Affiches
|
|||||||||||||||||||||
![]() |
![]()
|
|
|||||
![]() |
![]() |
||||
|
|||||
|
|
|||||
![]() |
![]() |
||||
En pleine guerre, une mère cherche désespérément à retrouver son fils incarcéré par l’armée française... Un film épique à la gloire de la lutte populaire. |
|||||
|
|
||||
![]() |
![]() |
|||
Ahmed, paysan pauvre, quitte son village pour la ville à la recherche d’une vie plus facile. Il rencontre Milhoud, un fou visionnaire, et surtout la misère et l’injustice. Chronique de l’histoire algérienne, de la conquête française (même si l’histoire commence en 1939) au déclenchement de la guerre de libération en 1954. À travers la vie d’une famille et de quelques individus symboliques, le peuple algérien tout entier résiste à l’expropriation de ses terres et à la déculturation |
||||
|
|
||||
![]() |
![]() |
|||
Algérie région des hauts plateaux. Rachid, un jeune djihadiste quitte le maquis et regagne son village. Pour bénéficier de l’amnistie de la loi "pardon et concorde nationale", il se rend à la police et restitue son arme. Il devient "repenti" mais la loi ne peut effacer les crimes et pour Rachid s'engage un voyage sans issue où s'enchevêtrent la violence, le secret, la manipulation. Son voyage va croiser le destin meurtri d’un couple, séparé, victime du maquis islamiste où Rachid opérait. |
|
|||||
![]() |
![]() |
Tourné en plein terrorisme islamiste, sous le régime du couvre-feu, le film se situe en 1989, après la révolte d’octobre 88 qui a obligé le régime à une certaine libéralisation, et permis aussi le développement du FIS. Le film oppose Saïd chef de file des islamistes du quartier et Boualem un jeune qui aspire à vivre normalement sans être, à son retour de travail de nuit, empêché de dormir par les hauts parleurs de la mosquée. Au delà de la description de |
|||
l’esprit totalitaire et des brutalités des islamistes de cette période de transition, la voix off discrète de l’amie de Boualem permet de se projeter en 1993, à l’époque du terrorisme sanglant. Le film est toujours aussi actuel.. | |||||
|
|
|||||
![]() |
![]() |
||||
Cet automne est aussi le 50è anniversaire d’un évènement tragique, le massacre à Paris, le 17 octobre 1961, par la police française de dizaines d’Algériens manifestant pacifiquement à l’appel de la Fédération de France du FLN. Malek Bensmaïl rend hommage à ces victimes et éclaire les circonstances de ce drame. Plus largement, son film est l’histoire méconnue de cette guerre menée par le FLN en France, transportant pour la première fois dans l’Histoire une révolution populaire sur le sol du pays occupant. Une histoire d’agents secrets, de combattants sacrifiés, de conflits entre militants algériens, d’attentats, d’avocats et intellectuels mais aussi de doutes, d’espoirs brisés et, au final, d’un combat qui se gagne ici, en France : la fin d’une guerre de sept années et l’indépendance d’une nation. Ce film passionnant, parfois bouleversant, est composé d’entretiens avec des acteurs et témoins de l’époque ainsi que d’archives inédites. |
|
|||
![]() |
|||
Dans un petit village des Aurès, le 1er novembre 1954, le meurtre d’un couple d’instituteurs français et d’un caïd algérien marqua le déclenchement de la guerre d’indépendance de l’Algérie. Cinquante ans plus tard, Malek Bensmaïl revient dans ce village, « berceau de la révolution algérienne » et, durant un an, filme une classe de l’école. Cette chronique, dont le titre est emprunté au Coran «Recherchez le savoir, jusqu’en Chine s’il le faut.» brosse le portrait étonnant et passionnant d’un pays prisonnier de son passé, où l’indépendance des esprits n’est pas acquise. |
|
||||
![]() |
|
|
||||
![]() |
|