• Adila Bendimerad: meilleure actrice au festival international du cinéma du Caire

    Adila Bendimerad: meilleure actrice au festival international du cinéma du Caire

     
    Par Abbès Zineb | 06/12/2012 | 22:43

    La comédienne algérienne, Adila Bendimerad a remporté le prix de la meilleure actrice de la 35ème édition du festival international cinématographique du Caire qui s’est achevé jeudi, rapporte la presse égyptienne en ligne. Héroïne du film “Le repenti” du réalisateur algérien Merzak Allouache, Adila Bendimerad a remporté ce prix dans le cadre du concours arabe des longs métrage romancés.

    Le film égyptien “Winter of Discountent” de Ibrahim El-Batout a décroché le prix du 35e festival tandis que le film marocain “Les mécréants” de Mouhcine Basri a remporté le prix Neguib Mahfûz du meilleur film arabe. Le prix Isis du meilleur comédien a été attribué au koweitien Saad Al Faraj pour son film “Tora Bora”.

    “Rendez-vous à Kirouna”, un film français de Anne Novion a remporté la pyramide d’or tandis que la pyramide d’argent (prix du jury) est revenue à “L’industriale” de l’italien Giuliano Montaldo. Dans la catégorie du concours international des droits de l’Homme, le jury a remis le prix de “la place Tahrir” au film polonais “Roza” de Wojciech Smarzowski. Le réalisateur et l’équipe de travail du film chinois “Full Circle” de Zhang Yang a reçu une attestation de reconnaissance.

    Dans le cadre de ce festival, une cérémonie a été organisée à l’occasion du cinquantenaire de l’indépendance de l’Algérie au cours de laquelle le film “Les cinéastes de la liberté” de Saïd Mehdaoui a été projeté. 125 films de 66 pays ont participé à cette manifestation.

    Synopsis Dans la région des Hauts-plateaux où les groupes terroristes continuent à semer la terreur, Rachid, un jeune jihadiste, décide de quitter ses anciens compagnons et de revenir à son ancienne vie dans son village, parmi les siens.
    Pour bénéficier des dispositions de la loi sur « la concorde nationale », il doit se rendre aux forces de l’ordre et restituer son arme. Dès lors, il est amnistié et devient un « repenti ».

    Mais si « la concorde nationale » le réconcilie avec la loi, elle ne peut cependant effacer les crimes, le sang et les horribles images des massacres d’innocents.  Rachid est désormais engagé dans un voyage sans issue où se mêlent violences, secrets et manipulations.

    À travers cette histoire, Merzak Allouache décrit la société algérienne meurtrie par la violence et traumatisée par une longue décennie noire marquée par le terrorisme aveugle des années 1990. (A1 avec Aps)

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