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Par hechache2 le 27 Août 2013 à 17:06
Magazine n°21.
“Les ailes qui s’ouvrent”.
En Algérie, à Fort de l’Eau, des jeunes garçons et filles travaillent dans un atelier de modèles réduits de planeurs et d’avions, destiné à éveiller chez eux le goût du sport aérien.Voir la vidéoMagazine militaire Algérie-Sahara 60/4.
105e anniversaire de la création des trois premiers Régiments de tirailleurs algériens à Saint-Arnaud.Voir la vidéo
Evénements d’Alger et d’Oran. Putsch des généraux.
Nous proposons, en complément du portfolio, trois séquences issues de deux épreuves de tournages différentes. Ces rushes ont été tournés par les opérateurs du Service cinématographique des armées (SCA)Voir la vidéo
La France est ici (mai-juin 1958).
“La France est ici…Elle est ici en vous, hommes et femmes d’Algérie. Elle est ici dans son armée… ” : éloge de l’armée en Algérie par le général De Gaulle.Voir la vidéo
Magazine des Armées n°113.
Images d’Algérie.
Six nouveaux hélicoptères de transport Alouette II sont acheminés de l’aérodrome de Pont-Long, près de Pau, à Boufarik (Algérie).Voir la vidéo
Képi bleu.2/2
Les Sections administratives spécialisées (SAS), commandées par des officiers surnommés “Képis bleus”, représentent la France,Voir la vidéo
Képi bleu.1/2
Les Sections administratives spécialisées (SAS), commandées par des officiers surnommés “Képis bleus”, représentent la France,Voir la vidéo
Magazine des Armées n°101.
“Renforts pour l’Algérie”.
Afin d’intensifier les opérations de pacification en Algérie, les différentes armées se renforcent en personnel et en matériel.Voir la vidéoChampionnat de France de cyclisme militaire.
Le championnat de France de cyclisme militaire se déroule sur un parcours de 169 kilomètres et sur la piste du vélodrome de Bône.Voir la galerie photos
Construction d’une piste allant de Kerrata à Sidi-Aïch et Akbou par le 50e Bataillon du Génie (BG).
Afin de désenclaver les villages situés entre Kerrata, Sidi-Aïch et Akbou dans l’est constantinois, le 50e Bataillon du Génie ouvre une piste dans le cadre de la Pacification.Voir la galerie photos
La ville de Bône pendant les grèves des 29 et 30 janvier 1957.
Vie quotidienne à Bône lors des grèves des 29 et 30 janvier 1957.Voir la galerie photos
Colloque au Sénat : “1940/1962 : Les troubles de la mémoire française”
Vendredi 10 décembre, le Sénat organisait un colloque autour de la construction et de la transmission de la mémoire françaiseLire la suite
L’opération «Prométhée» avec la Légion.
Les légionnaires du 2e Régiment étranger d’infanterie (REI) sont engagés en terrain montagneux dans la région de Géryville, en Oranie, pour une opération nommée “Prométhée”.Voir la galerie photos
Les écoles d’El Kremis, de Bou Ighzer et la section administrative spécialisée (SAS) de Pirette, en Kabylie.
Dans la cadre de la Pacification, la mission des militaires exerçant leur activité dans les Sections administratives spécialisées (SAS) consiste à gagner la confiance des populations.Voir la galerie photos
Le commando de Marine de Penfentenyo en opération dans le Constantinois
Habitué aux opérations terrestres, le commando de Marine de Penfentenyo part en patrouille dans le Constantinois.Voir la galerie photos
Finale des foyers sportifs d’athlétisme en Algérie.
La finale des foyers sportifs d’athlétisme a lieu en présence d’une délégation militaire officielle dont fait partie le général Challe,Voir la galerie photos
Grand prix cycliste Bône-Tebessa, dans le Constantinois.
La course par étapes Bône-Tebessa réunit les meilleurs cyclistes militaires. Nombreux au départ, les concurrents sont suivis tout au long du parcours par la police militaire qui surveille le “tour” algérien.Voir la galerie photos
Le complexe pétrolier d’Hassi-Messaoud.
Découvert en juin 1956, après des années de recherches, l’immense champ pétrolifère d’Hassi-Messaoud, situé dans le Sahara, est mis en valeur par la Société nationale de recherches de pétrole en AlgérieVoir la galerie photos
Le 18e RCP en opération à El Ma El Abiod.
Lors de la bataille des frontières, le 18e RCP est en opération à El Ma El Abiod.Voir la galerie photos
Les reporters du SCA d’Alger dans la casbah de Constantine et lors des moissons.
Les reporters du SCA d’Alger (Service Cinématographique des Armées) effectuent un reportage dans la Casbah de Constantine le 22 juin 1958.Voir la galerie photos
Le 2e RPC en opération dans la région de Tablat et Oued Malah.
Le 2e RPC à Oued Malah et à Tablat.Voir la galerie photos
Activités du district de transit de Bône.
La base “Algérie” dont le siège se trouve à Alger, assure le transit des personnels et matériels militaires évacués d’Algérie.Voir la galerie photos
Démonstration d’escalade du 22e Bataillon de chasseurs alpins (BCA) à Tikjda.
Le centre de haute montagne de Tikjda, situé en grande Kabylie, accueille depuis le 20 mai 1962 les chasseurs alpins.Voir la galerie photos
Fouilles et récupérations d’armes de l’Organisation armée secrète (OAS) à Oran.
Le climat d’insécurité qui règne à Oran oblige la troupe, composée principalement de gendarmes mobiles, à quadriller les rues et à s’interposer entre les quartiers européens et musulmans.Voir la galerie photos
Fusillade à Bab-el-Oued dirigée sur le 2e bataillon du 73e RIMa au poste de zouaves.
La conclusion des accords d’Evian relatifs au “Cessez le feu” en Algérie engage dans son article n°2 à interdire tout recours aux actes violents entre les deux parties signataires.Voir la galerie photos
Grève générale à Alger le jour du «Cessez le feu».
La conclusion des accords d’Evian relatifs au “Cessez le feu” en Algérie engage dans son article n°2 à interdire tout recours aux actes violents entre les deux parties signataires.Voir la galerie photos
Départ des dernières troupes d’outre-mer stationnées en Algérie.
A Alger, les soldats africains du 75e Régiment d’infanterie de Marine (RIMa) embarquent sur le bâtiment “Jean Mermoz” à destination du Sénégal.Voir la galerie photos
Escalade et ski au 22e Bataillon de chasseurs alpins (BCA).
Le Poste de commandement (PC) du 22e Bataillon de chasseurs alpins (BCA) se situe à Maillot, dans les montagnes kabyles.Voir la galerie photos
Centre d’instruction de harkis d’Hammam Meskoutine.
Célèbre pour ses sources chaudes, la localité d’Hammam Meskoutine, située à 28 kilomètres de Constantine, accueille également les nouvelles recrues harkis dans un centre d’instruction.Voir la galerie photos
Alger : manifestations et barricades le 31 janvier 1960.
A la suite du limogeage du général Massu par le général de Gaulle, des manifestants encadrés par des milices sont descendus dans les rues d’Alger.Voir la galerie photos
Alger : les barricades dans la matinée du 25 janvier 1960.
A la suite du limogeage du général Massu par le général de Gaulle, des manifestants sont descendus dans les rues d’Alger, encadrés par des milices.Voir la galerie photos
Constructions à Oran.
Dans le cadre du plan de Constantine, de nombreux édifices et chantiers transforment la physionomie de la ville d’Oran.Voir la galerie photos
Centre d’instruction des harkis d’Hamman Meskoutine.
Pendant une quarantaine de jours, les jeunes harkis du centre d’instruction d’Hammam Meskoutine sont formés au maniement des armes, au tir, aux exercices sur le terrain.Voir la galerie photos
Barrage électrifié le long de la frontière tunisienne.
Commencés dès 1956, les travaux sur le barrage électrifié se poursuivent afin d’empêcher les incursions d’armes et d’indépendantistes algériens en provenance de Tunisie.Voir la galerie photos
Finale des championnats d’Algérie des foyers sportifs.
C’est en présence du général Challe, commandant en chef en Algérie, que se déroule la finale des championnats des foyers sportifs.Voir la galerie photos
André Jacomet inspecte les villes en travaux effectués dans le cadre du plan de Constantine.
Lors de son quatrième voyage en Algérie, le 3 octobre 1958, le général de Gaulle expose à Constantine l’idée de Paul Delouvrier (délégué général), d’un plan de développement économique et social afin de transformer le pays.Voir la galerie photos
Arraisonnement du cargo tchécoslovaque “Lidice” par la Marine nationale dans les eaux territoriales françaises.
C’est avec 581 tonnes de fusils et de munitions à bord, que le cargo tchécoslovaque “Lidice” a été arraisonné au large de Gibraltar par l’escorteur rapide “Le Béarnais” de la Marine nationale.Voir la galerie photos
Construction de l’oléoduc Hassi-Messaoud-Bougie par la société Socoman.
La découverte du gisement de pétrole d’Hassi-Messaoud, “Puits bienheureux” a fait naître l’aventure saharienne française dans cette vaste région du département des Oasis.Voir la galerie photos
Déchargement de la cargaison du cargo “Slovenija” arraisonné par deux unités de la Marine nationale.
Le cargo “Slovenija” a été arraisonné par les bâtiments “Cassar” et “Kabyle” avant d’être escorté jusqu’au port militaire de Mers el-Kébir.Voir la galerie photos
Cérémonie militaire, à Alger, pour la commémoration de la victoire du 8 mai 1945.
Plus de 5 000 hommes de troupe défilent dans Alger pour commémorer le douzième anniversaire de la victoire.Voir la galerie photos
Assistance médicale gratuite au douar de Beni Choumerane.
L’assistance médicale gratuite (AMG) se rend au douar de Beni Choumerane.Voir la galerie photos
Exactions commises dans une ferme au sud ouest d’Aïn Temouchent, en Oranie.
Le 2e RZ (Régiment de zouaves) se rend à la ferme Martinez, au sud ouest d’Aïn Temouchent, détruite par un incendie criminel.Voir la galerie photos
Construction d’une piste par les 20e et 21e compagnies du 501e Bataillon du Génie.
Dans un village, des ouvriers algériens escortés par un blindé M-8 s’apprêtent à partir sur le chantier d’Oulad Bou Rouman et de Sidi Bel Ript.Voir la galerie photos
Expédition de Suez et débarquement dans la région de Port-Saïd.
A Chypre, les soldats du 2e Régiment de parachutistes coloniaux (RPC) embarquent dans un avion Nord-2501 afin d’être largués au dessus de Port-Saïd.Voir la galerie photos
Contrôle des côtes oranaises par le patrouilleur côtier “La Pique” de la Marine nationale.
Le patrouilleur “La Pique” est affecté à la surveillance des côtes oranaises, dans la région de Nemours.Voir la galerie photos
Prise d’armes en l’honneur du départ des dernières troupes françaises d’Alger.
A l’occasion du départ des dernières troupes françaises d’Alger, une prise d’armes a lieu sur le port en présence de l’ambassadeur de France,Voir la galerie photos
L’école de montagne du 22e Bataillon de chasseurs alpins (BCA).
Le centre de haute montagne de Tikjda, situé en grande Kabylie, accueille depuis le 20 mai 1962 les chasseurs alpins.Voir la galerie photos
L’armée boucle le quartier de Bab el Oued à Alger après le “Cessez le feu”.
La conclusion des accords d’Evian relatifs au “Cessez le feu” en Algérie engage dans son article n°2 à interdire tout recours aux actes violents entre le FLN et les forces françaises.Voir la galerie photos
Les explosions de plastic à Alger, après la nuit du 4 au 5 mars 1962.
Opposée aux discussions relatives aux accords d’Evian, l’Organisation armée secrète (OAS) a plastiqué les boutiques de divers quartiers d’Alger tels que Bab-el-Oued, la Casbah ou Belcourt.Voir la galerie photos
L’embarquement des réfugiés harkis dans le port de Bône.
C’est dans des camps de tentes provisoires situés aux environs de Bône que les harkis et leur famille attendent leur départ de l’Algérie pour la France.Voir la galerie photos
Les activités de la harka de Collo.
Dans la petite ville portuaire de Collo et ses environs, le capitaine Fabich commande les 600 harkis répartis dans 11 harkas et divisées en commando.Voir la galerie photos
Suite des manifestations lors des journées des barricades à Alger.
A la suite du limogeage du général Massu par le général De Gaulle, des manifestants sont descendus dans les rues d’Alger, encadrés par des milices.Voir la galerie photos
La harka des Reguibat de Tindouf.
Un groupe de nomades Reguibat, appelés communément “hommes bleus”, par leur port d’un chèche bleu, est employé par la Compagnie saharienne portée d’infanterie de Marine (CSPIMA) comme harkis.Voir la galerie photos
Recrutement des harkis à Palestro.
De nouveaux postulants harkis se présentent au bureau de Palestro, en Kabylie, pour signer un engagement au sein de l’armée française.Voir la galerie photos
L’opération Jumelles, en Kabylie, sous le commandement du général Challe.
Après les succès remportés en Oranie et dans l’Algérois, le général Challe (nouveau commandant en chef de la Xe région militaire) lance l’opération”Jumelles” en Kabylie.Voir la galerie photos
L’application du plan de Constantine à Alger.
Lors de son quatrième voyage en Algérie, le 3 octobre 1958, le général De Gaulle expose à Constantine l’idée d’un plan de développement économique et social afin de transformer le pays.Voir la galerie photos
Les activités du 6e BCA (bataillon de chasseurs alpins) en grande Kabylie.
Les activités du 6e BCA (bataillon de chasseurs alpins) en grande Kabylie.Voir la galerie photos
Raid des engins blindés de reconnaissance (EBR) dans le Sahara.
Un raid d’essai composé d’un peloton de six engins blindés de reconnaissance (EBR) a été organisé pour étudier leur comportement sur les terrains très variés du Sahara.Voir la galerie photos
Vues d’ensemble de la Saoura.
Le département de la Saoura se situe au sud du territoire algérien, dans le Sahara.Voir la galerie photos
Accueil triomphal de Jacques Soustelle à Alger.
Jacques Soustelle reçoit un accueil triomphal à son arrivée à Alger le 17 mai.Voir la galerie photos
Le 13 mai 1958 à Alger.
A la suite d’un ordre de grève lancé pour le 13 mai 1958, une foule nombreuse se masse au pied du monument aux morts d’Alger, au lieu-dit du plateau des Glières.Voir la galerie photos
Saisie de 7,5 tonnes d’armement et de munitions à bord du “Baltic Exporter” dans le port de Bône.
Une importante cargaison d’armes a été saisie sur le bateau “Baltic Exporter”.Voir la galerie photos
Protection de la voie ferrée Oran Colomb-Bechar.
Protection de la voie ferrée Oran Colomb-Béchar soumise aux attaques des rebelles.Voir la galerie photos
Opération “Pennelope” avec le 2e REP (Régiment Etranger de Parachutistes) dans la région de Haddada.
Les soldats du 26e RI (Régiment d’Infanterie) surveillent un site minier dans le secteur autonome de Tebessa.Voir la galerie photos
Les bases aériennes opérationnelles 211 de Télergma, 213 de Bône, 216 d’Oued Hamimin et 149 de Maison-Blanche.
Sur la base aérienne opérationnelle (BAO) 211 de Télergma, baptisée “Lieutenant Pierre Le-Gloan” et réorganisée en 1955, d’importants moyens aériens ont été mis à la disposition des troupes au sol.Voir la galerie photos
Journée d’action psychologique au douar de Renault et de Mazouna.
La tournée de la Compagnie de haut-parleurs et de tracts (CHPT) se déplace dans l’Oranais.Voir la galerie photos
La cérémonie du 14 juillet 1957 à Alger.
Le défilé du 14 juillet se déroule en présence de Robert Lacoste, gouverneur général de l’Algérie, des généraux Salan, commandant interarmées et commandant la Xe Région militaire (RM),Voir la galerie photos
Surveillance à la frontière algéro-tunisienne dans la région de Souk Ahras, dans le Constantinois.
Face au village tunisien de Sakiet Sidi Youssef, un poste tenu par le 153eRégiment d’infanterie motorisée (RIM) assure la surveillance de la frontière dans la région de Souk Ahras, région de Constantine.Voir la galerie photos
Les fusiliers marins de la DBFM (demi brigade de fusiliers marins) en opération au sud de Tlemcen, dans le Djebel Nador.
Les fusiliers marins de la DBFM (demi brigade de fusiliers marins) en opération au sud de Tlemcen, dans le Djebel Nador.Voir la galerie photos
L’arrivée d’une importante partie de l’escadre de Méditerranée dans le port d’Alger.
L’arrivée d’une importante partie de l’escadre de Méditerranée dans le port d’Alger.Voir la galerie photos
Tindouf : “porte du désert”.
Tindouf est une oasis située à 2 000 kilomètres au sud-Ouest d’Alger, à proximité de la frontière marocaine.
Voir la galerie photosOpération de contrôle dans la casbah d’Alger.
Opération de contrôle dans la casbah d’Alger.Voir la galerie photos
Opération de la 5e BC (brigade de cavalerie) dans la région de Montagnac-Nedroma.
Opération de la 5e BC (brigade de cavalerie) dans la région de Montagnac-Nedroma.Voir la galerie photos
La Section administrative spécialisée (SAS) de Khemis.
Le drapeau français flotte sur le village de Khemis organisé en Section administrative spécialisée (SAS), dans le cadre de la Pacification.Voir la galerie photos
La compagnie de haut-parleurs et de tracts (CHPT) dans le village de Gallieni, au nord de Guelma, région de Constantine.
Dans le cadre de l’action psychologique, la compagnie de haut-parleurs et de tracts (CHPT) s’arrête au village de Gallieni.Voir la galerie photos
Le 1er BFM (bataillon de fusiliers marins) dans le douar de Beni Menir.
Le 1re BFM (bataillon de fusiliers marins) de la 1re DBFM (demi-brigade de fusiliers marins) en opération de pacification dans le douar de Beni Menir.Voir la galerie photos
Les élèves du stage “guerre psychologique” visitent les ruines romaines de Tipaza.
Les élèves du stage “guerre psychologique” visitent les ruines romaines de Tipaza.Voir la galerie photos
Le porte-avions “Arromanches” lors d’un exercice en Méditerranée.
Le porte-avions “Arromanches” lors d’un exercice en Méditerranée.Voir la galerie photos
Les soldats du Service Cinématographique des Armées viennent en renfort pour patrouiller lors de la bataille d’Alger.
La « Section rateau » faite par les appelés de la section Algérie du SCA reçoit comme mission une patrouille de nuit dans la banlieue d’Alger.Voir la galerie photos
Protection des moissons dans la région de Constantine.
C’est sous haute surveillance que se déroulent les moissons d’Ain Dalla et Aïn Babouche, à 120 kilomètres au sud de Constantine.Voir la galerie photos
Ouverture et protection de la voie ferrée Alger-Constantine par une compagnie du 9e Régiment de zouaves.
La 1re compagnie du 9e Régiment de zouaves (RZ), composée d’appelés et de rappelés, assure l’escorte des trains de voyageurs et de marchandises Alger-Constantine,Voir la galerie photos
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Par hechache2 le 26 Août 2013 à 18:39
L’immigration algérienne en France
De la fin du XIXè siècle à 1962
La présence algérienne en France s’inscrit désormais sur plus d’un siècle d’une histoire singulière. Les Algériens nourrissent un flux migratoire précoce et important de coloniaux vers la métropole dès la seconde moitié du XIXe siècle. Ni Français, ni étrangers jusqu’en 1962, les Algériens sont tour à tour "indigènes", "sujets français" puis "Français musulmans d’Algérie". Cette immigration qui ne dit pas son nom connaît pourtant bel et bien les difficultés de l’exil et, fait inédit, impulse de la métropole le combat pour l’indépendance.
Aux origines de l’immigration algérienne
L’émigration algérienne ne coïncide pas avec la conquête coloniale de 1830. L’Algérie devient au contraire une colonie de peuplement et une terre d’immigration attirant des centaines de milliers d’Européens (Français, Espagnols, Italiens, Maltais). La mise en place du système colonial sur ce territoire, administré en tant que départements français à partir de 1848, aggrave considérablement la situation des populations autochtones. La paupérisation - exacerbée en milieu rural, la très forte croissance démographique, la pression foncière, les spoliations, le manque de ressources entraînent un double phénomène d’exode rural et d’émigration à la fin du XIXe siècle.
Majoritairement Kabyles, des hommes dans la fleur et la force de l’âge fournissent un apport de main-d’œuvre dans les villes et les exploitations agricoles du littoral méditerranéen de la métropole, avec comme premier point d’ancrage la ville de Marseille. Ils sont employés comme journaliers agricoles, terrassiers, colporteurs ou manœuvres.
La Kabylie, région particulièrement pauvre est le principal réservoir de candidats à l’émigration. Un véritable projet migratoire est élaboré collectivement par la famille ou l’assemblée du village (djema’a). Hommes seuls en métropole mais pas célibataires, ils sont bien souvent mariés par leurs familles avant leur départ, comme une façon de s’assurer leur retour au village. Leur salaire ne leur permet que de survivre en métropole, les sommes durement épargnées devant assurer la subsistance de leurs familles. Ces hommes jeunes et actifs sont désignés pour partir pour une durée prédéterminée, le plus souvent quelques mois, d’où la fréquence des rotations entres départements métropolitains et algériens (en moyenne tous les deux ans). Une fois de retour, ils sont bien souvent relayés par d’autres jeunes hommes de leur village qui les remplacent dans leur logement et même sur leur poste de travail. Les travailleurs migrants d’Algérie composent un véritable noyau communautaire en métropole. Les hommes, sur la base de la famille élargie, du village ou de la région d’origine, se retrouvent et mettent en place un réseau de solidarité et de sociabilité facilitant l’accès à un toit, à un travail, les nouvelles du pays, le maintien de traditions culturelles ou religieuses.La veille de la Première Guerre mondiale révèle l’implantation en métropole d’une véritable communauté algérienne. Mais du fait de leur statut spécifique, ni Français ni étrangers, le dénombrement n’est pas aisé. Lors du recensement de 1901, ils ne sont pas distingués des Français mais apparaît la mention de "travailleurs originaires d’Algérie". Ils restent bien loin derrière les migrants européens. Une enquête de 1912 comptabilise 4 à 5 000 Algériens en métropole dont un millier dans la capitale et sa périphérie. Ils ne font plus seulement partie du salariat agricole, mais appartiennent aussi au prolétariat industriel et urbain. Ils travaillent par exemple à la raffinerie Say, à la Compagnie des Omnibus et sur les chantiers du métropolitain à Paris, les usines Michelin, dans les mines du Pas-de-Calais, les industries lyonnaises, sur les docks du port de Marseille. Le patronat apprécie l’apport de cette main-d’œuvre docile et bon marché, non négligeable eu égard aux forts besoins de l’industrie, et souhaite également y recourir pour briser les grèves ouvrières.
Mais c’est la Grande Guerre qui amorce un mouvement migratoire représentatif vers la France. Près de 100 000 travailleurs d’Algérie auxquels s’ajoutent 175 000 soldats coloniaux sont recrutés entre 1914 et 1918. Les pouvoirs publics renvoient après l’armistice tous les travailleurs et soldats dans leurs colonies d’origine, même si quelques-uns parviennent à rester en France.
L’entre-deux-guerres ou la naissance du nationalisme algérien et l’accélération de l’immigration
Dès 1921, plus de 35 000 "sujets" algériens sont recensés en France, leur nombre atteint plus de 85 000 en 1936, avant de redescendre à 72 000 à la veille de la Seconde Guerre mondiale.
Au sens strict, on ne parle pas d’immigration puisque les Algériens ont la nationalité française et ne sont donc pas des étrangers, tout en ne bénéficiant pas des droits des citoyens français.
Les flux sont soumis à une sévère réglementation. La venue en métropole est subordonnée à la présentation d’un contrat de travail, d’un pécule de garantie, d’un certificat après contrôle sanitaire puis d’une carte d’identité avec photographie.
L’immigration de l’entre-deux-guerres reste une immigration de travail, masculine et jeune, rythmée par de nombreux allers-retours (le solde migratoire est même négatif au début de la crise économique des années 1930). Ce fort courant migratoire suscite maintes critiques en Algérie, essentiellement de la part des autorités, entrepreneurs ou colons inquiets d’une hémorragie de la main-d’œuvre.De l’autre côté de la Méditerranée, la population algérienne fait l’objet d’une prise en charge particulière. L’inauguration de la Grande Mosquée de Paris (1926) puis de l’hôpital franco-musulman (1935) et du cimetière musulman (1937) situés à Bobigny témoigne d’une intention des pouvoirs publics d’assister et de protéger ses "sujets musulmans". Cependant, ces initiatives ne sont pas exemptes d’une volonté de contrôle et de surveillance de la communauté immigrée. Un service est même spécifiquement créé dès 1925 pour remplir cet objectif : le Service des affaires indigènes nord-africaines (SAINA) avec une Brigade nord-africaine. C’est qu’au sein de la communauté algérienne, les idées nationalistes et anticolonialistes se répandent…
Messali Hadj fonde à Paris en juin 1926 l’Étoile nord-africaine. Ses militants s’implantent profondément au sein de la communauté algérienne en prenant appui sur le réseau des cafés-restaurants, des hôtels meublés et des foyers de travailleurs. Le parti nationaliste dénonce le système colonial et revendique l’indépendance de l’Algérie et de l’ensemble des pays du Maghreb. Réunions, tractages, affichages, meetings, journal du parti : les activités nationalistes prennent de l’ampleur autour du Zaïm (guide) et ses 3600 militants actifs. L’Étoile nord-africaine est dissoute le 26 janvier 1937 par un décret du gouvernement du Front populaire. Elle réapparaît le 11 mars suivant sous le nom de Parti du peuple algérien qui est à son tour interdit le 26 septembre 1939.
Lire : Messali Hadj1954-1962 : Les immigrés algériens dans la guerre d’indépendance
La Seconde Guerre mondiale a vu l’arrêt des flux de travailleurs tandis que les troupes algériennes ont payé un lourd tribut à la lutte contre le nazisme et à la Libération de la France.
Les départs vers la métropole reprennent à partir de 1946, facilités par la liberté de circulation, instituée par la loi du 20 septembre 1947.
La guerre d’indépendance, même si elle ralentit légèrement dans un premier temps les nouvelles entrées, ne marque aucun temps d’arrêt dans les migrations algériennes. Au cours de ces huit années de conflit, le nombre des Algériens présents sur le territoire métropolitain passe de 211 000 en 1954 à 350 000 en 1962.Ce phénomène peut sembler a priori contradictoire : une émigration volontaire et massive vers la métropole qui mène la répression et le conflit contre l’indépendance. Mais la misère et la violence coloniale dont souffre la population dite musulmane sont évidemment exacerbées. C’est le cas notamment avec la politique des camps de regroupement. L’armée française définit des zones interdites, vidées de leurs habitants qui sont se retrouvent dans des campements sous surveillance militaire. Ils regroupent deux millions d’Algériens.
Si l’immigration algérienne demeure une migration économique, les hommes occupant les emplois les plus pénibles et les moins rémunérateurs (principalement dans le BTP et la métallurgie), le contexte éclaire les nouvelles tendances : la présence s’allonge (quatre ans en moyenne, au lieu de deux auparavant), les régions de départ se diversifient (la Kabylie reste en tête, suivie par les départements d’Oran, Constantine, les Aurès, Tlemcen…), les hommes émigrent de plus en plus avec leurs familles (7000 familles en 1954, 30 000 en 1962).
L’implantation de cette nombreuse communauté algérienne en métropole devient un enjeu de premier ordre pour les deux partis nationalistes rivaux : le MNA (Mouvement national algérien) du père du nationalisme Messali Hadj, qui doit faire face aux velléités du FLN (Front de libération nationale) qui a déclenché l’insurrection de la Toussaint rouge, le 1er novembre 1954. Leur affrontement dégénère en une lutte fratricide sanglante au terme de laquelle le FLN s’enracine au sein de l’immigration. Elle devient une force d’appui essentielle à la conduite de la guerre d’indépendance par son apport financier (les cotisations étant obligatoires), son poids idéologique et la pression politique symbolisée. En effet, les pouvoirs publics s’inquiètent de l’émergence au cœur de la métropole d’une véritable contre-société algérienne contrôlée par la Fédération de France du FLN.
Les autorités françaises décident donc de mettre en place des services sociaux spécifiques assurant une prise en charge ciblée des Algériens mais remplissant officieusement une mission de renseignement, associés à une répression sévère.
Dans la capitale, ces fonctions sont confiées à partir de 1958 à Maurice Papon, nommé préfet de police après une affectation en Algérie. Il s’inspire de la stratégie qu’il a pu observer dans le département de Constantine. Les services spécialisés maintiennent à la fois le dialogue et la surveillance de la population algérienne tandis que la répression s’intensifie par le biais d’arrestations massives, de détentions dans des centres administratifs (comme le Centre d’identification de Vincennes ouvert à sa demande en 1959), de fichages ; y compris par le recours à des forces supplétives, en l’occurrence la Force de police auxiliaire créée fin 1959 et surnommée "les harkis de Paris".
L’apogée répressive intervient le 17 octobre 1961, au soir d’une manifestation de 22 000 Algériens organisée par le FLN à Paris, durant laquelle 11 538 personnes sont arrêtées et plus d’une centaine tuée.
Le 5 juillet 1962, l’indépendance est célébrée par les immigrés algériens en France à grand renfort de chants et de drapeaux. Une page se tourne, celle d’un fait historique inédit : une guerre coloniale "sans nom", diffusée en métropole où l’immigration se mobilise pour la cause de l’indépendance.
Pour autant, l’espoir du retour ne se concrétise nullement. L’Algérie indépendante voit partir, de plus en plus nombreux, les jeunes actifs vers la France. Ils contribuent à changer durablement et profondément les sociétés des deux pays.
Peggy Derder, historienne et responsable du département éducation à la Cité, auteur du Point sur : Immigration algérienne et guerre d'indépendance
Voir les périodes du film associées à ce dossier :
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Par hechache2 le 26 Août 2013 à 18:08
La Guerre d'Algérie par Images
Archive photos de la révolution Algérienne
Opérations de l'armée Française
Evénements 08 Mai 1945
Les Journaux Français et le déclenchement de la révolution Algérienne
Arrestations et tortures des Prisonniers Algériens
Photos sans commentaires
Massacres après torture
Crâne d'un Chahid ALN en trophée sur char français à Ain beida
Les Moudjahiddines Algériens au Maquis
Entraînements
Souvenirs du Maquis
Vie quotidienne des Moudjahiddins Algériens
Fouille et Arrestations Arbitraires
Arrestation du Chahid Larbi Ben Mhidi
Evénements 1960-1961
Attentats de l'Organisation Armée Secrète (OAS)
Victoire et Indépendance de l'Algérie
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Par hechache2 le 26 Août 2013 à 15:12
Algérie
La Guerre d'Algérie vue par les cinéastes amateurs
Visite de Jacques Soustelle à Constantine, 26 mai 1958
Défilé pro- Algérie Française lors de la venue de Jacques Soustelle à Constantine le 26 mai 1958La semaine des barricades, janvier 1960
Semaine des barricades dans les rues d'Alger en janvier 1960. La scène est filmée depuis un balcon.Référendum pour l'Indépendance de l'Algérie, 1962
Défilé dans les rues d'Alger de civils et de militaires le jour du référendum pour l'indépendance.Indépendance de l'Algérie, 1962
Alger, 1962. Un défilé de célébration de l'indépendance, filmé depuis un balcon, par un français resté en Algérie. Les véhicules et la foule défilent avec des drapeaux algériens.
>Films d'archives des anciennes colonies > Mémoires Partagées
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Par hechache2 le 26 Août 2013 à 15:11
Algérie
Si vous ne réussissez pas à lire les vidéos, téléchargez le plugin quicktime ici : http://www.apple.com/fr/quicktime/Films d'archives de l'Algérie
Réalisés entre 1928 et 1962 en Algérie par des cinéastes amateurs, ces films retracent la vie quotidienne des colons, mais également la vie politique et les évènements de la Guerre d'Algérie.
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