En 1956, le réalisateur anticolonialiste René Vautier entre en contact avec des membres de l’Armée de Libération Nationale Algérienne ; il souhaite tourner dans les Aurès-Nementchas, des images sur la réalité de la lutte du peuple algérien. Les Algériens donnent leur accord. Résultat pour le metteur en scène : trois blessures, deux ans de prison dont dix-neuf mois dans une cellule de condamné à mort et ce film »