• un documentaire «pour que nul n?oublie»

     

    Célébration du 1er novembre à Seddouk

    un documentaire «pour que nul n’oublie»

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	Seddouk, une région d’histoire et de résistance.

    | © D. R.

    Seddouk, une région d’histoire et de résistance.

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    Ce film de 65 minutes, réparti en chapitres, retrace les principales dates historiques de la guerre d’indépendance   l  S. Bellili a pris comme exemple son village natal, Amagaz.

    À l’occasion de la célébration du 1er novembre 1954, le film documentaire La révolution algérienne pour que nul n’oublie″ de
    Said Bellili a été présenté en avant-première à la salle de spectacles de la maison de jeunes de Seddouk. Le documentaire se veut une reconnaissance pour un peuple ayant longtemps vécu sous le joug du colonialisme. Le public, constitué largement de personnes âgées, a apprécié le travail de l’enfant de la région.

    Le tournage basé essentiellement sur des témoignages recueillis auprès d’anciens moudjahidine et femmes de chahids s’est fait en deux ans (2007 et 2008). «Une réalisation qui a nécessité beaucoup d’efforts et de sacrifices pour rendre un hommage à tous les chouhada, moudjahidine et à l’ensemble des personnes ayant participé de près ou de loin à l’indépendance», confie Saïd Bellili.

    Ce film de 65 minutes, réparti en chapitres, retrace les principales dates historiques de la guerre d’indépendance. Les commentaires éloquents et le ton péremptoire du réalisateur lui-même décrivent les affres du colonialisme.
    «J’ai utilisé un langage purement révolutionnaire pour que les générations présentes et futures se souviennent à jamais que la liberté n’a pas de prix», précise-t-il.        

    S. Bellili a pris comme exemple son village natal, Amagaz, situé à quelques encablures du chef-lieu de M’cisna et relevant de la daïra de Seddouk, afin d’illustrer et de mettre en exergue la résistance et les souffrances du peuple algérien.
    D’anciens moudjahidine et femmes de martyrs, principalement de Seddouk, ont pris la parole dans le documentaire. «Je tiens à rendre hommage à deux personnes qui ont enrichi mon travail par leurs témoignages et qui n’ont pas la chance de le voir, parce que décédées l’année dernière : Ait Aissi Mouloud, ancien moudjahid, et Malâz Bellili, femme de chahid», confie le réalisateur qui n’est pas à son premier documentaire. Le premier,″À la recherche du bonheur pour les handicapés″, a été réalisé en 2002, et le deuxième, consacré à son village natal, Le village Amagaz sur la voie des ancêtres″, en 2012.  

    Ces réalisations étaient financées par le réalisateur lui-même, qui a à son actif plus de 17 ans d’expérience. «Les lenteurs administratives et l’absence d’encouragement m’ont poussé à me focaliser sur mon travail en ayant à l’esprit que seules l’abnégation, la passion et la patience paient.» conclut S. Bellili, avec une note d’optimism

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