•  Né Quelque Part

    Affiche Né quelque part

    Notes et critiques

    BANDE-ANNONCE

    Synopsis

    Farid, jeune Français de 26 ans doit aller en Algérie pour sauver la maison de son père. Découvrant ce pays où il n'a jamais mis les pieds, il tombe sous le charme d'une galerie de personnages étonnants dont l'humour et la simplicité vont profondément le toucher. Parmi eux, son cousin, un jeune homme vif et débrouillard qui nourrit le rêve de pouvoir rejoindre la France...

     
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    CRITIQUES PRESSE DE NÉ QUELQUE PART

    (14)2
    • Critique de Premiere ( Christophe Narbonne)Les films sur les retours aux sources sont souvent porteurs d’une émotion et d’un folklore appuyés. Pour son premier long métrage, Mohamed Hamidi évite miraculeusement de tomber dans ce piège que lui tendait pourtant un scénario un poil trop millimétré : bardé de certitudes et de préjugés, Farid va petit à petit s’e...Lire la suite
     

    AVIS INTERNAUTES SUR NÉ QUELQUE PART

    (35) 3
    Amusant le nombre de personnes qui jugent ce film sans l'avoir vu, juste sur la bande annonce ou le titre!!! Très fort J'aurais aimé avoir des avis "éclairés" tant pis
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    Sa note : 2
     
    Anonyme | le 16/06/2013 à 20h35 Signaler un abus
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  • Le mois sacré vu par... Hamid Achouri Comédien

    « Je suis sélectif dans mon travail »

    Propos recueillis par Karima Alloun
    Publié le 7 août 2012

    Le comédien Hamid Achouri persiste et signe : l’Algérien ne badine pas avec le mois sacré. En dépit de quelques manquements, il affirme qu’en Algérie le Ramadhan est vécu dans toute sa ferveur. Mais l’acteur est moins catégorique lorsqu’il s’agit de la production télévisuelle. Il estime que les bons scénarios sont pratiquement absents alors que la réalisation se fait à la hâte.

    De quoi sont faites les journées ramadhanesques de Hamid Achouri ?
    Mes journées sont celles d’un jeûneur musulman pratiquant. J’ai beaucoup de respect pour ce mois sacré qui nous permet de purifier notre âme. J’ai pour habitude de me lever à 10h du matin, ensuite de faire les courses en fonction des demandes de ma conjointe. Au marché, je profite pour discuter un peu avec mes amis et je ne rentre chez moi qu’à l’heure de la prière du Dohr. Par la suite, je commence à préparer mon émission diffusée chaque jour sur les ondes de la radio nationale à 17h30. D’ailleurs elle se termine quelque temps avant la rupture du jeûne. A la radio, des amis me font goûter par exemple le bourak fourré au poisson et moi aussi, je leur ramène parfois du pain fait maison ou d’autres mets qu’on se partage avec un grand plaisir. Je ne suis pas un grand gourmand. Je me contente uniquement au f’tour de la chorba et du bourak, en plus de quelques dattes et du petit lait. Ce n’est qu’après l’accomplissement des prières surérogatoires qu’intervient la deuxième et la troisième mi-temps durant lesquelles je profite pour goûter à quelques sucreries en plus du s’hour que je ne rate jamais.

    Les prières surérogatoires sont-elles sacrées pour vous ?
    Oui bien sûr. En dépit du travail, le côté spirituel l’emporte sur tout durant ce mois. D’ailleurs je profite durant mes émissions pour lancer des messages qui vont dans le sens de la consécration de la fraternité et de l’estime au sein de la société et de la famille. Je mets toujours l’accent sur la nécessité de renforcer les liens familiaux comme le dicte notre précieuse religion. Certes, certains Algériens accomplissent le jeûne par héritage, d’autres succombent au sommeil durant toute la journée et font carême sans faire la prière. Mais une chose est sûre, l’Algérien ne badine pas avec le mois sacré. Il ne peut pas y renoncer. Pour preuve, j’ai rencontré des malades chroniques qui ont versé des larmes juste parce qu’ils ne peuvent pas jeûner. La ferveur du Ramadhan est beaucoup plus ressentie dans l’Algérie profonde. Dans l’Algérois, effectivement le stress dans lequel on se débat durant toute l’année ne s’estompe pas en un mois. On doit apprendre à maîtriser nos nerfs, à converser avec les gens, à ressentir la douleur des pauvres et en ne tolérant aucune dérive. Le Ramadhan est une école dont les enseignements devraient être valables pour toute l’année. Je dois dire aussi un mot sur la solidarité, à laquelle on doit absolument impliquer les enfants surtout pour qu’ils apprennent les vertus du partage.

    Que pense Achouri des programmes humoristiques de ce Ramadhan ?
    J’avoue que la production a augmenté avec la contribution des nouvelles chaînes. Pour ne pas verser dans la critique et dresser un tableau noir, je dirais seulement que la médiocrité de certaines productions est due à la réalisation faite à la hâte. On décide quelques semaines avant le Ramadhan de faire tel sketch ou telle série. Je dois dire qu’on souffre du problème du manque de scénarios. Pour ma part, je suis sélectif dans mon travail. Je n’accepte pas tous les rôles et j’ai même mon mot à dire dans le tournage. Durant ce mois, j’ai fait quelques apparitions. Je ne peux pas m’engager dans trente séries sans conviction. Je ne peux pas travailler sans scénario que je prends le soin de lire attentivement bien avant de donner mon aval. Je cite l’exemple de « Caméra Chorba  » dans laquelle j’ai réclamé la suppression de certains dialogues. On peut dire que la diversité télévisuelle est à ses débuts. Le meilleur est à venir, inchallah.

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    3 commentaires
  •  

    Entretien avec Sid-Ahmed AGOUMI

     
    Après Morituri, Sid-Ahmed Agoumi renoue avec le cinéma algérien. avril 2005..un personnage hilarant aussi bien que triste. L’acteur aime ainsi multiplier les facettes de son métier. Tout un art. Infatigable amoureux des planches, il nous parle d’existence, de ses projets et du bonheur à vivre avec les autres. Enfin, des valeurs humaines...

    Pourriez-vous nous parler du rôle que vous interprétez dans le téléfilm de Bachir Derraïs ?

    Sid-Ahmed Agoumi : C’est toujours difficile de résumer un personnage ou un film. Très simplement, c’est un monsieur qui est immensément riche mais qui n’est pas heureux en famille. Un jour, il découvre par hasard un pauvre qui le sauve d’un très mauvais coup et se prend d’amitié pour lui. C’est l’idée qui est très souvent traitée dans les films à savoir que le bonheur ne s’acquiert pas avec de l’argent. C’est un état qui se construit par l’autre. On ne peut pas être heureux tout seul. Il faut que les autres aussi participent à créer votre bonheur. A partir de cette rencontre de deux personnages diamétralement opposés sur le plan social, nous verrons le cheminement de ces deux personnages dont l’un vit le plus bonnement du monde, très pauvre, et l’autre parce qu’il est riche, pense que le bonheur lui est acquis. En fait, cette quête du bonheur est dans leur tête. Ce sont deux mondes tout à fait intéressants et ce qui m’a intéressé à participer à ce film.

    C’est un peu une parabole de la société actuelle, ce distinguo entre pauvre et riche ?

    Quand on vit dans une société où le matériel prévaut sur tout, sur l’intelligence, sur la qualité de vie, la qualité humaine, eh bien le matériel tue l’humain. Un humain riche mais mort, à quoi ça sert ? Il est mort spirituellement, sentimentalement, il ne sert à rien, cela on le constate, il y a partout des gens absolument riches qui so nt à la quête du bonheur. Ils se posent des questions : d’où ils sont et que font-ils de leur vie. Celle-ci s’effrite dans un stress et une morosité profonde. C’est pire que la mort ! Je pense qu’une certaine catégorie de riches autant que certains pauvres pensent absolument s’identifier à ces deux personnages, je le crois sincèrement...

    C’est la raison pour laquelle vous avez accepté le scénario ? 
    J’ai eu un décès dans la famille qui est assez douloureux, je suis venu parce que je ne pouvais pas assister à l’enterrement de mon père, parce que j’étais en représentation. L’opportunité m’a été offerte de voir ma famille et de renouer un peu avec mon pays, parce qu’on m’a déjà fait des propositions, dernièrement, qui ne m’ont jamais intéressé jusqu’à présent. Maintenant, je pensais que c’était un sujet qui pourrait intéresser les téléspectateurs sans tomber dans le sentimentalisme, dans le message ou dans la tarte à la crème. Je serais peut-être satisfait en finalité...

    C’est quand même une comédie légère comparée à Morituri. Comment s’est faite la transition d’un état à un autre ? Un registre burlesque... 
    Le côté burlesque ne m’intéresse pas. Je pense que c’est la mission d’un acteur de passer d’un personnage à un autre. Cela a toujours été mon cas. Je suis tout à fait différent au théâtre, je peux passer de la comédie légère comme vous dites, au tragique. C’est le métier d’acteur et en fonction des personnages qu’on nous propose. C’est à nous d’essayer de s’y adapter. C’est cela qui est important. J’ai tourné dans d’autres films qui vont sortir bientôt.

    Quels sont les films récents dans lesquels vous avez tourné ? 
    L’étranger de Djamel Bensallah, dans lequel je joue un immigré de condition très modeste. C’est en variant un peu ses personnages, sa façon de jouer que l’acteur élargit sa palette...

    Aujourd’hui, on peut dire que vous remettez le pied à l’étrier du cinéma algérien... 
    J’ai travaillé beaucoup. Je n’arrête pas de travailler ! Pour un retour définitif, je pense que c’est trop hâtif. Il faudrait un peu plus de moyens et puis que les scénarios à proposer soient d’une autre facture que celle que je vois jusqu’à présent. J’attends déjà le résultat de la sortie de ce film pour savoir quelle sera ma position par rapport au cinéma algérien dans le futur. Je ne veux pas vous décevoir ni me décevoir. En me décevant, je vous déçois. Sinon, je tiens à ma rigueur, à l’idée que je veux représenter par rapport au public, à moi-même. Cela demande une certaine rigueur.

    L’Algérie connaît une certaine crise cinématographique, pourtant on a remarqué cette année qu’il y a eu pas mal de prix qui ont été attribués notamment à Sid-Ali Kouiret, Belkacem Hedjadj, Lyès Salem et autres ; peut-on dire que le cinéma algérien commence à renaître. Vos impressions là-dessus ?

    Le cinéma algérien a toujours eu des prix. Il y a une période creuse, certes. Je suis d’autant ravi que Belkacem Hedjadj soit primé parce que c’est un excellent réalisateur. Ce n’est pas le nombre qui détermine l’existence d’un cinéma. On est capable de faire aussi dans la qualité. Il y a de bons réalisateurs, d’excellents directeurs photos, des ingénieurs du son... Là où le bât blesse, c’est au niveau de l’écriture. Il y a un grand effort à faire au niveau des dialogues. Il faudrait qu’on s’y attelle très vite, d’autant plus que sur le plan littéraire, je le remarque, moi, même de l’autre côté, je lis énormément de livres de jeunes auteurs de talent qui ne demanderaient qu’à être adaptés au cinéma. Je vous cite Arezki Millal, Aziz Chouaki, Maïssa Bey et j’en oublie. Ils ont de véritables scénarii. On peut en faire de vrais joyaux cinématographiques.

    Quelle est votre actualité en France ? 
    Je viens de terminer un monologue d’un auteur roumain qui s’appelle Matei Visniec que j’ai joué à Paris. Cela s’appelle L’homme poubelle. C’est une écriture à la Kafka. Je viens de terminer une pièce avec Xavier Durringer qui est un des auteurs les plus en vogue actuellement en France. C’est un grand cinéaste. Là, je repasse très bientôt à Genève pour jouer dans une pièce sur les trois religions monothéistes qui s’appelle Nathan le sage. Une très belle pièce écrite dans le XVIe siècle qui parle de l’enchevêtrement de ces trois religions et de ce qui les sépare.

    Vous continuez à porter la voix des écrivains algériens ? 
    Oui, bien sûr ! Très souvent, je suis sollicité par l’Institut du monde arabe au centre culturel algérien pour lire les jeunes auteurs algériens. Je viens de faire Anouar Benmalek, son dernier roman, Waciny Laâredj et bien d’autres. Je fais aussi les livres tunisiens et marocains, mais les sorties algériennes sont plus nombreuses.

    Par O. HIND, lexpressiondz.com

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  • Kamel Bouakkaz

    a famille est originaire de quelle ville?
    Tadmait en Kabylie.
    Avance Tadmait ya Kamel !
    Cette expression vient du fait qu’il y avait one prison à Tadmait et les colons disaient
    «Avance pour tadmayt» en poussant les hommes dans le camion.
    Tu as quel âge?
    Hakdak et quelques. Non, je sois ne le 3 septembre 1967 dans la clinique Durando de Bab ElOued. C’est bientôt mon anniversaire, si tu veux me le souhaiter
    Joyeux anniversaire kho, Famille nombreuse?
    Tu ouvres la porte, ils se deversent sur toi. C’est le charme de l’exiguite.
    Tu vis dans un appartement ou une villa?
    Nous avons on appartement F makach. Un F2 amenage en F3.
    Tu gagnes beaucoup d’argent en tant qu’acteur ?
    Pas vraiment, parce que dès que tu es connu en Algerie, on commence à sortir des histoires à ton sujet. On dit de toi que tu te la joues star et tout...
    Tu es professionnel?
    Non, je ne peux pas dire cela car je ne crois pas au professionnalisme chez nous. Je crois à un travail bon ou mauvais, c’est tout. Il y a des comediens qui sont bons et d’autres mauvais.
    Et les nôtres, ils sont comment?
    Il y a beaucoup de bons acteurs, mais il y en beaucoup qui ne savent pas qu’ils sont mauvais.
    Que fais-tu à part la télé?
    Je suis tailleur piqueur, C’est ma passion. C’est là que je me repose le plus. Pour moi, c’est une therapie.
    En boisson, tu es plutôt Hamoud, Pepsi ou Coca?
    Je suis un fou de Hamoud. S’il n’y a pas de gazouz Hamoud sur la table, c’est comme s’il n’y avait rien à manger A moi seul, j’en bois 3 ou 4 par jour en dehors du Ramadhan. Je suis un malade de Selecto.
    Quel est ton club prefere en Algerie?
    L’ham lahloo !... Non je ne peux pas le dire. C’est un secret.
    Ton joueur prefere?
    Ceux d’avant surtout. J’aimais bien Bensaoola, Menad, Megharia... De ceux d’aujourd’hui, j’aime beaucoup la classe de Anthar Yahia. Il est très elegant. Il fait du travail propre.
    Moi, qui ne suis pas beaucoup le football, s’il a reussi à attirer mon attention, c’est qu’il est vraiment bon.
    La dernière fois que tu as ete dans un stade?
    C’etait en 1983 pour le match MCA-JSK. Le Mooloudia avait gagne par 3-2.
    Donc, tu es soit pour le MCA, soit pour la JSK. non ?
    Ah, tu entres dans les details toi, Je suis originaire de Tadmait et je vis à Bab El Oued A toi de la denouer.
    Tu as fais du sport dans ta vie?
    De la lutte, de 1978-1979 jusqu’a 91, on va dire.
    Tout le monde a peur de toi dans ton quartier donc...
    Non, je ne me suis jamais bagarre fi houmti. Je frappais, mais je ne me battais pas. Il faut faire la difference entre les deux.
    Tu jouais un peu au foot avec tes potes, non?
    Bien sûr, lorsque j’etais au CEM. Je jouais comme defenseur central au stade Cerdan à Bab eloued. Aujourd’hui, il n’y a plus rien dans ce quartier Il ne reste plus rien a Bab El Oued.
    L’EN, qu’est ce tu en penses?
    Elle est ou d’abord ? L’EN n’existe plus.
    Et la JSK?
    C’est on club qui a une politique qui donne des resultats depuis des annees. Charika gadra.
    Ils changent d’equipe sans bousculer les habitudes du club, Ils travailient dans la duree Ça roule toujoors à la JSK. Ailleurs, tu enlèves on joueor et c’est toute l’equipe qui s'effondre.
    Et le MCA?
    Son problème est peut-etre, je dis bien peut être, la gestion du club. Gerer des mentalites n’est jamais facile. Lorsqu’il y a des conflits de mentalites, c’est tooujours difficile d’avancer Je crois qoe le Mouloodia vit toujours avec les s0uvenirs des annees 70, la coupe d’Atrique, Tahir, Betrouni, Bachi...
    Tu es egalement parolier. Aimes-tu beaucoup le chaâbi ?
    J’etais musicien, je jouais du banjo et du tar J’ai tait beaucoup de mariages.
    Ton chanteur preferé?
    Amimar (Amar Ezzahi, ndlr). C’est le top de la chanson.
    Il parait que sa voix s’est degradee...
    Tout depend de ce qu’on ecoute. Si tu ecoutes Cheb Ghoufala, c’est sûr que tu n’apprecieras pas Amar Ezzahi.
    Tu etais comment, enfant?
    Plutôt turbulent. Je faisais trop de bêtises, mais je ne les ramenais pas à la maison. On faisait l’attaque dans le quartier.
    La dernière fois que tu as pleure?
    Hier (rires...). Non serieux, j’ai les larmes faciles. Le fait de voir une femme avec ses enfants dans la rue me donne envie de pleurer.
    La dernière gifle que tu as reçue?
    Hier encore (rires). C’est vrai, en plus. C’est ma fille qui me l’a donnee. Elle a presqoe 5 mois.
    Allah ibarek ! Tu etais bon ou mauvais elève à l’ecole?
    On me mettait toujours ça va dans l’ensemble. Jetais toujours au milieu du paquet.
    Quel est ton niveau d’etudes ?
    Troisième annee moyenne, puis j’ai continué par correspondance jusqu’à la terminale. J’ai quitte l’ecole parce que j’etais pauvre. Ma famille était très modeste. On en a beaucoup souffert. J’etais donc oblige de travailler.
    Quel metier faisait ton père ?
    Peintre en batiment. Il a fait un accident de moto, le pauvre. On roule comme des malades à Alger.
    Salamat inch’Allah. Tu fais de la moto aussi?
    Tout le monde chez moi fait de la moto. J’en avais une, mais je l’ai vendue.
    Il te reste une heure à vivre, qu’est-ce que tu fais?
    Oussabih hatta ya’tini al yaqin.
    A qui tu ne pardonneras jamais?
    A tous ceux qui m’ont fait du mal dans la vie. Il y a deux categories de gens que je ne peux pas oublier, ceux qui m’ont fait du mal et ceux qui m’ont fait du bien.
    Ta plus grande qualite ?
    Absorber mes nerfs au moment de la colère.
    Ton pire defaut?
    Quand je m’enerve, je ne sais plus ce que je fais.
    Quel est ton rêve secret?
    Si je te le dis, il ne sera plus secret, Il deviendra salé, pas sucré.
    Si tu étais president de la Republique. tu changerais quoi dans ce pays?
    S’il y a une chose que je ne voudrais pas faire, c’est être responsable politique car si tu travailles de manière juste, les gens te prendront pour un haggar Comme la majorite des gens n’ont pas eu leurs droits, si tu bouges dans n’importe quel sens, tu es sûr d’en leser au moins quelques-uns.
    Sors ce qu’il y dans ta poche et dis-nous ce qu’il y avait dedans.
    OK. Voilà j’ai 7 billets de 1000 DA, 7 billets de 200 DA, 2 pièces de 50 DA, une pièce de 2 DA, un portable Sony Ericsson et quelque chose qu’il ne faut pas devoiler. Le porte-feuilles est fait main par un artisan comme moi.

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  • Mourad Khan 

    LE ROI de la caméra cachée
    Il vient d’ou ce nom de Khan?
    Certains disent que c’est un nom pakistanais ou indien, d’autres disent que c’est turc....
    Vous avez la kemmara des pakistanais à la maison ?
    Taâ watchek Personne ne ressemble à l’autre chez moi,
    Tu es originaire d’ou sinon?
    Jijel ville.
    Et tu as grandi ou?
    A la rue Larbi Ben M’hidi, exactement à la rue des Tanneurs, rue Tanger
    Tu es né le?
    Le 26/12/1963 à Alger, Cadix.
    Donc Usmiste, non?
    Usmiste a’” sang pour sang” Mais depuis 7 ou Sans, je me suis desinteresse complètement du football. Meme les joueurs qui jouent en EN, au MCA ou à I’USMA, je ne les connais pas.
    Tu connais au moins Dziri et Ammour?
    Oui, bien sûr Je connais les anciens qui jouent encore. Mais les nouveaux, wallah qu’ils me sont inconnus Depuis que le niveau de l’EN est tombe si bas, je n’ai plus l’envie de suivre le foot. Quand une equipe de Tombouctou vient nous donner des leçons au 5-Juillet, je ne me reconnais plus dans cette histoire.
    Le dernier match auquel tu as assiste?
    C’est une finale de l’USMA, mais l’annee, je vais essayer de m’en rappeler.
    Si ça te fait si mal, c’est que c’etait contre le MCA. Vous n’avez jamais gagne contre le Mouloudia en finale.
    Non, non, l’USMA avait gagne ce jour-là.
    Marie, des enfants?
    Oui, deux filles et deux garçons. L'aîne a 18 ans, un autre de 6 ans, une fille de 12 ans et l’autre à 4 ans et demi,
    Mazal alkhir alqouddam?
    Ah non, j’ai tire sur le frein à main, inch’Allah, Mahboul ?
    Tu vis dans un appartement?
    Oui, un F2
    Que te disent les gens pour te faire retourner?
    Aaaatchoum Ils eternuent,
    Pourquoi on t’aime, d’après toi?
    Je dirai parce que j’ai ramene de la joie dans les familles, dans les hôpitaux . les jeunes comme les vieilles,
    Mais la camera cachee, c’est pas nouveau? Tu veux montrer que tu es le meilleur, C’est un peu pretentieux ça, non?
    Je ne suis pas le meilleur, je suis le roi de la camera cachee en Algerie Et ce
    n’est pas moi qui le dis.
    Rak tzoukh ya Mourad?
    Va sur Coogle et tape Mourad Khan. Tu verras si je mens. Pourquoi je dis que je suis le roi? Pas pour me vanter Mais parce que j’ai fait en sorte que le telespectateur algerien se retrouve dans l’impossibilite de zapper
    lorsqu’il regarde une de mes cameras cachees.
    Et ce qu’a fait Hadj Rahim avant, c’est du n’importe quoi? Un
    jeune pourrait venir demain et dire que ce que tu as fait est depasse. Il se
    prendra pour le roi sans te respecter.
    je ne dis pas ça. Loin de là. Je veux juste savoir pourquoi Hamraoui Habib Chawki a refuse les six propositions de cameras cachees que certains lui ont proposees pour ce Ramadhan,
    Parce qu’ils
    n’ont pas fait mieux que toi?
    Non, moi quand je fais une camera cachee à quelqu’un, je ne tente jamais de l’humilier Je le pousse à bout mais de manière très calme et sereine. Je le respecte jusqu’au bout. Je ne veux pas blesser les gens.
    Tu fais partie des acteurs elimines pour la finale de ce mois de Ramadhan ou tu as tourne quelque chose?
    Dans ce mois sacre, chacun son mektoub, On a tourne une serie de 16 parties qui s’intitule “Hadi hiya”, avec Hassan Benzerari, Aida Kechoud et moi- même entre autres, Maintenant le dernier mot revient a la direction de I’ENTV.
    Quel moment t’a le plus marque dans ta carrière?
    Un type est venu me voir pour me passer sa soeur malade au telephone Je lui ai dit que j’etais près à aller même chez elle à la maison Je suis aile la voir, elle
    etait très contente Une semaine après, on lui a rendu visite avec mon epouse
    Elle est fan de toi?
    Oui, elle etait malheureusement, puisque 10 jours après, elle nous quittait à tout jamais. J'etais effondre quand j’ai appris sa mort.
    Tu etais comment enfant?
    Très turbulent. En classe, je m’asseyais toujours derrière au fond de la classe.
    Ta dernière bagarre?
    C’etait avec Hammi Mohamed, un que Dieu ait son ame C’etait au mois de Ramadhan de 1999, je crois, Il y avait du sang malheureusement.
    La dernière fois que tu as pleure?
    C’etait apres “ya hafid ya settar”, lors d’un gala à Bejaia, j’etais co-animateur
    avec Djeddou Hassan. Il est rentre, les gens l’ont applaudi, puis c’etait mon tour et le public m’avait applaudi pendant près de 7 minutes. J’avais la chair de poule et j’ai fini par craquer.
    Qu’est-ce qui t’a fait pleurer au juste?
    Au moment de parler, je les ai remercies et je leur avais dit que j’aurais vraiment aime que mes parents soient encore vivants pour voir ça.
    A qui tu ne pardonneras jamais ?
    Il y a un comedien dont je ne dirai pasle nom à qui je ne pardonnerai jamais
    Parce que c’est un hassad, En face de moi, c’est un ange, mais dès que j’ai le
    dos tourne, il ne me rate pas.
    Il est très connu?
    Oui, mais je tairai son nom par redjla. On lui a demande
    son avis sur moi pour un film, et il ne s’est pas gêne pour dire tout le mal qu’il pense de moi.
    C’est de l’hypocrisie.
    Tu es plutôt Hamoud, Coca ou Pepsi?
    Fi Ramdhan, je suis comme une eponge, j’en bois de tout, Mais ma preference va à Hamoud Boualem J’aime le jus et Selecto.
    Il te reste une heure à vivre, qu’est-ce que tu fais?
    J’essaierai de ne pas blesser les gens Exactement comme
    j’essaie de le faire depuis tout petit. Si tu ne blesses pas les gens, tu n’auras fait que du bien dans ta vie C’est un conseil de mon defunt père
    Sors ce que tu as dans la poche et dis moi ce qu’il y dedans?
    Une carte d’entree à la radio, un paquet de cigarettes, un sachet de chemma, de la massa,
    une carte des horaires de l’imsak et iftar, une ordonnance pour ma fille, 22 000 DA en billets et 150 DA en pièces, un portable Nokia N81 et un billet de 10 euros.
    ahyacine est déconnecté  
     
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