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«Le Dounyazad» de la rue Abane à Alger était l’unique cinéma qui programmait des films arabes. C’était l’âge d’or du cinéma en Algérie, quand la dizaine de salles de la rue Larbi-Ben-M’hidi affichaient presque toujours complet, les trois séances : première, deuxième matinée et soirée.
Aujourd’hui, le «Dounyazad» est fermé. Il ne reste qu’à pleurer sur «Al Atlal» (les ruines) comme dans la célèbre chanson d’Oum Kalthoum, la star de l’Orient, du temps de l’âge d’or de la chanson arabe.
K. B.
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