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    Zinedine ZIDANE - Son Parcours (Documentaire complet)
     

    Zinedine ZIDANE - Son Parcours (Documentaire complet)official

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    MERIEM FEKKAI ET FADILA DZIRIA

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    Formidable vidéo datant de la fin des années 40 des chanteuses Meriem Fekkai et Fadila Dziria. Biographies de ces deux immenses artistes algériennes ci-dessous.

    Meriem Fekkai

    Originaire de Biskra, Meriem Fekkai El biskriya est née à Alger. Son genre de m’samaa, typiquement féminin, est inspiré de celui de maalma Yemna, laquelle a été son principal modèle; viendra ensuite cheikha Tetma qu’elle ne quitte pas d’une semelle durant une grande partie de sa vie. Elle a apporté un plus dans la composition de son ensemble artistique, qu’elle constitua à partir de 1935, en introduisant une forme de prestation musicale et danse tout à fait nouvelle. Elle s’intéressa précisément à ce côté du fait qu’elle débuta sa carrière en qualité de danseuse à l’occasion des fêtes familiales et des spectacles organisés par Mahieddine Bachetarzi. Chanteuse est un métier qu’elle entreprit très tardivement. Elle figura sur un plateau artistique grandiose en août 1929 à Alger aux côtés de Mahieddine, Sassi et Chabha, une grande chanteuse kabyle de l’époque. Là, elle s’affirma réellement comme une artiste complète, car aux talents de chanteuse, s’ajoutent ceux de danseuse traditionnelle agile élégante, d’une beauté incomparable. Elle envoûta son public et les organisateurs, car une étoile nouvelle est née et qu’il fallait compter avec elle. A l’époque outre Mériem Fekkai, Yamna et Tetma il y avait également Fettouma el blidiya, cheikha Zahia Leila Fateh (L. Mouti) Soltana Daoud (Reinette l’oranaise) et Zohra El Fassia. Pour les cheikh genre mdih, qu’on n’appelait pas encore chaabi, il y avait les cheikhs Abderrahmane El Meddah, Mustapha Driouch, Mamad Benoubia, Reghai Abderrahmane dit Saïdi, Mahmoud Zaouch, El Hadj M’hamed El Enka et son maitre cheikh Nador (Mustapha Saïdi). Aimable et très accueillante elle fut adée par son entourage familial et plus particulièrement par son mari si Abdelkrim Belsnane. Meriem Fekkai choisissait sa clientèle parmi les familles bourgeoises d’un niveau social élevé, son programme ne désemplissait jamais durant les été en après-midi (dhella) ou (sahra). Son programme de chants était composé de poésie du genre aroubi, et hawzi, des morceaux légers (neqlabete) classique andalou. Ses succès étaient en grande partie ceux de Yemna ou de Tetma car puisés dans le patrimoine hawzi tlemcénien ou aroubi algérois Meriem Fekkai se démarque, malgré tout des autres par l’interprétation à l’unisson de la quasi totalité des chants. Le dakhl msallai Rana Djinak chant de bienvenue à la mariée, reste son chef-d’œuvre avec El kalb bet sali, Mene houa rouhi ou rahti du poète Ben Msaïeb.

    Fadela Dziria

    Née le 25 juin 1917 à Djenan Beït El Mel du côté de Notre Dame d’Afrique, à Alger , dans une famille conservatrice, Fadéla Dziria, de son vrai nom Fadéla Madani, est l’une des figures les plus marquantes de la chanson traditionnelle citadine dite Hawzi.
    Son père s’appelait Mehdi Ben Abderrahmane et sa mère Fettouma Khelfaoui.Sa seule sour de père et de mère, Goucem, fut musicienne en son temps tandis que les deux autres sours et un frère, Amar, ont la même mère seulement.

    Des son plus jeune âge, Fadéla Dziria s’adonna à la chanson , en imitant la grande cheikha Yamna Bent El Hadj El Mehdi, au sommet de sa carrière et en assistant à toutes les fêtes qu’elle animait et reprendra un peu plus tard, à son compte , les mélodies de la diva du hawzi.
    Fadéla Dziria fut découverte par une é mission de Radio Alger Men koul Fen chwai de M. E. Hachelafet Djilali Haddad qui lui composè rent un grand nombre de chansons sur le modèle classique et hawzi.
    Quarante ans plus tard, une partie de son répertoire est présume du domaine public comme Ana Toueiri. Mustapha Kechkoul, discothécaire de Radio Alger, se chargea de son initiation à la musique classique , initiation qui s’avéra laborieuse car elle était analphabète; il fallait lui souffler les paroles pendant les enregistrements.

    Soutien majeur de sa famille sur le plan matériel, Fadéla Dziria s’était mari ée une seule fois, en 1930, à l’âge de 13 ans, avec un chômeur qui en avait trente. De cette union naquit une fille qui ne vécut pas . Sa mésentente avec son mari, qui décéda quelque temps après, la poussa a faire une fugue et Fadéla Dziria se retrouva, en 1935 a Paris, chantant dans les quartiers à forte concentration d’émigrés et plus particulièrement au cabaret El Djazaîr. Fadéla Dziria chantera du Asri (moderne ), rencontrera Abdelhamid Ababsa qui lui apprit plusieurs mélodies en vogue à l’époque et lorsque sa mère la fit revenir, Fadéla Dziria restera chanteuse tant sa voix plaisait au public.

    Fadéla Dziria fut engagée pendant les soir ées de Ramadhan au Café des Sports géré par Hadj Mahfoud et situé à la rue Bruce, dans la basse Casbah. Une troupe de théâtre et de variété la prit en charge par la suite. Fadéla Dziria travaillera avec le directeur de la troupe qui lui conseilla de changer de genre. Mustapha Skandrani et Mustapha Kechkoul, bien introduits dans le cercle musical algérois vont beaucoup l’ influencer et elle a fini par adopter l’Algérois en entrant dans le groupe de Mériem Fekkaî qui animait les soirées de fêtes du tout Alger. Pour son premier enregistrement professionnel , elle reprend une chanson que tous les Algérois connaissaient bien déjà Rachiq el Qalb, un morceau genre Nqleb du mode Araq faisant partie de la structure musicale arabo-andalouse.

    Fadéla Dziria s’en était acquittée d’une façon majestueuse, toutefois. sa vraie rentrée, en 1949, fut avec l’ enregistrement de son premier disque chez Pacific, Mal Hbibi Malou (paroles de Kechkoul et musique de Skandrani), qui obtint un grand succès commercial . Mahieddine Bachetarzi l’engagea alors pour animer la partie concert de ses tournées. Fadéla Dziria participa aussi en tant que comédienne aux pièces qu’il présentait à travers toute l’Algérie et notamment dans Ma Yenfâa ghir Essah, Dawlette Enissa, Othmane en Chine et Mouni Radjel 

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    LES TATOUAGES BERBÈRES / TICRAḌ N YIMAZIÆ”EN

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    Dans l’édition du 24 février 2013 de l’émission « Karambolage » sur Arte, le comédien Moussa Lebkiri s’est penché sur les mystérieux tatouages qu’arborent fréquemment Timazighin, les femmes berbères. Cette vidéo, très bien faite, est simple et amusante.

    Selon Moussa Lebkiri, ces tatouages ne sont pas du tout liés à la religion musulmane, mais à des rites pré-islamiques dans la mesure où le Coran interdit les mutilations et toute transformation de la peau. A noter que le henné permet, temporairement, de contourner cet interdit 

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    LES SPECTACLES À ALGER, AFFICHES DE 1963 À 1970

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    Un défilé d’affiches souvenirs qui témoigne du dynamisme culturel algérois après l’indépendance, sur fond musical de Mustapha Skandrani.

    Le Théâtre National Algérien, la salle Ibn Khaldoun, l’Opéra d’Alger, des cabarets, des restaurants, des lycées ont à cette époque accueilli et fait se côtoyer des artistes d’horizons et d’inspirations divers.

    On y retrouve ainsi des traces du passage de Rouiched, Mustapha Kateb, Hadj el Anka, Archie Shepp, Visconti et bien d’autres.

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