du blogue ONF.ca (merci aux amis Jospeh Elfassi et Hugues Bélanger pour leur excellent travail pendant mon absence), je vous ai rassemblé six films sur le milieu scolaire.
Décrochage, intimidation, phobie des exposés oraux… le retour sur les bancs d’école est une source d’angoisse pour plusieurs étudiants. Les films suivants abordent ces problématiques de près ou de loin et tentent de proposer différentes solutions au profit du développement des générations de demain.
Xénofolies
Sorte de Breakfast Club québécois tourné dans une école multiethnique de Montréal, ce film vient nous chercher droit au cœur en nous présentant des jeunes de deux clans rivaux qui se rendent compte qu’ils ont plus en commun qu’ils ne le croyaient. Un affrontement inoubliable et salutaire.
Dans ton pays
Deux camarades de classe de race différente découvrent qu’ils ont en commun une bien grande richesse. Tout en nuances, cette docufiction sur l’amitié et la tolérance vise à déboulonner les idées préconçues à l’égard d’autrui.
Comment savoir
Réalisé par Claude Jutra, ce long métrage documentaire nous transporte dans les années 1960, où de nouvelles technologies et de grandes réformes d’enseignement font leur entrée dans les établissements scolaires. À cette époque, la télévision et le cinémascope font leur première apparition et la technologie intervient pour la première fois dans l’enseignement. On parle alors de révolution!
Une école sans frontières
Documentaire sur des élèves d’une école secondaire francophone en Ontario. Bon nombre d’entre eux, issus de la francophonie, en sont à leurs premiers balbutiements dans la langue de Shakespeare. En s’attachant aux pas de quelques-uns d’entre eux, la réalisatrice montre la diversité et l’ampleur des défis que ces jeunes venus d’ailleurs ont à relever chaque jour.
Histoire d’être humain
En pénétrant le quotidien des étudiants de l’établissement montréalais placé au dernier rang du classement des écoles secondaires, Denys Desjardins aborde la question du décrochage scolaire et balaye nombre de préjugés sur la qualité de l’enseignement dans les quartiers défavorisés et sur la délinquance des jeunes qui y vivent.
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Prêts pour vos premiers cours? Sortez vos Duo-Tang et faites le plein de cahiers Canada : la rentrée scolaire est arrivée!
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