‘Mouloud FERAOUN’’ est un projet de documentaire consacré à la vie et à l’œuvre de l’écrivain – une vie émouvante faite d’efforts, une œuvre enracinée dans un humanisme profond. Conçu selon une linéarité rigoureuse, ‘‘Mouloud FERAOUN’’ est un patchwork où se mêlent reconstitution d’époques, documents iconographiques inédits et archives filmiques.Formé à l’école française aux idéaux utopiques, préparé à une carrière d’éducateur brillant, FERAOUN perd progressivement ses illusions, à mesure que se noue le drame algérien.Loin du renoncement aux idées nouvelles, au progrès et au savoir, l’auteur du ‘‘Fils du pauvre’’ s’attelle à la reconstitution d’une identité déformée par un regard exotique et extérieur. Tandis qu’il opère la remise en cause d’une réalité injuste, FERAOUN exhume des héros lointains auxquels il amarre un pays aux valeurs authentiques. Sa lucidité d’intellectuel intransigeant et honnête devance les visions guerrières de ceux qui ont voulu faire le procès des écrivains algériens parce que ‘‘pas suffisamment engagés’’. Tout au long de ce document, nous découvrons un auteur qui porte les grandes valeurs de l’Homme Universel. C’est au nom de l’homme que FERAOUN se dresse contre les injustices. C’est au nom de l’homme qu’il est tourmenté par la guerre. FERAOUN est un créateur solitaire qui souffre jusqu’à souhaiter une folie libératrice. C’est à travers ses écrits que se dessine le portrait d’un auteur modeste et discret, d’un écrivain talentueux aux convictions courageuses. Le plus souvent, je l’ai laissé parler de lui avec des mots simples et justes. J’ai repris ses moments d’espoir, comme ses instants de tourmente, ses rêves et ses peurs. Durant toutes mes recherches, s’est imposé à moi un Mouloud FERAOUN généreux et bon qui n’a pas cessé de mettre à nu un système colonial inhumain et honteux. Sa voix nette et sans détour répercute le cri d’un peuple dont il ne s’est jamais séparé. Mouloud FERAOUN était bon jusqu’à faire don de soi au printemps de notre indépendance.
-
Par hechache2 le 29 Octobre 2013 à 16:11
Mouloud Feraoun
Synopsis‘Mouloud FERAOUN’’ est un projet de documentaire consacré à la vie et à l’œuvre de l’écrivain – une vie émouvante faite d’efforts, une œuvre enracinée dans un humanisme profond.Conçu selon une linéarité rigoureuse, ‘‘Mouloud FERAOUN’’ est un patchwork où se mêlent reconstitution d’époques, documents iconographiques inédits et archives filmiques.Formé à l’école française aux idéaux utopiques, préparé à une carrière d’éducateur brillant, FERAOUN perd progressivement ses illusions, à mesure que se noue le drame algérien.Loin du renoncement aux idées nouvelles, au progrès et au savoir, l’auteur du ‘‘Fils du pauvre’’ s’attelle à la reconstitution d’une identité déformée par un regard exotique et extérieur. Tandis qu’il opère la remise en cause d’une réalité injuste, FERAOUN exhume des héros lointains auxquels il amarre un pays aux valeurs authentiques. Sa lucidité d’intellectuel intransigeant et honnête devance les visions guerrières de ceux qui ont voulu faire le procès des écrivains algériens parce que ‘‘pas suffisamment engagés’’.Tout au long de ce document, nous découvrons un auteur qui porte les grandes valeurs de l’Homme Universel. C’est au nom de l’homme que FERAOUN se dresse contre les injustices. C’est au nom de l’homme qu’il est tourmenté par la guerre. FERAOUN est un créateur solitaire qui souffre jusqu’à souhaiter une folie libératrice.C’est à travers ses écrits que se dessine le portrait d’un auteur modeste et discret, d’un écrivain talentueux aux convictions courageuses. Le plus souvent, je l’ai laissé parler de lui avec des mots simples et justes. J’ai repris ses moments d’espoir, comme ses instants de tourmente, ses rêves et ses peurs.Durant toutes mes recherches, s’est imposé à moi un Mouloud FERAOUN généreux et bon qui n’a pas cessé de mettre à nu un système colonial inhumain et honteux. Sa voix nette et sans détour répercute le cri d’un peuple dont il ne s’est jamais séparé.Mouloud FERAOUN était bon jusqu’à faire don de soi au printemps de notre indépendance.
votre commentaire -
Par hechache2 le 29 Octobre 2013 à 16:10
La Place
Synopsis
Dans une nouvelle cité résidentielle, un problème divise les habitants : que faire de « La Place », un terrain vague sité en plein centre ? Les projets les plus divers s’affrontent : espace vert, mosquée, agora, centre commercial…Montage du réalisateur Dahmane Ouzid à partir d’une comédie musicale réalisée pour la télévision algérienne: « Nous voulons offrir au public algérien un miroir dans lequel il pourra se voir et s’apprécier. Jusqu’à maintenant, nous sommes restés dans ce que l’on appelle les films d’intervention sociale ainsi que des films traitant de la parenthèse de la décennie noire. Notre but est de revenir à la jeunesse algérienne. [...] Nous avons trouvé, avec Salim Aissa, des gens qui ont une même vison et les mêmes objectifs et avec lesquels nous pourrons réaliser une telle œuvre, dont Cheikh Sidi Bémol et Youcef Boukela. Ce sont des artistes d’un grand professionnalisme et qui sont connus pour leur manière de marier les éléments puisés du terroir à la modernité actuelle. L’originalité de cette œuvre, c’est qu’elle sera cent pour cent, algérienne. »
votre commentaire -
Par hechache2 le 29 Octobre 2013 à 16:09
Arezki l’indigène
SYNOPSIS
Arezki est bûcheron dans un chantier de démasclage. Ses rapports avec le chef du chantier sont très tendus, jusqu’au jour où face à une provocation de ce dernier, Arezki assène un violent coup et provoque la mort brutal du chef de chantier.
Arezki prend le maquis, suivi par l’un de ses camarades du chantier, Amar. Ils sont « hors la loi ».Deux cibles s’offrent à eux : un caïd et un chef de village qui furent abattus dans le marché du village. Des hommes rejoignent Arezki. Il devient le maître de toute le région. Pour les colons, un problème fondamental se posait, après une quinzaine d’années de tranquillité (la révolution 1871 El Mokrani).
Arezki venait bouleverser les structures coloniales et le problème qu’il posait était l’insécurité. La presse algéroise exprimait son mécontentement : Se peut-il qu’une poignée de « bandits » fassent la loi ??
C’est dans cette atmosphère qu’Albertine Auclair, jeune journaliste débarque en Algérie, pour se recueillir sur la tombe de son père, officier de l’armée coloniale, enterré en Kabylie…« Arezki est cependant un héros qui peut déranger : il sauve la vie d’un colon contre des voleurs, entre dans une église pour être parrain d’un enfant catholique, laisse partir ceux qui lui veulent du mal…Il pactise avec l’ennemi, en qui il veut reconnaître un être humain. Là est sans doute l’actualité du personnage… » Olivier Barlet, Africultures, avril 2008.
votre commentaire -
Par hechache2 le 29 Octobre 2013 à 16:04
Catalogue des films
El Manara
Synopsis
Trois jeunes amis – une fille (Asma) et deux garçons
(Fawzi et Ramdane) – liés par une amitié amoureuse, mènent une vie insouciante. Les émeutes d’octobre 88, la répression, l’explosion démocratique et la dérive islamiste qui ont suivi, bouleversent leurs vies. Fawzi, journaliste, engagé dans l’aventure de la presse indépendante, et Ramdane, médecin, sensible aux préoccupations des petites gens, s’éloignent l’un de l’autre, se séparent et se retrouvent impliqués dans une
confrontation qui les dépasse. Asma tente vainement d’empêcher le déchirement du trio… Mais aucun des trois ne s’en sort indemne…Fiche technique du film
Réalisation : Belkacem HADJADJ
Scénario : Salim AÏSSA
Image : Ahmed MESSAAD
Décors : Arezki LARBI
Montage : Alima AROUALI
Musique : Rédouane BOUHIRED
Son : Rachid BOUAFIA
Interprétation : Samia MEZIANE, Tarek HADJ ABDELHAFIDH, Khaled BENAISSA
Format : 35mm Son : Dolby SR
Durée : 96 mnEl Manara : mausolée où se déroule une fête traditionnelle célébrant la naissance du prophète Mohamed. Appelée la fête de la “lumière”, les extrémistes islamistes s’opposent à cette cérémonie considérée comme païenne
.Grandpuits & petites victoires
Octobre 2010. Le gouvernement veut faire passer en force sa réforme des retraites. L’attaque d’un des acquis sociaux les plus importants de l’histoire populaire de France réveille une partie du pays qui descend dans la rue...Après l’enlisement de la situation, les dépôts et raffineries de pétrole sont bloqués...
votre commentaire -
Par hechache2 le 16 Août 2013 à 18:04
Statut des femmes
- A quoi rêvent les Fennecs ? (par Sarah Tikaounine )
- Algériennes, 30 ans après (par Ahmed Lallem )
- Amal Hayati – L’espoir de ma vie (par Chaouki El Ofir )
- Amours voilées (par Aziz Salmy )
- Arche du désert (L’) (par Mohamed Chouikh )
- Badis (par Mohamed Abderrahmane Tazi )
- Banc public (par Djamel Allam )
- Boxe avec elle (par Robbana Doghri Latifa , Trabelsi Salem )
- Chant des mariées (Le) (par Karin Albou )
- Citadelle (La) (par Mohamed Chouikh )
- Dance of Outlaws (Femmes hors la loi) (par Mohamed El Aboudi )
- Dorra Bouzid, une Tunisienne, un combat (par Tayaa Walid )
- Douar de femmes (par Mohamed Chouikh )
- El Chergui ou le silence violent (par Moumen Smihi )
- Elles (par Ahmed Lallem )
- Fatma (par Khaled Ghorbal )
- Fatma 75 (par Selma Baccar )
- Fleur d’oubli (par Selma Baccar )
- Goodbye Morocco (par Nadir Moknèche )
- Halal (par Elhachmia )
- Hymen national, malaise dans l’Islam (par Jamel Mokni )
- Juanita de Tanger (par Farida Benlyazid )
- Lalla Hobby (par Mohamed Abderrahmane Tazi )
- Langue de Zahra (La) (par Fatima Sissani )
- Lettre à ma soeur (par Habiba Djahnine )
- Mains dans le plat (Les)
- Malak (par Abdeslam Kelai )
- Number one (par Zakia Tahiri )
- Oubliés de l’histoire (Les) (par Hassan Benjelloun )
- Pas si simple (par Rachida Krim )
- Permis d’aimer (par Rachida Krim )
- Rengaine (par Rachid Djaïdani )
- Satin rouge (par Raja Amari )
- Source des femmes (La) (par Radu Mihaileanu )
- Uzzu (par Sonia Ahnou )
- Yeux secs (Les) (par Narjiss Nejjar )
votre commentaire
Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique