• Voici quelques propositions pour la réalisation d'un film :

     

    Développez une vision claire pour votre film : Déterminez le genre, l'histoire, le ton et l'esthétique que vous souhaitez réaliser.

     

    Élaborez un scénario solide : Créez un script captivant avec des personnages bien développés, une intrigue intéressante et des dialogues percutants.

     

    Constituez une équipe talentueuse : Travaillez avec des professionnels expérimentés dans tous les aspects de la réalisation, tels que le directeur de la photographie, le monteur, le chef décorateur, etc.

     

    Planifiez la production : Établissez un calendrier de tournage détaillé, organisez les lieux de tournage, les costumes, les accessoires, etc.

     

    Faites des repérages : Visitez les lieux de tournage potentiels pour vous assurer qu'ils correspondent à votre vision et planifiez les angles de caméra appropriés.

     

    Choisissez les acteurs : Effectuez des auditions pour trouver les acteurs qui correspondent le mieux aux personnages de votre film et organisez des répétitions pour travailler sur les performances.

     

    Créez une atmosphère collaborative sur le plateau : Encouragez la communication et la créativité entre l'équipe et les acteurs pour tirer le meilleur parti de chaque scène.

     

    Capturez des images de qualité : Collaborez étroitement avec le directeur de la photographie pour créer des compositions visuellement attrayantes et utilisez des techniques cinématographiques pour renforcer le récit.

     

    Soignez la direction artistique : Travaillez avec le chef décorateur et le styliste pour créer des décors et des costumes qui reflètent l'époque, l'ambiance et la vision du film.

     

    Assurez-vous d'une bonne qualité sonore : Utilisez du matériel d'enregistrement audio professionnel et veillez à ce que le son soit clair et bien équilibré.

     

    Expérimentez avec le montage : Collaborez avec le monteur pour trouver le rythme et la structure qui renforcent le récit de votre film.

     

    Intégrez une musique et une bande sonore adaptées : Choisissez des compositions originales ou des chansons préexistantes pour créer l'ambiance et renforcer les émotions du film.

     

    Effectuez des révisions et des retouches si nécessaire : Prenez le temps de visionner et d'évaluer le film à différents stades de la post-production pour vous assurer qu'il atteint votre vision initiale.

     

    Faites des tests de projection : Organisez des projections de test pour obtenir des retours d'un public cible et apportez les ajustements nécessaires en conséquence.

     

    Réalisez une campagne de marketing et de distribution : Planifiez la promotion de votre film et explorez les options de distribution pour atteindre un public plus large.

     

    Chaque étape est essentielle pour la réalisation d'un film réussi, alors assurez-vous de donner à chaque aspect l'attention qu'il mérite. N'oubliez pas de rester ouvert aux idées et aux collaborations tout au long du processus, car cela peut souvent enrichir le résultat final.

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  • Voici les 20 étapes pour réussir un film d'amour se déroulant à Paris pendant la Deuxième Guerre mondiale :

     

    Effectuez des recherches approfondies sur la période historique et les événements spécifiques de la Deuxième Guerre mondiale à Paris.

    Identifiez les éléments clés de l'histoire d'amour, tels que les personnages principaux et leur relation.

    Créez des personnages complexes et multidimensionnels, avec des motivations claires et des conflits internes.

    Établissez un contexte réaliste en décrivant la vie quotidienne des Parisiens pendant la guerre.

    Introduisez le lieu emblématique de Paris comme un personnage à part entière, en utilisant des décors et des paysages pittoresques.

    Élaborez une intrigue captivante qui mélange l'amour et les défis de la guerre.

    Créez des scènes d'introduction convaincantes pour présenter les personnages et l'environnement de l'époque.

    Établissez rapidement la connexion entre les personnages principaux et laissez se développer leur histoire d'amour.

    Intégrez des obstacles liés à la guerre, tels que les séparations forcées, les dangers imminents et les dilemmes moraux.

    Utilisez les événements historiques comme toile de fond pour renforcer la tension dramatique.

    Équilibrez les moments d'action et de suspense avec des scènes intimes et émotionnelles.

    Développez les personnages secondaires pour enrichir l'histoire et offrir différents points de vue.

    Utilisez le dialogue pour exprimer les émotions et les conflits internes des personnages.

    Intégrez des scènes musicales ou des références culturelles de l'époque pour renforcer l'immersion dans l'atmosphère de la guerre à Paris.

    Faites évoluer la relation amoureuse en décrivant les changements et les défis auxquels les personnages sont confrontés.

    Créez des retournements de situation inattendus pour maintenir l'intérêt du public et éviter les prévisibilités.

    Évitez les stéréotypes et développez des personnages féminins forts et indépendants.

    Utilisez la photographie et la mise en scène pour capturer la beauté de Paris et créer une ambiance visuelle évocatrice.

    Apportez une conclusion émotionnelle et mémorable qui résout les conflits et laisse une impression durable.

    Travaillez avec une équipe compétente et passionnée pour donner vie à votre vision cinématographique.

    En suivant ces 20 étapes, vous serez en mesure de créer un film d'amour authentique et poignant se déroulant à Paris pendant la Deuxième Guerre mondiale. Laissez votre créativité et votre sensibilité guider chaque aspect de la production pour offrir une expérience cinématographique inoubliable.

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  • Voici 20 astuces pour écrire un scénario de drame familial :

     

    Commencer par définir une problématique centrale qui va structurer l'ensemble de l'histoire. Par exemple, la perte d'un parent, la maladie, le divorce, la trahison, etc.

     

    Créer des personnages complexes et nuancés, avec des failles et des qualités, qui vont incarner les différentes positions par rapport à la problématique centrale.

     

    Décrire des relations familiales qui sont à la fois crédibles et complexes, avec des tensions, des conflits et des enjeux émotionnels forts.

     

    Mettre en scène des moments clés de la vie familiale : les repas, les fêtes, les vacances, les crises, etc.

     

    Utiliser un point de vue particulier, qui peut être celui d'un personnage en particulier, ou un point de vue omniscient qui permet de suivre les différents personnages dans leur parcours.

     

    Introduire des flashbacks pour éclairer le passé des personnages et expliquer les motivations qui les poussent à agir de la manière dont ils le font.

     

    Écrire des dialogues qui sonnent juste et qui reflètent la personnalité des différents personnages.

     

    Éviter les clichés et les stéréotypes, en créant des personnages originaux et en explorant des thèmes complexes.

     

    Trouver un ton juste, qui peut être dramatique, mais aussi mélancolique, ironique ou poétique.

     

    Éviter les jugements moraux, en laissant les personnages prendre leurs propres décisions, même si celles-ci peuvent paraître critiquables.

     

    Créer une atmosphère qui reflète l'ambiance de la famille, que celle-ci soit joyeuse ou pesante.

     

    Utiliser des éléments symboliques pour renforcer le propos, comme des objets, des lieux, des couleurs, etc.

     

    Faire des recherches pour s'assurer de la crédibilité des éléments du scénario, que ce soit sur le plan juridique, médical, psychologique, etc.

     

    Écrire des scènes qui peuvent toucher le spectateur en profondeur, en exploitant les émotions de manière subtile et nuancée.

     

    Trouver un équilibre entre l'émotion et l'action, en veillant à ce que le scénario avance de manière cohérente.

     

    Utiliser des ellipses pour éviter les longueurs et pour maintenir l'intérêt du spectateur.

     

    Faire attention aux transitions, en veillant à ce que les différentes séquences du scénario s'enchaînent de manière fluide.

     

    Éviter les répétitions et les redites, en veillant à ce que chaque scène apporte une information nouvelle.

     

    Écrire une fin qui soit satisfaisante, tout en évitant les happy endings artificiels.

     

    Relire et corriger le scénario plusieurs fois, en demandant des avis extérieurs, pour s'assurer que l'ensemble est cohérent et que les personnages sont crédibles et attachants.

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  • Voici dix astuces pour faire un court métrage :

     

    Définir une idée solide : Trouvez un concept intéressant et accrocheur pour votre court métrage. Cela pourrait être une histoire émouvante, une situation comique ou un concept original qui attire l'attention des spectateurs.

     

    Écrire un scénario concis : Un court métrage doit raconter une histoire de manière efficace et concise. Élaborez un scénario clair et concis, en vous concentrant sur les moments clés de l'intrigue et en éliminant les éléments superflus.

     

    Planifier et organiser : Établissez un plan détaillé pour la production de votre court métrage. Prévoyez le calendrier, les lieux de tournage, les acteurs, l'équipement et tous les autres éléments nécessaires à la réalisation de votre vision.

     

    Travailler avec une équipe talentueuse : Rassemblez une équipe compétente et passionnée pour vous aider à réaliser votre court métrage. Collaborez avec des personnes qui partagent votre vision et qui peuvent contribuer à améliorer le résultat final.

     

    Utiliser efficacement le temps d'écran : En raison de la durée limitée d'un court métrage, chaque seconde compte. Utilisez le temps d'écran de manière efficace en évitant les scènes inutiles et en vous concentrant sur les éléments essentiels de l'histoire.

     

    Soigner la qualité de l'image et du son : Assurez-vous d'avoir une bonne qualité d'image et de son dans votre court métrage. Utilisez un équipement adéquat et veillez à ce que l'éclairage, la composition et le mixage audio soient de haute qualité.

     

    Exploiter la puissance de l'économie de moyens : Les contraintes budgétaires sont souvent présentes lors de la réalisation d'un court métrage. Profitez de ces limitations pour stimuler votre créativité et trouver des solutions astucieuses pour rendre votre film visuellement attrayant.

     

    Faire preuve d'originalité : Les courts métrages offrent une occasion de se démarquer et d'expérimenter avec des idées originales. Ne craignez pas d'explorer de nouveaux territoires et de proposer des approches narratives uniques pour captiver votre public.

     

    Éditer avec soin : L'étape du montage est cruciale pour donner le rythme et la cohérence à votre court métrage. Prenez le temps de sélectionner les meilleures prises de vue, d'ajuster le rythme et d'ajouter des effets visuels ou sonores si nécessaire.

     

    Faire des festivals : Une fois votre court métrage terminé, soumettez-le à des festivals de films. C'est une excellente occasion de promouvoir votre travail, de rencontrer d'autres cinéastes et de faire connaître votre talent au public et à l'industrie du cinéma.

     

    N'oubliez pas que la pratique et l'expérience sont essentielles pour s'améliorer en tant que cinéaste. Ne soyez pas découragé par les échecs et continuez à réaliser des courts métrages pour affiner vos compétences et affirmer votre style.

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  • LES DUPES d’AHMED BENZELIKHAUn film dans un roman d’actualité

    Ne vous laissez pas duper, c’est bien plus qu’un roman ! L’histoire commence avec une intrigue amoureuse à l’ère de l’internet où les liens se tissent dans les silences des nuits solitaires et lorsque l’âme cherche affection et attention, fuyant la morosité de la vie maritale.


    Matt, le peintre amoureux sincère, offre à Narta un tableau tout en refusant de céder à la tentation, revenant à l’idéal de l’être, moulé dans les valeurs, authentique autant que peut être sa toile, œuvre d’art née de sa passion.


    Le lecteur réalisera vite que l’amour n’en est pas le sujet principal. L’amour rêvé glisse entre les lignes, comme cette peinture qui finira en lambeaux sous le coup de la colère avant d’être brûlée, réduite en cendres.
    L’auteur Ahmed Benzelikha a abordé dans ce roman plusieurs thèmes qui s’enchaînent allègrement, très subtil dans ses choix.

    L’histoire ne tourne pas autour des relations amoureuses virtuelles, car la vraie vie va les rattraper. D’autres personnages vont entrer en scène et tous ont un rôle à jouer dans un monde où tout va très vite. Il faut les suivre, tenter de comprendre ce qui se trame, pour ne pas s’y perdre. Comme dans la vraie vie, ils apparaissent, puis laissent la place à d’autres.

    Si un jour ce roman est repris en film, le téléspectateur restera scotché à l’écran pour ne rien rater. Il est question d’amour, de pouvoir et d’intérêts. En une seconde, on passe de vie à trépas, sans voir la mort arriver. Il y a des retournements de situations qui font de l'intrigue une véritable partie d'échecs faite de coups de maîres totalement inattendus mais très patiemment travaillés.


    Ahmed Benzelikha a su mettre des images en mots, révélant la dangerosité des réseaux sociaux et du monde virtuel où il n’y a aucune pitié, où le vrai est noyé dans le faux et où les faux semblants se parent «d’authenticité», où les personnages temporaires sont capables du meilleur comme du pire.

    Tout cela sous sa belle plume où un air de poésie se lit dans certains passages, accroche et captive le lecteur jusqu’à la fin.


    L’écrivain et poète Ahmed Benzelikha, dont on connaît le talent littéraire, ne pare pas son roman de passages futiles. Il va à l’essentiel pour que le lecteur n’ait pas à sauter les pages par ennui, pour retrouver le fil du récit aussi captivant que profond.


    À lire Les dupes, roman dont les thèmes universels resteront longtemps d’actualité et surtout pour découvrir QUI DUPE QUI ?
    Les dupes de Ahmed Benzelikha est paru en 2021 chez Casbah Éditions.


    Romancier, essayiste, linguiste, financier, Ahmed Benzelikha est aussi spécialiste en communication. Le 16 mai 2023, il animera une conférence sous le titre «Vivre ensemble à l’ère du numérique» à l’occasion de la Journée international du vivre ensemble en paix, à dix heures, au siège de l’Unesco à Alger.
    Adila Katia

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  • 76e Festival de CannesUne programmation mitigée

    La 76e édition du Festival de Cannes se tiendra du 16 au 27 mai avec un retour remarqué de certains cinéastes célèbres et un film d’ouverture qui ne fait pas l’unanimité. Deux réalisateurs algériens seront par ailleurs au programme.

    C’est dans un contexte tendu marqué par des menaces d’actions coups-de-poing des syndicats français mobilisés contre la réforme des retraites en France que se tiendra le 76e Festival de Cannes. L’annonce de la sélection officielle et des films programmés dans les différentes sections suscite de nombreuses réactions, à commencer par le film d’ouverture.

    En effet, ce dernier n’est autre que le dernier long-métrage de Maïwenn, Jannes du Barry, l’une des plus célèbres courtisanes de la monarchie, favorite du roi Louis XV. La réalisatrice y joue le rôle-titre et partage l’affiche avec Johnny Depp, marquant ainsi le retour de l’acteur américain après son procès tonitruant contre Amber Heard pour violences conjugales.

    Si la star a eu gain de cause contre son ex-compagne aux yeux de la justice américaine, il n’a pas pour autant été blanchi des accusations de violences physiques et morales ; c’est sans doute pour cela qu’il peine à reprendre sa place à Hollywood. Qu’il soit repêché par une réalisatrice française, connue par ailleurs pour ses positions anti-féministes, n’est pas surprenant en soi mais c’est le choix du film pour l’ouverture du Festival de Cannes qui suscite la controverse.


    Le directeur de la manifestation s’est d’ailleurs justifié en invoquant les qualités du film ainsi que la décision de la justice américaine. Il n’en reste pas moins qu’à l’échelle symbolique, ce choix est interprété comme une insulte aux femmes victimes de violences.


    Paradoxalement, la sélection officielle de cette 76e édition compte une participation record des réalisatrices avec six femmes en lice pour la Palme d’Or, dont la Tunisienne Kaouther Ben Hania et son long-métrage Les filles d’Olfa. Le cinéaste algéro-brésilien Karim Aïnouz est également en compétition avec son dernier film Firebrand, un biopic de Catherine Parr, la dernière épouse du roi Henri VII et l’une des rares à lui avoir survécu.


    Du côté de la Quinzaine des cinéastes, on note la participation du court-métrage du réalisateur algérien Mouloud Aït Liotna, La maison brûle, autant se réchauffer, entièrement tourné en Kabylie.


    Cette 76e édition verra, par ailleurs, la participation des derniers films de grands noms du cinéma mondial, à l’instar d’Aki Kaurismaki qui présentera Les feuilles mortes, une comédie dramatique sur la recherche de l’amour ; Wes Anderson avec Asteroïd City ; Nani Moretti avec Vers un avenir radieux ; Nuri Ceylan avec Les herbes sèches ; Ken Loach avec The Old Oak, Wim Wenders avec Perfect Days, etc.

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  • Retour des rencontres cinématographiques en septembre

    Après trois ans d’absence, les Rencontres cinématographiques de Béjaïa seront de retour du 23 au 27 septembre prochain, a-t-on appris, dimanche, auprès de l'association «Project heurt's» organisatrice de la manifestation.


    Le directeur artistique de l'événement, Hakim Abdelfettah, a précisé à l'APS qu'un appel international à film a été lancé et est en cours depuis le 1er avril courant, soulignant que la manifestation a été suspendue en 2020 et 2021, en raison de la pandémie de covid-19, puis pour des problèmes de financement en 2022.


    Ce rendez-vous culturel «majeur» ambitionne, pour cette année, de revenir avec «l’éclat qui lui est connu», en alternant la projection de films (courts et longs métrages, documentaires et d’animation), la formation (masterclass et ateliers) et les tables rondes autour des œuvres à visionner, selon la même source.

    Une moyenne de 30 à 35 films est au menu de Rencontres cinématographiques de Béjaïa, avec en prime la présence des réalisateurs, invités non seulement pour présenter leurs œuvres, mais également en débattre et aussi saisir l’opportunité pour rendre compte et expliquer leurs sensibilités et leurs visions du monde et des choses, a ajouté le directeur artistique.


    Pour l’heure, aucun thème générique n’est à l’ordre du jour, dira Hakim Abdelfettah, qui n’exclut pas, néanmoins, d’en arrêter un, une fois les œuvres qui parviendront suite à l’appel visionnées et retenues.

    Le choix est laissé ainsi libre au cinéaste quant au thème et à la nature du produit qu’il compte présenter, pour peu qu’il allie «pertinence et esthétique», a-t-il affirmé.


    En quelques jours, plus de 200 films ont été soumis à proposition et la direction artistique de l’association «Project heurt's» est déjà à l’œuvre pour opérer les premiers filtrages.


    Ce nombre d'œuvres déposées augure déjà d’un «premier succès», s’est réjoui Hakim Abdelfettah.
    «Beaucoup d’institutions et d’organisations ont donné leur accord de principe pour y apporter leur contribution», a-t-il affirmé.

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  • Début du tournage à Alger d’un film sur le martyr P’tit Omar

    Le tournage du film documentaire L’icône des enfants a débuté dernièrement à Alger. Cette nouvelle production entre dans le cadre du processus de production que le ministère des Moudjahidine et des Ayants droit a mis en place pour célébrer le 60e anniversaire de l'indépendance, qui appelle à la production de films historiques liés aux dirigeants et symboles de la glorieuse Guerre de libération nationale.


    Le film, dont le scénario est écrit par le journaliste et écrivain Abdelkrim Chegrouche, abordera le parcours révolutionnaire de Omar Yacef, surnommé «P’tit Omar» (à cause de son jeune âge), mort en martyr le 8 octobre 1957, au 5, rue des Abdérames, à La Casbah d’Alger, à l’âge de 14 ans, en compagnie des martyrs Hassiba Ben Bouali, Ali La Pointe (Ali Ammar) et Mahmoud Bouhamidi.

    Les quatre combattants avaient préféré plutôt mourir que de se rendre aux paras français qui encerclaient la maison.
    Le film documentaire, produit par la société privée Tulipe Prod (producteur exécutif), sera réalisée par le réalisateur Hakim Boudaba. La grande actrice Aïda Guechoud joue un des rôles principaux dans ce documentaire d’une durée de 26 minutes.


    Dans une déclaration exclusive au Soir d’Algérie, Abdelkrim Chegrouche a souligné que le film montrera «le courage et la détermination de l’enfant Omar Yacef, aux côtés des révolutionnaires de La Casbah qui ont sacrifié leur vie et leurs privilèges pour résister et combattre l’occupant français.

    D'une scène à l'autre, nous découvrirons les atrocités et les crimes commis par le colonialisme français contre le peuple algérien sans défense. Nous découvrirons comment les Algériens, dont l'enfant Omar, se sont unis pour combattre l'usurpateur de la terre d'Algérie».


    Abdelkrim Chegrouche a ajouté que les raisons qui l'ont poussé à écrire le scénario du film documentaire L’icône des enfants sont multiples et ramifiées, dont la plus importante est peut-être la question qu'il s'est toujours posée : «Que représente l'enfant Omar aujourd'hui pour la nouvelle génération d’Algériens ? Est-ce que notre jeunesse le connaît vraiment ? Quelle est son opinion à son sujet ?»

    Chegrouche, qui assume aussi les fonctions de premier assistant réalisateur dans ce travail,a indiqué, par ailleurs, que «le principal résultat de la production de ce documentaire est sa participation à des forums nationaux pour tout ce qui concerne le secteur des moudjahidine et des ayants droit, la participation aux festivals nationaux et internationaux ainsi que sa distribution aux établissements d'enseignement et de formation.

    Ceci sans oublier son éventuelle commercialisation auprès des chaînes satellitaires intéressées par le domaine de la documentation».
    Abdelkrim Chegrouche est titulaire de diplômes universitaires algériens en informatique, dans la gestion et la presse écrite. Il est également titulaire d'un diplôme français en techniques d'écriture cinématographique et dramatique. Il est l’auteur de nombreux scénarios pour la Télévision algérienne et des chaînes privées.


    Son roman intitulé La rue de Dieu a été sélectionné parmi les travaux des plateformes de gestion des projets de recherche et de formation universitaire, sous la direction des enseignants-chercheurs, maîtres de conférences et doctorants de l'université d'Oran 2.
    Kader B.

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  • Mardi dernier, le film algérien La Dernière Reine a fait l’événement dans la capitale française, avec une séance de projection à l’UGC Ciné Cité Les Halles, en présence des comédiens Adila Bendimerad (rôle de la reine Zaphira), Dali Bensalah (Aroudj Barberousse), Nadia Tereszkiewicz (Astrid La Scandinave), Imen Noel (reine Chegga), Ahmed Zitouni (corsaire bosniaque), du réalisateur Damien Onouri et des compositeurs Evgueni Galperine et Sacha Galperine.

    Une plus grande salle a été ouverte aux cinéphiles après l'indisponibilité des places dans celle initialement prévue.

    A Paris, il y a 147 colonnes Morris (supports publicitaires) revêtues des affiches et des images de ce film historique réalisé par Damien Ounouri et Adila Bendimerad et dont la sortie en salles, en France, a été programmée pour le 19 avril 2023.


    L’avant-première de La Dernière Reine était prévue le 10 décembre dernier à la salle Ibn Zeydoun, à Alger. Elle a été «annulée» à la dernière minute…
    K.  B. 

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  • Prix des Critiques Dramatiques Arabes: Trois feuilletons algériens nommés

    Prix des Critiques Dramatiques Arabes: Trois feuilletons algériens nommés

    Cette année le drama algérien a retrouvé sa place. Il s’impose même sur la scène artistique arabe. En effet, trois feuilletons algériens sont nominés pour le prix des Critiques Dramatiques Arabes. Il s’agit de « Edamma » « Jeu de Dame », « 11 11 » (Onze Onze) et « El Ikhtiyar El Awel » (le Premier choix).

    Cependant, « Le Premier choix » réalisé par Mohamed Iyad, produit avec Réda City 16 et diffusé sur Echorouk TV est la seule œuvre qui a réussi à s’imposer dans les votes du public. Il a généré plus de 90 000 votes.

    Ce drama social et policier qui regroupe 68 comédiens d’Algérie et de Tunisie, traite plusieurs sujets. Il parle de drogue, de guerre des gangs, de contrebande, de la mafia, de viol, de meurtre, de vengeance et de relation parent enfant.

    Cette série est également suivie dans les pays du grand Maghreb, en particulier en Tunisie. Elle est campée par une constellation d’acteur, à l’instar de Yasmine Ammari, Imad Benchenni, Ahmed Meddah, Kenza Morsli, Ania Hmimid, Réda City 16, Nacer Soudani, Bahia Rachdi et Djamel Bounab. Y figurent aussi dans la même œuvre les tunisiens Nidhal Saadi, Fethi Haddaoui ou encore Fatma Bartakis.

    L’autre feuilleton à figurer dans la liste est « 11/11 » (Onze Onze), une série policière réalisée par Oussama Kobi. Son titre est relatif aux événements du feuilleton. C’est-à-dire le 11 novembre, la date ou la jeune Malak est assassiné dans son atelier où elle passait son temps à peindre. C’est à la villa Angel appartenant à la riche famille Rabehi, dans la défunte fait partie, ou tout commence. C’est une histoire pleine de mystère qui attend les téléspectateurs de Echorouk TV, qui suivent l’enquête pleine de rebondissements et de questionnements.

    Cette série est campée par des noms très connus de la télévision. Il s’agit de Malika Belbey, Aziz Boukerouni, Youcef Sehairi et Mohamed Frimehdi et le chanteur Meziane Hamiche qui fait sa première apparition au petit écran.

    « Edamma » toujours sur le podium

    La troisième œuvre en lice est « Edamma » de Yahia Mouzahem. Ce dernier diffusé par la Télévision public est classé premier sur YouTube. Le premier épisode a été regardé par neuf millions d’algériens, en l’espace de dix jours. Ce drama social tourné au quartier populaire de Bab El Oued à Alger, a subi ces derniers jours des polémiques et des attaques, concernant le premier épisode ou la caméra a filmé sans faire exprès un tag ou a été mentionné le signe d’un parti classé comme séparatiste et terroriste par l’Etat algérien.

    L’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) a saisi le directeur de la Télévision Publique, en lui demandant des clarifications. Le réalisateur Yahia Mouzahem et l’ENTV ont tout de suite réagi, en expliquant l’apparition de ces écritures lors de la diffusion du feuilleton relevait « d’un manque de concentration aussi bien durant le tournage que lors du montage et du visionnage des épisodes », précise un communiqué de cette autorité.

    Ce feuilleton qui rassemble sur le petit écran Beyouna, Boualem Bennani, Rym Takoucht, Mustapha Laribi, Redouane Merabet, Abdelkrim Beriber, Abdelkrim Derradji, Souha Oualha et Aida Ababsa, reste sur toujours sur le podium.

    Les œuvres inscrites sur la liste de ce prestigieux prix sont soumises au vote du public et à un comité d’évaluation qui comprend des critiques et des journalistes du monde arabe. Les trois feuilletons algériens qui concourent au près d’une importante sélection d’œuvres d’autres pays arabe, sont en lice pour plusieurs prix. Il y a la mise en scène, le jeu d’acteur, la décoration, les costumes, le maquillage, la musique, les effets visuels et sonores, le montage, la réalisation, l’éclairage et d’autres aspects de l’industrie dramatique.

    Le vote sur les œuvres se fait via le site Web des Drama Critics Awards, où les épisodes de ces œuvres sont présentés quotidiennement pour déterminer le nombre de vues et le classement des œuvres. A l’issue du vote du public, c’est le comité d’évaluation qui prendra la relève, pour élire le meilleur produit de l’année 2023. Les prix seront attribués aux lauréats lors d’une cérémonie dans la datte sera annoncée prochainement

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