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Par hechache2 le 18 Septembre 2013 à 23:58
Techniques
Écran d’épingles
Alexandre Alexeïeff et Claire Parker ont inventé la technique de l'écran d'épingles. © ONF
L'écran d'épingles NEC a été acheté par l'ONF en 1972. © ONF
Jacques Drouin lors de la réalisation de son film Le paysagiste(1976). © ONF
Le paysagiste (1976) - Jacques Drouin. © ONF
Jacques Drouin lors du tournage du filmEmpreintes (2004). Photo: Caroline Hayeur. © ONF
Empreintes (2004) - Jacques Drouin. © ONF
Voir des extraits de films utilisant cette technique
Par Marcel Jean
Spécialiste du cinéma d’animationAu début des années 1930, le graveur Alexandre Alexeïeff, un Français d'origine russe, décide de passer au cinéma. Désirant réaliser des films dont l'esthétique serait fidèle au graphisme et aux dégradés de gris présents dans ses gravures, il imagine un outil d'un genre nouveau : l'écran d'épingles.
Cet appareil serait constitué d'un écran blanc percé de centaines de milliers de trous, chacun traversé par une épingle rétractable. En plaçant des sources lumineuses des deux côtés de l'écran, chaque épingle jetterait de l'ombre et la somme de ces ombres permettrait d'obtenir le noir total. En revanche, il suffirait d'enfoncer certaines épingles dans l'écran pour que leur ombre raccourcisse et qu'ainsi le gris remplace le noir. Selon cette logique, en enfonçant complètement les épingles dans l'écran, l'ombre se résorberait et ferait place au blanc de la surface.
C'est en 1933 qu'Alexeïeff, aidé de sa collaboratrice Claire Parker, termine Une nuit sur le mont Chauvei. En 1943, exilés en Amérique, Alexeïeff et Parker réalisent En passant, pour l'ONF. Ils répondent ainsi à l'invitation de Norman McLaren, qui leur voue une grande admiration.
Les animateurs de l'ONF continuent ensuite à s'intéresser à l'écran d'épingles et, en 1968, le musicien Maurice Blackburn, fidèle collaborateur de McLaren, fait une brève incursion dans la réalisation avec un court métrage expérimental intitulé Ciné-crime. Pour ce film reposant sur une bande sonore concrète extrêmement complexe, il utilise une version format réduit de l'appareil.
En 1972, Alexeïeff et Parker sont invités à l'ONF. Cette fois, l'organisme canadien se porte acquéreur d'un écran d'épingles de grand format et les deux artistes donnent des ateliers de formation à un groupe de cinéastes. Norman McLaren profite d'ailleurs de l'occasion pour tourner le documentaire intitulé L'écran d'épingles.
Cette visite a des retombées importantes sur le destin du procédé. En effet, alors qu'on a longtemps cru que l'écran d'épingles allait mourir avec son créateur, voici que Jacques Drouin décide de l'utiliser pour réaliser ses films. Dès 1974, il signe Trois exercices sur l'écran d'épingles d'Alexeïef, puis, deux ans plus tard, Le paysagiste. Avec ce dernier, Drouin s'affranchit du lourd parrainage d'Alexeïeff et impose un ton, un style.
Après le succès du Paysagiste, Drouin innove sur le plan technique lorsqu'il colore ses images en filtrant les sources lumineuses qu'il emploie. En 1986, il coréalise L'heure des angesavec le Tchèque Bretislav Pojar. Dans ce film dont la forme repose sur le mariage de deux techniques, les marionnettes de Pojar évoluent dans des décors fluctuants réalisés avec l'écran d'épingles. Drouin poursuit ses recherches esthétiques dans ses trois films suivants : Ex-enfant (1994), Une leçon de chasse(2001) et Empreintes (2004).
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Par hechache2 le 18 Septembre 2013 à 23:57
Techniques
Pixillation
Tournage du filmVoisins (1952) dans un parc de la ville d'Ottawa. © ONF
Voisins (1952) - Norman McLaren. © ONF
Norman McLaren et Evelyn Lambart lors de la réalisation du film Il était une chaise (1957). © ONF
Il était une chaise(1957) - Claude Jutra et Norman McLaren. © ONF
Tournage du filmMonsieur Pointu(1975). © ONF
Monsieur Pointu(1975) - André Leduc et Bernard Longpré. © ONF
Par Marcel Jean
Spécialiste du cinéma d’animationC'est Norman McLaren qui, le premier, nomma « pixillation » la technique consistant à photographier image par image des personnages ou des objets dont les déplacements sont entièrement sous le contrôle du cinéaste. Il utilisa cette technique dans Voisins (1952), une puissante fable antimilitariste, puis dansIl était une chaise (1957) et Discours de bienvenue de Norman McLaren (1961), deux films dont l'anecdote repose sur la rébellion d'un objet de la vie courante (respectivement une chaise et un microphone).
La pixillation trouve sa lointaine origine dans les « trick films », ces films reposant sur les trucages et qui marquèrent les débuts de l'histoire du cinéma. On peut citer en exemples certains trucages de Georges Méliès, le célèbre El Hotel electrico de l'Espagnol Segundo de Chomon (1905) et Le mobilier fidèle du Français Roméo Bosetti (1912).
Plus que toute autre technique d'animation, la pixillation contraint à un étroit rapport au réel. En effet, la présence d'acteurs et d'objets évoluant dans un environnement en trois dimensions a pour effet d'introduire dans l'œuvre une série de références à la réalité. Cela a pour conséquence d'infléchir le choix des thèmes abordés dans les films faisant appel à cette technique. Ce n'est pas un hasard, par exemple, si Norman McLaren a réalisé ses œuvres les plus politiques avec ce procédé.
Robert Awad a fait un usage judicieux de cette technique en la mêlant à d'autres procédés dans les parodies de documentaires que sont L'affaire Bronswik (coréalisé par André Leduc, 1978) etAmuse-gueule (1983). C'est cependant Leduc qui utilise le plus fréquemment la pixillation à l'ONF. En trois films – Tout écartillé(1974), Monsieur Pointu (coréalisé par Bernard Longpré, 1975) et Chérie, ôte tes raquettes (1976) –, il explore le potentiel de fantaisie de cette technique.
Tout écartillé et Chérie, ôte tes raquettes laissent poindre le thème de la frénésie du monde moderne, thème que Roland Stutz exploite à fond dans son Taxi, illustration d'une chanson de Claude Léveillée misant sur les effets d'accélération obtenus par la pixillation.
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Par hechache2 le 18 Septembre 2013 à 23:56
Techniques
Animation à trois dimensions
Une poupée dans la neige (1998) en cours de tournage. © ONF
Une poupée dans la neige (1998) - Co Hoedeman. © ONF
Martin Barry au travail sur le plateau deJuke-Bar (1989). © ONF
Juke-Bar (1989) - Martin Barry. © ONF
Sjaak Meilink pose aux côtés des personnages de son film Les Échassiers(2002). © ONF
Les Échassiers (2002) - Sjaak Meilink. © ONF
Voir des extraits de films utilisant cette technique
Par Marcel Jean
Spécialiste du cinéma d’animationC'est par l'expression « animation à trois dimensions » qu'on désigne l'animation de marionnettes, la pixillation et l'ensemble des techniques dérivées de ces dernières; citons, par exemple, l'animation de structures de pâte à modeler, qu'on appelle en anglais claymation, technique qui fait la gloire de cinéastes comme l'Américain Will Vinton, l'Anglais Nick Park et le Russe Garri Bardine.
Ces techniques ont en commun d'exiger du cinéaste qu'il tienne compte d'éléments de mise en scène très proches de ceux avec lesquels compose le réalisateur de prises de vues réelles. En effet, dans l'animation à trois dimensions, l'éclairage, les mouvements de caméra, le choix de l'objectif, la profondeur de champ et les rapports spatiaux entre les éléments ne sont pas virtuels, comme en dessin animé, mais plutôt réels, comme dans les films de fiction avec acteurs.
L'animation de marionnettes, qu'on appelle aussi « animation de poupées », trouve son origine dans la tradition millénaire du théâtre de marionnettes. Cette tradition fait partie de la culture populaire d'Europe centrale depuis des siècles, ce qui explique pourquoi c'est dans cette partie du monde que l'animation de marionnettes s'est d'abord implantée. Le Russe Ladislas Starewitch, avec des films comme La vengeance de l'opérateur cinématographique (1912), a été le premier maître de cette technique. Il fut bientôt suivi dans cette voie par plusieurs animateurs russes, mais surtout tchèques, le plus célèbre étant Jiri Trnka (La Main, 1965). C'est un autre Européen, le Hongrois George Pal, qui a imposé cette technique aux États-Unis, au début des années 1940. Au Japon, Kihachiro Kawamoto, formé à Prague par Trnka, s'est inspiré du théâtre de marionnettes japonais (le bunraku) dans des films comme Le Temple Dojoji (1976).
À l'ONF, après les premières expériences de Jean-Paul Ladouceur (Sur le pont d'Avignon, 1951), il faut attendre l'arrivée de Co Hoedeman, à la fin des années 1960, pour que cette technique trouve enfin sa place. Le remarquable Tchou-tchou (1972), film dont les personnages et les décors sont constitués de blocs de bois peints, et Le château de sable (1977), pour lequel il crée d’attachantes créatures évoluant dans un univers désertique, lui ont valu la consécration.
La présence à l’ONF du Tchèque Bretislav Pojar – fidèle collaborateur de Trnka – n'a pas eu d'effet important sur la production de films de marionnettes. En effet, les premiers films canadiens de Pojar ont été réalisés en papier découpé et il faut attendre L'heure des anges (1986), coréalisé avec Jacques Drouin, pour le voir employer le procédé qui l'a fait connaître. Dans des décors réalisés par Drouin à l'aide de l'écran d'épingles d'Alexeïeff-Parker, Pojar fait évoluer des personnages conçus et animés selon un parti pris réaliste affirmé.
Si l'amusante comédie musicale Juke-Bar (1989), dans laquelle Martin Barry met en scène d'étonnants cafards aux physionomies recherchées, demeure sans suite, un autre jeune cinéaste, Pierre M. Trudeau, invente un style singulier à l'aide de marionnettes de papier construction. Il s'approprie ainsi l'esthétique des bricolages enfantins dans des films destinés à un public en bas âge :Enfantillage (1990) et Baroque'n Roll (1994). Brian Duchscherer (L’homme volant de Balgonie, 1993), Pjotr Sapegin (Aria, 2001), Patrick Bouchard (Les ramoneurs cérébraux, 2002) et Sjaak Meilink (Les échassiers, 2002) ont aussi utilisé cette technique qui gagne sans cesse en popularité.
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Par hechache2 le 30 Août 2013 à 11:52
Le Montage Vidéo
Choix d’un Logiciel de Montage Vidéo
Cette page sera utile aux personnes qui découvrent le montage vidéo et qui sont équipées d’ordinateur sous Windows. Une question revient depuis plusieurs années : “quel logiciel choisir pour faire mes montages vidéo, que ce soit en SD (Définition Standard) ou en HD (Haute Définition) ?”
Dans le monde PC, on retrouve toujours à peu près les mêmes produits remis à jour chaque année (Adobe, Pinnacle, Magix, Corel, Sony).Le point commun entre toutes ces produits est le suivant : leur éditeur cherche à créer le produit le plus complet qui peut tout faire. Véritables usines vidéo aux interfaces chargées et non-intuitives.
Il pourrait y avoir un autre point commun qui est le manque de documentation réellement pédagogique. Pour apprendre à utiliser ces logiciels, il faudra investir beaucoup de temps. Par ailleurs, ces usines à vidéo réclament beaucoup de ressources machine (processeur et mémoire RAM) tout en présentant une faible stabilité pour certain.
Nous aurons mis du temps à trouver un logiciel adapté aux besoins occasionnels des nouveaux venus du montage vidéo. Un logiciel qui servira de transition vers plus de complexité si vous prenez goût à la création numérique pour un budget très raisonnable.
Nous vous conseillons de tester AVS4YOU
Plutôt que de créer un seul logiciel qui fait tout, l’éditeur d’AVS4YOU a réalisé une suite de 20 logiciels à utiliser en fonction des besoins classés en 4 catégories :
AUDIO
VIDEO
IMAGE
DIVERS
Vous achetez un abonnement pour une année ou à vie (39 euros lors de l’écriture de ces lignes) pour installer les logiciels nécessaires à vos projets.
Vous pouvez tester ces logiciels sans limite de temps en profitant de toutes les fonctionnalités. Les images que vous produirez seront marquées du logo AVS4YOU.
Côté prise en main, vous trouverez suffisamment de tutoriels vidéos sur le site AVS4YOU ainsi que des guides d’utilisations.
Nous allons nous concentrer sur les 3 applications de cette suite logicielle, qui selon nous, vous seraient le plus utile dans le cadre d’un projet de numérisation de vos cassettes vidéo (tous formats confondus), ou de vos films argentiques au format 8 mm ; Super 8 ou au format Pathé 9,5 mm.
La liste des besoins exprimés est la suivante :
je voudrais faire du montage vidéo à partir de fichier HD
je voudrais faire un DVD
je voudrais ajouter des titres et des photos
je voudrais convertir mes films pour mon iPad, iPhone ou ma boxTV
je voudrais récupérer la vidéo de mon DVD et faire un montage.
Nous reprenons les descriptions proposées par l’éditeur AVS4YOU pour présenter les points clés de ces 3 logiciels.
CONSEIL : si vous devez utiliser cette gamme de logiciels et que par ailleurs vous souhaitez faire numériser vos films 8mm, Super8 ou 9,5 en HD, nous vous conseillons de nous demander des fichiers H264 avec extension .mov pour les raisons suivantes :
les fichiers H264 .mov sont faciles à lire sur PC et MAC
les fichiers H264 .mov sont souvent lus directement par les boxTV (Freebox Revolution)
Ceci est valable pour la SD comme la HD.
AVS Video Editor 6.3
AVS Video Editor supporte la majeure partie des formats vidéo et multimédias existants. Grâce à AVS Video Editor pour pourrez modifier et enregistrer les fichiers vidéo en :
AVI
VOB
MP4
DVD
WMV
3GP
MOV
MKV
H.263/H.264 codecs
etc.
Montage vidéo aisé et précis
Découpez, divisez, coupez, fusionnez, faites pivoter et mixez les vidéos avec AVS Video Editor. Sélectionnez entre 300 effets vidéo et de transitions. Insérez des menus et des commentaires textes, voire des sous-titres.Edition plus rapide des vidéos HD
Grâce à la technologie de cache vidéo intégrée, l’édition des vidéos HD/Haute Définition devient plus rapide.Traitement des vidéos Blu-Ray
Appliquez les effets et ajoutez les menus spécialement conçus pour vos vidéos. Enregistrez vos fichiers dans n’importe quel format vidéo supporté, ou gravez vos vidéos sur disques Blu-ray.Capture de la vidéo
Transférez la vidéo provenant de votre caméscope DV ou VHS, voire de votre WebCam sur disque dur ou sur DVD. Vous pouvez également enregistrez des fichiers médias depuis l’écran de votre ordinateur.Partage de votre vidéo
Chargez de nouveaux fichiers vidéo vers les plateformes des réseaux sociaux tels que Facebook, Flickr, MySpace, etc. directement depuis l’interface d’ AVS Video Editor.Tutoriels Vidéo AVS Video Editor
Tutoriels vidéos en langue française
Tutoriels vidéos en langue anglaise
AVS4YOU Video Editor 6.3
Version actuelle : 6.3.2.234
Plateformes supportées : Windows 8, 7, XP, 2003, Vista (MacOS et Linux non supportés)
Télécharger AVS Video Editor
Acheter AVS Video Editor
Manuel AVS Video Editor (PDF)
Prise en main d’AVS Video Editor
AVS Video ReMaker 4.1
Montage de vos fichiers vidéo sans passer par la reconversion.
Coupez, supprimez les parties inutiles, changez l’ordre des scènes en MPEG, AVI, DVD, Blu-ray, WMV, etc. avec AVS Video ReMaker . Enregistrez vos vidéos sur DVD ou Blu-ray sans reconversion.
Montage vidéo HD
Traitez les fichiers AVI, VOB, MP4, DVD, Blu-ray, WMV, 3GP, FLV, TS, DVR-MS, MOV, MKV, H.263/H.264 codecs, etc.
Éditez les fichiers vidéo AVCHD, MOD, MTS/M2TS, TOD, etc. captés par les caméscopes et les caméras vidéo.Création de menu DVD et Blu-ray
Répartissez vos fichiers vidéo en chapitres, puis sélectionnez une maquette du menu souhaité. Gravez les fichiers vidéo sur DVD ou Blu-ray.
Acquisition vidéo
Transférez la vidéo provenant des caméscopes et des caméras vidéo sur le disque dur, modifiez les fichiers et créez un DVD vidéo. Vous pouvez également capturer la vidéo à partir des WebCam ou des caméscopes DV.AVS4YOU Video ReMaker 4.1
Version actuelle : 4.1.3.149
Plateformes supportées : Windows 8, 7, XP, 2003, Vista (MacOS et Linux non supportés)
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Manuel AVS Video ReMaker (PDF)
Prise en main d’AVS Video ReMaker
AVS Video Converter 8.3
AVS Video Converter 8.3 intègre des paramètres prédéfinis afin de convertir votre vidéo pour être compatible avec les appareils suivants :
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iPhone
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PS3 (HD supporté)
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HD (y compris les formats : AVCHD, TS, TOD, AVI HD, M2TS, etc.)
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MPEG
H.263/H.264 codecs
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Conversion fichiers DVD sur d’autres formats et gravure DVD
Vous trouverez ici un tutoriel complet, en langue française, qui vous décrit clairement les procédures à suivre en fonction de votre besoin :
convertir un DVD avec un seul titre/film
convertir un DVD avec plusieurs titres/films
convertir un DVD avec plusieurs langues
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Windows : 8, Seven, XP, 2003, Vista (MacOSX et Linux non supportés)
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Prise en main d’AVS Video Converter
Conseil pour l’administration de votre PC
Lorsque vous installez un nouveau logiciel, il est toujours bon de créer un point de restauration qui vous permet de revenir à l’état d’avant installation. C’est une méthode plus sûre qu’une désinstallation du logiciel.
Windows Vista, Windows 7 et Windows 8 le font automatiquement.
Pour les systèmes d’exploitation antérieurs, il faut le faire manuellement.votre commentaire