Le coup de bill’art du soir Un «Spielberg algérien» !
 

L’ambition de ce jeune cinéaste de la nouvelle vague algérienne est de réaliser des blockbusters et surtout devenir riche et célèbre dans le monde entier. Il a raison, notre ambitieux jeune loup car, dans le film américain Le Fondateur de John Lee Hancock, on voit, par exemple, Raymond «Ray» Kroc, tous crocs dehors, dire à ses associés, les frères Mc Donald (ils ont nourri le monde entier), que l’ambition est la plus grande qualité chez un homme. Le jeune cinéaste algérien a déjà deux films en projet. Les thèmes sont universels tout en étant inspirés par l’Histoire de l’Algérie. Le premier est un biopic sur le général de brigade polonais Mieczysław Zygfryd Słowikowski (nom de code : Rygor), le créateur et chef du réseau PSW-Afrique à Alger, dont les renseignements ont grandement facilité l'organisation de l’opération Torch en novembre 1942. Le deuxième film est le débarquement allié en Afrique du Nord, lui-même avec un grand acteur algérien dans le rôle de Dwight Eisenhower. A plus ou moins long terme, l’ambition de ce «Spielberg algérien» est de faire d’Alger un «Alwood» qui rivalise avec Hollywood et Bollywood en même temps. Un petit détail «insignifiant», comme dirait le lieutenant Colombo : ce cinéaste algérien intelligent et ambitieux n’est pas encore né !
K. B. 
 bakoukader@yahoo.fr

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