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    Festival Cinema Algerien 2011 avec Dahmane OUZID, realisateur

     

    Durant sept jours (du 29 novembre au 5 décembre 2011), les cinéphiles vont pouvoir se déplacer pour apprécier de nouvelles productions à la faveur d’un festival avec pour seul critère de distinction l’excellence bien que la présente manifestation soit le résultat d’un projet modeste, aux dires de M. Mohamed Bedjaoui et de Mme Zahia Yahi qui ont animés une conférence de presse dimanche dernier en présence d’un parterre de journalistes. Cette sélection de films d’affiche en mettant en avant dans la programmation des réalisations cinématographiques qui soulignent toute la thématique d’engagement pour laquelle ont opté les organisateurs est prise non pas dans le sens politique étroit mais comme la mise en valeur d’idées, de principes et d’éthique que cette petite équipe du festival voudrait défendre dans quelque domaine que ce soit avec un constat en faveur d’un mieux-être de l’homme, d’où la tendance générale de ce festival aux connotations largement humanistes qui engage les discussions autour de la notion de justice et de droits de l’homme. 

    Ce festival, qui n’est qu’un prélude à d’autres événements prochains qui prendront des dimensions encore plus importantes, est cette fois-ci une occasion inespérée pour le public algérien de faire connaissance avec des personnalités du monde du 7e art comme la projection d’un nouveau film d’Oliver Stone Commandante qui relate la vie de Fidel Castro et Poussière de vie de Rachid Bouchareb, qui sera présenté en avant-première pour la clôture officielle et qui traite des enfants pendant la guerre du Vietnam, un film actuellement en compétition au festival de Berlin. Au total 18 films seront projetés suivis de rencontres-débats dans les matinées à partir de 11 heures avec des cinéastes de renom venus spécialement en Algérie pour rencontrer le public comme Philipe Diaz, Jacques Sarasin, Charles Burnett, Pierre Yves Vanderweerd et Larbi Benchiha avec De Gaulle et la bombe qui sera présenté en ouverture demain. 

    Ces productions qui évoquent la protection de l’enfant, l’environnement, la crise économique mondiale ou le statut des femmes seront accompagnées de deux focus sur le cinéma palestinien fait par des femmes. 

    L.G. 
    www.elmoudjahid.com - Festival international du cinéma d’Alger 2011 : Sous le slogan du film engagé 


     
     

     

     

     



     
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    SEMAINE DU FILM ALGÉRIEN À TUNIS

    DU SAMEDI 13 AU DIMANCHE 21 FÉVRIER 2010, MAISON DE LA CULTURE IBN RACHIQ

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    A l’occasion de la commémoration des événements de Sakiet Sidi Youssef, l’Agence algérienne de rayonnement culturel organise, avec l’ambassade d’Algérie à Tunis, une rétrospective destinée à refléter les 5 décennies qui se sont écoulées depuis les premiers films réalisés au cœur de la lutte pour l’indépendance.

     

    Un retour aux sources

     

     

    Par Ahmed Bedjaoui [1]

     

    Le cinéma algérien est né au cœur de la lutte pour l’indépendance. Accueilli par nos frères tunisiens et basé à Tunis. Il a joué un rôle de premier plan pour la propagation des idéaux liés à notre glorieuse lutte de libération nationale. Le jeune réalisateur Saïd Mehdaoui a consacré à cette période un film inédit, intitulé «  Les cinéastes de la liberté  ». Ce documentaire de long métrage décrit comment, entre 1956 et 1962, des cinéastes épris de liberté ont rejoint à Tunis les organes de la révolution algérienne pour soutenir notre combat pas l’image et par le son. Il évoque le rôle joué par des volontaires militants comme les Français René Vautier et Pierre Clément, l’Allemand de l’Est Carl Gass ou encore le Serbe Labudovic. Dans un contexte marqué par une prise de conscience aigue de l’importance de l’image dans le combat, des Algériens comme Mahieddine Moussaoui ou Pierre Cholet vont se charger de la collecte des images tandis que, sur le terrain et derrière la caméra, on retrouvera Djamel Chanderli, le premier cinéaste algérien arrivé à Tunis en 1957. Homme d’une grande modestie, Chanderli ira d’un lieu de combat à l’autre, tournant« Yasmina » ou « Les Fusils de la Liberté » (qui seront présentés en marge de la session de l’ ONU consacrée à la question algérienne) tout en filmant les images insoutenables de l’odieux bombardement colonial contre nos frères et sœurs tunisiens de Sakiet Sidi Youssef. Chanderli sera bientôt rejoint par de jeunes cinéastes tels Mohamed Lakhdar Hamina ou Ahmed Rachedi qui connaîtront à l’indépendance une brillante carrière. Grâce à ces hommes et à d’autres, et grâce aussi au soutien actif de nos frères tunisiens, le cinéma algérien a accumulé une banque d’images qui lui permet de disposer d’une mémoire visuelle réelle et pas du tout fantasmée, comme le pensent certains historiens français.

    Après l’indépendance, le cinéma algérien a poursuivi son engagement au service de l’image de l’Algérie et de sa révolution. Les premiers films de long métrage ont été consacrés à la lutte armée dont nous étions encore si proches.

    Parmi ces films, figure en particulier, «  Le vent des Aurès  » de Mohamed Lakhdar Hamina qui fera sensation dans les festivals comme Cannes où le film remportera le Prix de la Première œuvre et celui de Moscou qui distingua la grande et émouvante actrice Keltoum. Durant la décennie suivant l’indépendance, Lakhdar Hamina va récidiver avec « Hassen Terro » qui a confirmé l’immense talent du regretté Rouiched, tandis que Ahmed Rachedi réalisait, sur un texte de Mouloud Mammeri et dans l’esprit de Frantz Fanon,« L’Aube des Damnés » , en hommage au combat de l’Afrique pour sa libération et son émancipation. Quelques années plus tard, Ahmed Rachedi va réaliser ce qui va rester le chef d’œuvre de sa carrière, « L’Opium et le Bâton » , adapté du roman de Mouloud Mammeri. Parmi les films notables de cette période, citopns « La Voix » de Mohamed Slim Riad et « Décembre » de Lakhdar Hamina.

    Le point culminant de ce cinéma révolutionnaire s’est situé en 1975 avec le magnifique « Chronique des années de braise » de Lakhdar Hamina. Ce film demeure jusqu’à nos jours la seule Palme d’or que le monde arabe et africain ait remportée. Il est aussi l’un des premiers films postindépendance qui ait décrit la situation politique, économique et sociale qui prévalait en Algérie au cours de la décennie précédant novembre 1954.

    Ainsi, et jusqu’au milieu des années 1970, la guerre de libération restera un thème central avant que le cinéma algérien ne commence à se diriger peu à peu vers de thèmes plus sociaux. Pris dans une spirale hollywoodienne, et si l’on excepte « Le Charbonnier » de Mohamed Bouamari, le secteur de la cinématographie n’arrivait pas à se libérer du ton descriptif qui laissait peu de place à l’analyse. Face à cet essoufflement, c’est la Télévision algérienne qui a apporté, contre toute attente, de la fraîcheur et de la créativité.

    « Les Spoliateurs » de Lamine Merbah, « Les Enfants de la Casbah » de Moussa Haddad, ou encore le très beau « Noua » de Abdelaziz Tolbi, ont été les premiers à proposer une approche explicative de la décision des Algériens de déclencher la guerre de libération au prix du plus grand sacrifice. Le dynamisme de la production télévisuelle crée alors des sous thèmes à succès comme la comédie où un certain opérateur de prise de vue triomphe avec la création du personnage de l’inspecteur Tahar. Moussa Haddad aura l’idée de réaliser en partie en Tunisie, le très beau « Vacances de l’Inspecteur Tahar » .

    En 1976, « Omar Gatlato » de Merzak Allouache et en 1981 « Les Enfants du Vent » de Brahim Tsaki créent la rupture définitive entre deux époques charnières, ouvrant du coup au cinéma de thèse sociale. Alternant l’excellent et le moins bon, Merzak Allouache allait offrir au cinéma algérien une belle série avec « Salut Cousin » « Bab el Oued City » et bien d’autres films qui font de lui le cinéaste algérien le plus régulier et le plus prolifique. La Télévision reprend le flambeau en produisant pendant dix ans le meilleur de ce que compte le cinéma algérien.

    Comment ne pas citer « Nahla » de Farouk Beloufa que beaucoup considèrent comme le film le plus accompli de toute l’histoire du cinéma algérien. A la fin des années 70, une équipe technique de la RTA, avec à sa tête le grand directeur photo Youssef Sahraoui, revient en Tunisie pour assister la première coproduction algéro-tunisienne, « Aziza » , réalisé par Abdellatif Benamar. Au cours de la même année, la RTA produisait « La Nouba des femmes du Mont Chenoua » réalisé par l’actuelle membre de l’Académie française, Madame Assia Djebar. Ce film a remporté le Prix de la Critique au Festival de Venise. La même Assia Djebar a réalisé l’année suivante le très beau« Maghreb des années trente ou les chants de l’oubli » .

    Comme en Tunisie, le cinéma algérien va connaître une période difficile due aux réajustements structurels qui ont entraîné un désengagement total de l’Etat, unique source de financement de l’industrie cinématographique depuis l’indépendance de ce secteur d’activités. Dans le même temps, comme partout dans les pays du Maghreb, le public s’est tourné vers la vidéo, provoquant la fermeture massive des salles de cinéma. Cette situation n’a pas découragé les cinéastes algériens qui ont dû apprendre à produire leur film avec les moyens du bord. Avec « Rachida » de Yamina Bachir-Chouikh, le cinéma au féminin se relançait et du coup la lutte contre les idées rétrogrades. De son côté Mohamed Chouikh réalisait peu de temps après, un film très féministe intitulé « Douar Enssa » dans lequel il décrit la résistance de femmes contre les agressions fondamentalistes. Avec Nadia Cherabi, le cinéma algérien au féminin allait se renforcer grâce à son très beau film « L’envers du miroir » .

    Le début du millénaire a marqué pour la production algérienne un nouveau départ. Grâce au fonds d’aide mis en place et à la faveur de manifestations importantes, le Ministère de la Culture a offert son soutien financier à des dizaines de films, au point où plus de vingt long métrages ont été réalisés en 2007 et plus de 60 entre 2003 et 2009. Ces années ont vu la révélation de talents comme Amor Hakkar et son superbe film « La Maison jaune » ou encore Tarik Teguia , auteur de « Roma » , et plus récemment « Gabla » . Ces deux cinéastes ont, grâce à des formats de production audacieux, apporté au cinéma algérien une manière nouvelle d’aborder la narration et l’espace filmique.

    La troisième grosse et récente satisfaction est venu de Lyès Salem qui, avec« Mascarades » a conquis les cœurs et les esprits des spectateurs, avec au passage de nombreux prix dans des festivals prestigieux.

    Il serait trop long de citer tous ceux qui, au long de la dernière décennie, ont réalisé des films marquants, mais signalons pour le moins les cinéastes qui figurent dans cette rétrospective. Parmi eux Mehdi Charef, auteur du magnifique« Cartouches Gauloises » et Abdelkrim Bahloul, auteur du « Voyage à Alger » , présenté récemment dans deux festivals.

    Terminons avec Rachid Bouchareb qui, après « Indigènes » , a réalisé l’émouvant et subtil « London River » qui a valu à son acteur principal, Sotigui Kouyaté, le prix d’interprétation au Festival de Berlin en 2009. Bouchareb vient d’achever à Sétif et dans les studios de Benarous près de Tunis, une nouvelle coproduction algéro-tunisienne, « Hors la loi » qui s’annonce comme un film ambitieux. Avec ce nouveau film et celui que Abdelatif Benamar est en train d’ achever, la coopération cinématographique entre l’Algérie et la Tunisie, scellée dans la lutte commune pour la liberté, a encore franchi un pallier prometteur.

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    Regards sur le cinéma algérien" à Languedoc-Roussillon

     

    ALGER - Le sixième festival "Regards sur le cinéma algérien" sillonnera, à partir du 7 février et jusqu’à la fin du mois d’octobre 2013, la région du Languedoc-Roussillon (sud de la France), 



    pour faire connaître le cinéma algérien des cinquante dernières années, a-t-on appris dimanche auprès du président de l’association, Jaques Choukroun.

    Le festival, de l’association du même nom, se déplacera dans les vingt villes de la région, en commençant par Montpellier avec la projection de "Chroniques des années de braise" de Mohamed Lakhdar Hamina, a indiqué Jaques Choukroun.

    Cinéma algérien

    Les dernières productions algériennes dont "Yema" de Djamila Sahraoui, "Harraga blues" de Moussa Haddad et "Zabana !" de Said Ould Khelifa qui devrait bientôt être distribué en France, seront à l’affiche dans une trentaine de salles de projections (salles de cinéma, ciné-club, médiathèque et projections en plein air), a-t-il dit.

    D’autres films récents seront également programmés lors de cette tournée cinématographique comme "Normal" et "El Taib" (Le repenti) de Merzak allouache ainsi que "Imeskedhev (Le menteur, 2012)", film d’expression amazigh d’Ali Mouzaoui.

    Moussa Haddad présentera "Harraga blues" et "Les vacances de l’inspecteur Tahar", aux côtés des Adila Bendimered et Nabil Asli qui représenteront le film "El Taib".

    Le cinéma algérien des premières années de l’indépendance sera aussi représenté par "Avoir 20 ans dans les Aurès" de René Vautier, et "Hassan Terro" de Mohamed Lakhdar Hamina, tous deux sortis en 1972.

    L’association "Regards sur le Cinéma Algérien", a été créée en 2009 par des associations et des professionnels du cinéma, réunis autour de la société "Les films des deux rives". Elle se consacre à la diffusion du 7ème art algérien pour le faire découvrir au grand public en France, rappellent ses promoteurs.

    Source APS du 04 Février 2013

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  • <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Les Hors-la-loi (film kabyle 1969)

    Les Hors-la-loi (film kabyle 1969)

    En prison, peu après la fin de la Seconde Guerre mondiale, trois jeunes hommes font connaissance. Une fois évadés, ils s’engagent dans la lutte pour l’indépendance 1969, Vost) Partagez sur vos réseaux sociaux à partir de Chouf-Chouf.com !

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    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Débat historique entre le colonel Trinquier et Yacef Saadi au sujet de la bataille d’Alger (1970, 2ème partie)

    Débat historique entre le colonel Trinquier et Yacef Saadi au sujet de la bataille d’Alger (1970, 2ème partie)

    Débat inédit entre Yacef Saadi et le colonel Trinquier sur le film « La bataille d’Alger » réalisé par l’italien GILLO PONTECORVO ensemble ils évoquent des souvenirs de cette période et parlent de la torture. Partagez sur vos réseaux sociaux à partir de Chouf-.

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    <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Débat historique entre le colonel Trinquier et Yacef Saadi au sujet de la bataille d’Alger (1970, 1ère partie)

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    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    UNE FEMME POUR MON FILS (1982) Film Algérien Complet. امرأة لابني .

    UNE FEMME POUR MON FILS (1982) Film Algérien Complet. امرأة لابني .

    Le film Algérien «Une femme pour mon fils» a été écrit et réalisé par Ali Ghanem, avec Isma, Chafia Boudraa, Mustapha Kasderli, Farida, Mustapha Halo. Film (1982). 1h05 Partagez sur vos réseaux sociaux à partir de Chouf-Chouf.com !

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  • <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Hassan Taxi (1982)

    Hassan Taxi (1982)

    Hassan Taxi est une comédie algérienne réalisé par Mohamed Slim Riad sortie en 1982 . Hassen, fatigué, usé par les longues années de post indépendante obtient en tant qu’ancien combattant, une licence de Taxi, il sillonnera les rues d’Alger et vivra les aventures les plus rocambolesques. Partagez sur vos réseaux sociaux à partir de Chouf-Chouf.com !

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    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    « Chronique des années de braise Â» de Mohammed Lakhdar-Hamina (1975, 2ème partie)

    « Chronique des années de braise » de Mohammed Lakhdar-Hamina (1975, 2ème partie)

    2ème partie du film de Mohamed Lalhdar-Hamina, palme d’or au Festival de Cannes en 1975. Durée : 2h57. Avec Yorgo Voyagis, Mohammed Lakhdar-Hamina, Leila Shenna, Cheikh Nourredine, François Maistre. Scénario de Mohamed Lakhdar-Hamina, Rachid Boudjedra et Tewfik Fares. Quelques jours avant que n’éclate la seconde guerre mondiale, Ahmed laisse derrière lui ses souvenirs et son village (…)

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    </article>
    <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    « Chronique des Années de Braise Â» de Mohammed Lakhdar-Hamina (1975, 1ère partie)

    « Chronique des Années de Braise » de Mohammed Lakhdar-Hamina (1975, 1ère partie)

    1ère partie du film de Mohamed Lalhdar-Hamina, palme d’or au Festival de Cannes en 1975. Durée : 2h57. Avec Yorgo Voyagis, Mohammed Lakhdar-Hamina, Leila Shenna, Cheikh Nourredine, François Maistre. Scénario de Mohamed Lakhdar-Hamina, Rachid Boudjedra et Tewfik Fares. Quelques jours avant que n’éclate la seconde guerre mondiale, Ahmed laisse derrière lui ses souvenirs et son village (…)

    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;">
    Lakhdar Hamina sur « Chronique des années de braise Â»

    Lakhdar Hamina sur « Chronique des années de braise »

    Le cinéaste Mohamed Lakhdar-Hamina parle dans cette interview de son film « Chronique des années de braise » qui a reçu la palme d’or au festival de Cannes en 1975. Film assez long (2h57), il est composé en forme de chronique événementielle de l’Algérie de 1939 à 1954 et met en relief deux dimensions structurantes : l’expropriation des (…)

    </article>
    <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Inspecteur Tahar censuré

    Inspecteur Tahar censuré

    Bachir Derrais, producteur, à Chouf-chouf :  » Ce film a commencé à être censuré après le départ de Abdou B de la télé vers 95. A partir de cette date à chaque passage on lui coupe une scène, une réplique etc… Si cela continue, il deviendra bientôt un court métrage ! ». Le film « Les vacances (…).

    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;">
    L’Inspecteur Tahar au théâtre

    L’Inspecteur Tahar au théâtre

    Hadj Abderrahmane est né à Alger, d’une famille kabyle. Héritier de Rachid Ksentini, de Touri ou de Don Quichotte, il entre à la RTA dès l’indépendance après une enfance et une adolescence très difficile à El-Harrach. Il est d’abord opérateur technique et cameraman. Avant de se lancer dans les aventures de l’Inspecteur Tahar – personnage (…)

     

    </article>
    <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Ma double-culture du bled (passé et présent)

    Ma double-culture du bled (passé et présent)

    A quoi ressemblait le music-hall algérien d’avant-guerre? (J’adore adapter à l’histoire algérienne les expressions  » music-hall » et « avant-guerre). Bonne question et une jolie piste de réponse avec ce télé- show  » El Sahra Al Mahdoufa » filmée par la télévision française d’Algérie en 1951. Spectacle conçu par Boudali Safir et réalisé par… André Zagobada. Avec Fadéla (…)

     

    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"></header>
    Machaho

    Machaho

    Larbi est recueilli par un paysan kabyle, Arezki, qui le sauve d’une mort certaine. Lors de sa convalescence, le jeune homme tombe amoureux de la fille d’Arezki, qui decouvre qu’elle est enceinte alors que Larbi a quitte le village. Pour venger son honneur, Arezki part a sa recherche. Entre-temps, Larbi revient et prend en charge (…)

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    <article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 0px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Les enfants de novembre

    Les enfants de novembre

    « Les Enfants de Novembre » est un film algérien produit par la télévision algérienne et réalisé en 1975 par Moussa Haddad. Il retrace le combat héroïque des enfants de la guerre de Libération contre la France. Partagez sur vos réseaux sociaux à partir de Chouf-Chouf.com !

    </article><article class="span6 post" style="float: left; min-height: 30px; margin-left: 19.734375px; width: 375.125px; background-color: white; box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; -webkit-box-shadow: rgba(0, 0, 0, 0.298039) 2px 2px 7px 0px; margin-bottom: 20px; box-sizing: border-box;"><header class="post-header" style="overflow: hidden; padding: 5px;"> </header>
    Carnaval fi Dachra

    Carnaval fi Dachra

    Makhlouf Bonbardier décide d’être élu maire d’une dechra (village). Il s’entoure alors de partenaires fiables pour organiser une très grande compagne pour son élection. Bonbardier devient le maire du village et organise un festival international pour faire la concurrence au festival de Carthage. Dans son action, il est poursuivi par la cour des comptes pour (…)

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    </article>
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