Cinéma algérien, un souffle nouveau

En Algérie, où il n’y a presque plus de salles, pas d’école de cinéma, peu de critiques, de producteurs à même de porter des projets artistiques, éclosent ça et là des gestes cinématographiques d’une très belle liberté. 
Leurs auteurs sont bien déterminés à faire des films et à faire les films qu’ils veulent – quelle que soit la précarité à laquelle ils peuvent être confrontés, et chacun à son rythme . 
Plusieurs préfèrent ne pas demander de l’argent à l’état, pour rester affranchis du calendrier administratif ou d’insidieuses consignes . Si bon nombre d’entre eux ont un pied dans un autre pays (souvent la France), c’est essentiellement l’Algérie que leurs films racontent et interrogent . 
Certains jouissent d’une belle reconnaissance à l’étranger mais tous pâtissent du manque de structures de diffusion en Algérie . 
la liste ci-dessous a été programmée dans l’édition de novembre-décembre du Maghreb des films. Elle met en lumière certains d’entre eux, notamment Mohammed Lakhdar Tati, Lamine Ammar Khodja, Djamil Beloucif . 
Des cinéastes discrets qui, chacun à sa manière, offrent un regard personnel et des plus pertinents, sur leur pays natal.

La liste des films

Cliquez sur le titre d’un film, vous avez accès au générique, au synopsis accompagné souvent de commentaires, ainsi qu’à une biographie du réalisateur.

 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

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